Théorème : Si Dieu existe et si le Coran est son livre alors les islamistes iront en enfer car être islamiste est bien pire que s’adonner à la fornication et à la beuverie.

Démonstration : C’est volontairement un petit chouia provoquant mais un théorème est un théorème et il suffit de le démontrer. L’article est un peu long. Il faut vraiment être motivé par le sujet pour aller jusqu’au bout.

Avant d’entrer dans la démonstration, nous devons définir clairement ce qu’est un islamiste.

Définition : Un islamiste est un individu qui reconnait que :

  • Dieu existe
  • Le Coran est son livre
  • Les recueils de hadiths font partie de la religion
  • La charia est la loi de Dieu et doit être appliqué.

Cette définition suffit pour porter envers les islamistes l’acte d’accusation suivant :

  • Invention et colportage de ragots mensongers sur Dieu.
  • Complicité et incitation au crime, voire crime, au nom de Dieu.
  • Idolâtrie envers le prophète (saws), ses compagnons, Bukhari, Muslim, les grands imams et divers autres sous chefs religieux.
  • Assistance à Satan dans la perversion du message Divin.

Démontrer les 4 points précédents revient à démontrer notre théorème.

En effet, ces 4 points sont, selon le Coran, passibles directement des châtiments de l’enfer. En revanche, l’alcool est un mal, c’est incontestable, mais la peine n’est pas précisée dans le Coran. Quant à la fornication, encore plus grave, n’est passible que d’une centaine de coups de fouets sous la condition expresse de l’avouer ou d’avoir eu la présence d’esprit de s’y adonner devant 4 personnes qui voudront bien témoigner. Rien, dans le Coran de Dieu, l’équitable, n’indique que ces péchés incontestables (alcool et fornication) mènent directement à l’enfer et qu’ils ne soient pas compensables par une quantité indéterminée de bonnes actions. En revanche, les 4 chefs d’accusations de l’islamisme sont non compensables. L’idolâtrie avec tout ce qu’elle entraine comme altération du message divin et égarement des croyants, est un péché impardonnable selon le Coran. C’est de la haute criminalité religieuse bien au-delà des vices véniels et des tentations.

Sachant que c’est les recueils de hadiths qui légitiment la lapidation et le châtiment de mort pour les apostats (nous ne nous en tiendrons qu’à ces deux crimes), l’accusation d’incitation au crime ou de crime au nom de Dieu est automatique si ces recueils s’avèrent illégitimes religieusement.

Dans cet article, nous allons privilégier la pédagogie et l’ironie à la démonstration rigoureuse et sérieuse appuyée par une multitude de versets coraniques. Vous trouverez celle-ci dans cet article. Cheikh Dukhani invite le lecteur désirant approfondir et à s’y référer et suivre les liens hypertextes qui s’y trouvent (liens vers le Coran, les hadiths et divers autres sources).

Que Dieu existe et que le Coran soit son livre est donc une hypothèse de base de cet article.

Le Coran prétend provenir de Dieu, être protégé par lui et n’impose aucune contrainte au nom de la religion. On l’accepte ou on le rejette en son âme et conscience. Cheikh Dukhani a décidé de l’accepter. C’est une hypothèse probablement indémontrable.

Dire que le Coran est le livre de Dieu impose, au minimum, pour un musulman sincère, un effort personnel de lecture, de réflexion et d’analyse supérieure à celle accordée à tout autre livre. Sans ce petit jihad, il est hypocrite de se déclarer musulman. Les islamistes rejettent totalement ce petit jihad et le confient à une nébuleuse de Cheikhs et d’imams. Des prophètes qu’ils nomment et choisissent eux-mêmes. S’ils « se font égarer », ce ne serait pas de leur faute. Dieu et le coran ne sont pas dupes.

Dans un premier article, Cheikh Dukhani réalise ce que l’on peut qualifier d’exégèse coranique de la première sourate du Coran. Dans cette sourate (la Fatiha), le musulman prie Dieu pour lui indiquer le droit chemin. Dans cet article, Tounsi Dhayaa, cherche le droit chemin et entame une réflexion sur sa religion mais ne cesse de rencontrer des barrages Cheikhals avec interdiction de réfléchir plus loin. Sans aucun scrupule, contrairement au coran, les cheikhs exigent, sous prétexte d’assistance, de s’intercaler entre les musulmans et leur Dieu, et se permettent de dire tout et n’importe quoi en ne concédant, à la fin de leur délire, qu’un petit « Dieu sait mieux »

Dans le deuxième article, Cheikh Dukhani réalise une exégèse coranique de la dernière sourate du Coran. Dans cette sourate (les gens : Al nass), le musulman prie Dieu pour écarter le pernicieux Satan de son chemin. Dans cet article, après un effort neuronal si rare pour un Cheikh qu’il aboutit à un claquage cérébral, Cheikh Dukhani élabore une théorie 100% compatible avec le Coran sur un complot satanique pour pervertir l’islam. Contrairement à la religion islamiste où Satan est un petit farceur qui fait pipi dans les oreilles et entre dans les gorges pendant un bâillement, Satan, dans l’islam, religion du créateur de l’univers et de la physique quantique, est l’ennemi juré des musulmans, celui qui a promis d’en égarer l’écrasante majorité. L’hypothèse formulée dans le deuxième article donne à Satan un rôle qui correspond beaucoup plus à l’image qu’en donne le Coran. Mais ce n’est pas qu’une hypothèse.

Dans le présent article, Cheikh Dukhani persiste et signe. L’idée de base de cet article, que Cheikh Dukhani n’est pas le premier à défendre, consiste à établir la connexion entre les islamistes et les idolâtres (mushrikin) en s’appuyant sur la description qu’en fait le coran. Une fois la connexion établie, la lumière jaillit sur tout un magma théologique ainsi que sur l’équation fondamentale de l’islamisme, voie directe vers l’enfer :

Religion Islamiste= Idolâtrie = Religion du Mensonge religieux sans limites

Le nombre de sources religieuses extra-coraniques des islamistes est tel que nous sommes obligés de nous limiter aux deux plus importantes : les recueils de hadiths Sahihs de Muslim et Bukhari. A partir de ces livres, avec quelques mentions du Coran, les cheikhs (avec barbes et turbans) ont construits plusieurs doctrines qui divisent les musulmans. Le Coran condamne sévèrement ces doctrines que défendent avec acharnement différentes espèces d’islamistes croyant, chacune, détenir la vérité. L’ensemble de ces élucubrations Cheikhales portent le nom de charia, fatras indéfinissable, non délimitable, et représente, dans la religion islamiste, la loi de Dieu alors qu’elle est incontestablement, à très forte proportion, d’origine humaine.

Allez, disons-le clairement. Les islamistes sont les descendants spirituels de ceux, qui avant, vénéraient les statues sous prétexte que ça les rapprocheraient de Dieu. Obligés de se reconvertir après l’interdiction trop évidente des idoles en pierre, les idolâtres « islamisés » ont du patienter quelques décennies avant de rebâtir leur religion et de s’adonner à leur pratiques comme ils l’ont toujours fait avec les autres prophètes. Dans leur religion, il y a beaucoup de rites et de gestuelles religieuses, beaucoup de sources religieuses et leurs prêtres sont capables de faire dire à leur religion ce qu’ils veulent et de l’attribuer à Dieu. Les adeptes d’une telle religion sont nécessairement bridés intellectuellement avec du sacré éparpillé un peu partout. Conformément au coran, la religion des hommes est truffée de contradictions.

Le Coran précise que la plupart des croyants seront des idolâtres et que le prophète se plaindra le jour du jugement que « son peuple » ait abandonné le Coran. Le Coran rajoute que les idolâtres ne peuvent se limiter au seul Coran en religion et qu’ils ont besoin d’autres noms à vénérer que celui de Dieu. Ce n’est pas l’idole en pierre qui fait qui l’idolâtre.

Avant toute chose, il est nécessaire de s’attaquer au plus gros mensonge de la religion islamiste, à l’idolâtrie principale, toute enrobée de mensonges :
Selon le Coran, le prophète avait –il le droit de légiférer au nom de Dieu ?

La réponse est claire et catégorique. Niet, Niet, Niet.

En effet, selon le Coran, l’islam est uniquement la religion de Dieu et le Mohammed (saws) n’est pas son associé. Le prophète (saws) est le dernier d’une longue série de prophètes. Selon le coran, c’est Abraham (saws) qui a inventé le mot musulman et l’islam est la même religion que celle d’Abraham, de Moise (saws) ou de Jésus (saws). A plusieurs reprises, le Coran menace le prophète Mohammed (saws) des pires châtiments si celui-ci osait y mettre du sien.

Tout l’argumentaire islamiste pour faire du prophète Mohammed un co-législateur en matière religieuse s’appuie sur des jeux de mots. Le plus important réside dans la distinction Prophète versus Messager de Dieu.

Le prophète Mahomet (saws) a deux statuts selon le Coran. Le premier est Messager de Dieu (Rassool) et le deuxième est Prophète (Nabii). Le Rassool transmet un message avec les paroles de Dieu et le Nabii transmet une information avec ses propres mots (anbaa). Obéir au Rassool c’est la même chose qu’obéir à Dieu (c’est carrément un verset). Tous les versets coraniques de devoir d’obéissance à Mohammed (saws), et ils sont nombreux, font référence au statut du Rassool et aucun au statut de Nabii.

Mieux encore, Mohammed (saws), en tant que Nabii fait l’objet de nombreuses réprimandes dans le Coran. Plusieurs versets limitent le rôle religieux du prophète à celui de simple messager, de simple avertisseur et rappellent le caractère strictement humain du prophète, un mortel qui ne peut être adoré et qui ne peut en aucun cas être une source religieuse.

Les mots charia, sunna, hikma (sagesses) et plein d’autres ont été détourné de leur sens coranique initial par la religion islamiste. Malgré plus d’une centaine de versets utilisant ces mots, ainsi que le mot livre, aucune référence explicite n’existe dans le Coran pour indiquer l’existence d’un héritage quelconque laissé par le prophète autre que le coran. Dieu déclare, dans le Coran, y avoir achevé sa religion et plusieurs versets dans le Coran indiquent qu’il est complet et détaillé et qu’il n’y a pas de place d’autres hadiths.

Le Coran dit, explicitement, que l’islam est une religion trop difficile pour les idolâtres car l’islam n’est pas plus la religion de Mohammed que celle de Jésus et de Moise. De plus, par leur simple existence, les recueils de hadiths, à la gloire entière du prophète, violent l’ordre coranique de ne pas faire de distinction entre les messagers de Dieu.

Dans la religion islamiste, les recueils de hadiths Sahihs sont des livres sacrés. Dans cette religion, deux « saints » hommes (Muslim et Bukhari), ni prophètes ni messagers de Dieu, ont entrepris la compilation d’un certain nombre de propos rapportés sur les dires et actes du prophète deux siècles auparavant. Un Hadith se présente généralement sous la forme Bukhari ou Muslim a écrit (implicite dans tous les hadiths), que untel a dit, que untel a dit, que untel a dit (etc.) que le prophète a dit ou fait quelque chose. A partir de quantités de hadiths énormes, les deux saints islamistes ont sélectionné 1% des hadiths à leur disposition pour en faire des Sahihs (hadiths authentiques) et ont relégué les 99 autres pourcent dans la catégorie Hadiths plus ou moins douteux jusqu’à scientifiquement mensongers. Arguant de l’obligation religieuse d’obéir au prophète, les deux livres sont devenus des sources de loi pour la religion islamiste. Inchangés et incontestés depuis 12 siècles par la science qui est supposée les étudier et qui n’a fait que valider empiriquement l’infaillibilité des deux saints, ces deux livres sont une sorte de deuxième Coran pour les islamistes.

Techniquement parlant, la charia de la religion islamiste serait la charia de Dieu via principalement les quasi-prophètes Muslim et Bukhari (et d’autres). Sans ces livres, il n’y ni charia au sens islamiste, ni islamistes, ni barbes, ni burqua.

La méthodologie d’authentification des hadiths est effrontément qualifiée de scientifique alors qu’elle s’appuie exclusivement sur l’étude de la foi en la bonne foi de rapporteurs morts et enterrés depuis belle lurette à la date de la compilation. Ce type de preuve est rejeté par tout tribunal moderne. Aucun Hadith n’est juridiquement recevable. Pourtant ils prétendent à être une source de loi.

L’existence, dans les Sahihs, de deux versets différents prétendant au titre de premier verset révélé et de trois versets différents prétendant au titre de dernier verset révélé suffit, sans trop se fouler, à démontrer la nature mensongère, profondément stupide, de cette science.

De l’aveu même des compilateurs de Hadiths, les livres sacrés de l’islamisme sont une « vérité » extraite d’un tas immense de propos douteux. Aucun précédent dans le Coran n’existe pour indiquer que Dieu pourrait utiliser une méthode s’appuyant sur l’analyse des mensonges pour transmettre sa parole. Le coran, explicitement, dit qu’il ne faut pas suivre les conjectures. Pire, le Coran demande aux musulmans de ne pas suivre les hadiths autres que le Coran. Pire que pire, le Coran précise que les démons ciblent en priorité ceux qui rapportent les ouïs dires et force est de constater que les recueils de hadiths sont au top de la hiérarchie littéraire du ouïe dire dans l’histoire de toute l’humanité.

Parmi les rapporteurs des ouïe dires que sont les hadiths, il y a aussi bien des adolescents que des vieillards séniles, le tout sur deux siècles. Il y a deux siècles, la Tunisie était Husseinite et la colonisation Française n’avait pas commencé. Tout historien déclarant authentique des milliers de propos rapportés de bouche à oreille depuis cette époque serait, aujourd’hui, la risée de ses confrères. Un fou. Un taré. Pour certains, ce serait un « grand scientifique».

Le droit d’émission de la loi religieuse est une sorte de droit religieux « régalien » qui ne revient qu’à Dieu. Pour le Coran, le Coran est « LE » guide qui représente la vérité religieuse et pour le coran, après la vérité du coran, seule l’erreur peut suivre.

Plusieurs versets coraniques prouvent que le prophète, comme Jésus, est un sujet potentiel d’idolâtrie. En élevant le prophète au rang de co-législateur, tout tartempion ayant fréquenté le prophète peut s’autoproclamer messager du messager de Dieu et les compilateurs des leur propos peuvent prétendre à la postérité religieuse.

Muslim et Bukhari ont été les principaux bâtisseurs de l’islam extra-coranique. Quant à « notre » imam Malik, qui est mort juste avant leur naissance, il a commencé sa propre compilation spirituelle, au nom de Dieu, sur une demande politique de son calife qui « voulait un code de lois fondée sur la sunnah », plus d’un siècle après la mort du prophète.

Depuis, la religion islamiste confère désormais le droit exclusif de Dieu à légiférer dans la religion à pratiquement tout individu qui laisse pousser sa barbe et qui réussit à s’affubler de titres pompeux. Diverses formes d’émissions religieuses sont désormais entérinées comme par exemple l’ijmaa et les fatwas. Le Coran est très critique vis-à-vis des prêtres et des chefs religieux autres que ceux qui sont mandatés par Dieu et dotés d’un rang de prophète ou de messager. Il y a, dans le Coran, une interdiction absolue à les prendre pour maîtres. Le Coran, à plusieurs reprises, montre que c’est chez les prêtres qui s’enduisent d’une spiritualité de pacotille que se trouvent ceux qui pervertissent profondément la religion. Conférer le droit le plus élevé en religion, celui d’émission de lois religieuses, à des prêtres est assimilable à de l’idolâtrie comme le montre le précédent clairement établi dans le Coran pour les religions juives et chrétiennes.
Le Coran, ce n’est pas que la religion de Dieu, mais aussi l’histoire de la religion de Dieu et le musulman est invité, toujours par le Coran, à plusieurs reprises, à y tirer les enseignements nécessaires et adéquats pour sa propre foi.

Le coran dit que Satan, avec tous les prophètes, essaye d’altérer le message divin. Dans la religion islamiste, il y a belle lurette que la religion fabriquée par les humains a remplacé celle de Dieu. L’islam des islamistes n’est plus l’islam de Dieu.

Bref, à part Dieu, il n’y a rien d’autre à idolâtrer en islam et cela a toujours été au-delà des capacités religieuses de l’idolâtre, depuis Abraham. Les fanatiques du sacré ont besoin de s’agripper à du sacré à gogo et à de fausses divinités. Une religion qui se limite à un livre qui leur demande de réfléchir et de méditer sur un Dieu qu’ils ne peuvent pas voir directement ne peut en aucun cas satisfaire leur intense soif de spiritualité simiesque.

Le Coran dit que les idolâtres sont des très grands menteurs qui se mentent même à eux-mêmes. Psychanalytiquement, ils se sont enfermés dans une bulle de mensonges. Le Coran exprime cette idée en disant qu’ils sont sourds, aveugles, incapables de réfléchir, négateurs des évidences et qu’un voile opaque les sépare de la compréhension du Coran. Derrière l’idolâtrie, ennemie interne de la religion de Dieu, il n’y a rien de moins que le roi du mensonge, l’empereur de la manigance et de la tromperie, Satan en personne.

Selon le coran, Satan se consacre entièrement à la tâche de détourner les musulmans de l’islam et de le pervertir. Quel meilleur déguisement possible pour lui et ses démons que celui de Cheikh, d’imam ou d’Ayatollah ? C’est dans la deuxième page du coran.

Le coran est clair. La vérité est du côté de Dieu. Le mensonge est du côté de Satan. Traquer la vérité, c’est rechercher Dieu. Trouver les mensonges dans la religion c’est trouver la trace de Satan. C’est con, simpliste et tout ce que vous voulez mais c’est comme ça. Patauger dans un islam enrobé de mensonges c’est patauger dans la conception satanique de l’islam.

Les pratiquants de la religion islamiste, tout en reconnaissant leur abstinence neuronale en l’absence de maîtres, ont la certitude inébranlable que les autres se trompent. Dans leurs livres sacrés, ils ont la certitude qu’à côté de la pisse, du vomi, des ordures et des petites recettes pour entrer au paradis, il y aurait des vérités scientifiques qui traitent de la biologie, de l’astronomie et des autres sciences. Dans la bulle théologique de la religion islamiste, il y en a qui ont vu des traités politiques, des codes de droit, des théories économiques, des systèmes bancaires et on appelle encore grand savant, à l’ère des satellites et des voyages spatiaux, des gens qui écrivent des livres prouvant que le soleil tourne autour de la terre. Les automutilés volontaires du cerveau sont affirmatifs, ils détiennent la vérité et les autres sont dans l’erreur, incapables de réfléchir.

Dans la religion islamiste, ceux qui n’ont jamais essayé de comprendre seuls le Coran, qui ont toute la vie voué totale confiance à des maîtres humains parce qu’ils avaient « une apparence » pieuse, avec le déguisement et le blabla adéquat, sont convaincus, parce qu’on le leur a dit, qu’ils s’en sortiront haut la main le jour du jugement dernier face à Dieu.

Le Coran dit que le jour du jugement dernier, les idolâtres diront à dieu qu’ils n’ont pas été des idolâtres. Même ce jour là, devant Dieu, ils mentiront.
Ils savent pertinemment que toute leur vie ils ont suivi des maîtres humains autres que Dieu qui ne seront pas avec eux ce jour là. Ils savent qu’ils auront à se débrouiller tout seul ce jour là mais refusent de le faire maintenant. Le Coran dit que Dieu demandera à ceux qui ont pris des maitres et des idoles « ou sont t’ils maintenant ? ». Ils savent qu’il n’y a aucun certificat d’islamicité délivrable sur terre valable devant Dieu mais n’hésitent pas à chercher la reconnaissance de leurs coreligionnaires et s’octroyer des diplômes et des titres.

Ils ont volontairement mis eux et le Coran le voile opaque et infranchissable d’une théologie complexe empêtrée dans des chamailleries doctrinales interminables depuis des siècles.

Tous diront qu’ils ont eu le Coran devant les yeux, qu’ils l’ont lu, qu’ils ont écouté pieusement ses récitations des heures entières par de grands lyriques et tous diront qu’ils ne croyaient pas qu’ils pouvaient le comprendre sans assistance et qu’ils ne pensaient pas que le Coran s’adressaient directement à eux alors c’est écrit noir sur blanc. Sur le plan du sens et de la signification, tous avoueront avoir lu le Coran en étant aveugles et l’avoir écouté en étant sourds parce qu’ils se croyaient inaptes à le comprendre. Le Coran cite l’exemple de personnes qui portent les paroles de Dieu (la torah) comme le ferait un âne pliant sous le poids de livres sans en tirer aucun profit. Quelle belle image pour ceux qui, volontairement ou par conditionnement, se castrent intellectuellement à la vue des versets de Dieu.

Dieu, selon le Coran, utilise souvent des paraboles pour expliquer ses propos. L’image de l’âne est très claire. Plier sous piété n’est pas un signe d’excellence religieuse. Les idolâtres sont des gens très pieux et peuvent dévouer toute une vie à leurs croyances. Certains sont allés même à sacrifier leur propres enfants et Satan est toujours là en arrière plan. Dieu n’a que faire de la piété, aussi énorme fusse elle, dans une religion qui n’est pas la sienne. Les idolâtres, même s’ils croient en Dieu, iront en enfer malgré leur incroyable « piété ». Tout ça c’est dans le Coran.

La théâtralité éblouissante de la piété hérétique est nécessaire à Satan pour égarer les musulmans de la religion de Dieu. C’est de l’intox. C’est classique dans l’histoire de la religion et le Coran nous demande de ne pas être impressionnés par le succès des thèses d’un quelconque groupe d’individus.
Derrière le visage pieux et apparemment innocent d’un père ou d’une mère de famille islamiste, se cache souvent une âme capable de cautionner tous les crimes imaginables au nom de ses propres croyances. Non. Il ne faut pas être impressionné.

On peut très facilement imaginer les islamistes dire à Dieu, le jour du jugement dernier : « C’est écrit qu’il faut réfléchir mais j’ai pas compris que ça voulait dire qu’il fallait que je réfléchisse, c’est écrit que le Coran était adressé aux musulmans mais j’ai pas compris qu’il s’adressait directement à moi. C’est écrit qu’il est détaillé et complet mais je n’ai pas compris qu’il n’avait pas besoin d’un complément C’est écrit qu’il ne fallait pas prendre des maitres mais je n’ai pas compris que ça s’appliquait aux cheikhs et aux imams. C’est écrit qu’il ne fallait pas suivre d’autres hadiths que le Coran mais je n’ai pas compris que les hadiths étaient des hadiths. C’est écrit qu’il faut suivre Dieu et pas ceux qui sont (ou se disent) guidés par lui mais je n’ai pas compris à qui cela pouvait s’appliquer. C’est écrit qu’il ne faut pas se fier aux apparences et aux discours de ceux qui se font passer pour plus musulmans que les autres mais je n’ai pas compris que des scientifiques qui ont créé les doctrines condamnées par le Coran, qui hurlent Allah ou Akbar, qui n’ont rien inventé en 12 siècles autres que des doctrines interdites, qui se contredisent les uns les autres dans une religion où il n’y aurait pas de contradictions puissent êtres des gens qui jouent sur les apparences et les faux discours. C’est écrit qu’il ne fallait pas suivre les conjectures et l’ouïe dire mais je n’ai pas compris que les hadiths sélectionnés parmi un tas de conjectures et de ouïe dire en étaient. C’est écrit qu’il ne fallait pas suivre ceux qui appelaient ou commettaient les crimes au nom de Dieu mais je n’ai pas compris que les crimes au nom de Dieu étaient des crimes au nom de Dieu.

Oh mon Dieu ! Pourquoi ne veux tu pas comprendre que c’est toi seul que j’ai aimé, adoré et suivi toute ma vie ? » Oui. Ils mentiront aussi devant Dieu! Le coran le dit. Ghaltouni ! A partir de quand cette plaidoirie sera recevable ? Dieu seul le sait.

L’ampleur de la perversion de l’islam par la religion islamiste est telle que Cheikh Dukhani considère, et cela n’engage que lui, que les mosquées sont devenues les temples de la piété hérétique et qu’ils sont devenus des endroits illicites pour le musulman. Non seulement, contrairement au Coran, beaucoup d’autres noms autres que celui de Dieu y sont invoqués et beaucoup de livres autres que le Coran sont sacralisés diluant ainsi la parole de Dieu dans un fatras burlesque, mais aussi, le Coran interdit explicitement aux musulmans de fréquenter des mosquées contrôlées par des les gens qui, autrefois, (en tant qu’idolâtres), ont combattu les prophètes. Beaucoup de Tunisiens l’ont fait spontanément après la politisation des mosquées.

Mensonges, mensonges, mensonges, mensonges. Il y en a partout. Prenons l’exemple de l’affaire Nessma TV et Persépolis. La représentation de Dieu n’est pas interdite dans le Coran. Pour l’interdire, la religion islamiste s’appuie sur les versets condamnant, eh oui, l’idolâtrie. Un Hadith qui leur est sacré dit que Dieu à crée Adam à son image. D’autres disent qu’il ne faut pas entrer dans des maisons où il y a des effigies humaines (et des chiens).

Je reformule pour ceux qui ne sont pas habitués: Dans la religion islamiste, Nessma TV a commis une atteinte au sacré sur fatwa de ceux qui légifèrent au nom de Dieu car il y aurait un grave risque d’idolâtrie de Dieu, seul être idolatrâble, à travers une séquence de quelques secondes dans le rêve d’une petite fille, ou Dieu y est représentée conformément à leurs hadiths sacrées. En revanche, que le visage de sa sainteté, le grand marabout des islamistes, Monseigneur Ghannouchi, qu’il ne faut surtout pas idolâtrer, qu’il ne faut pas représenter conformément aux hadiths sacrés, soit accueilli avec ferveur à l’aéroport avec « talaaa el badr aleina », qu’il soit acclamé dans ses discours par des groupes entiers d’islamistes gagatisés aux yeux embuées d’admiration, de respect et de vénération, que sa parole soit pieusement et « spongieusement » absorbée, que son effigie apparaisse dans nos écrans, que ses portraits soient accrochés aux murs ne pose aucun problème. Il y aurait zero risque d’idolâtrie du guide spirituel qui, au dessus de la mêlée, va remettre la Tunisie sur le droit chemin de Dieu.

Pour ce qui est des mères célibataires, sujet d’actualité, Cheikh Dukhani considère illicite toute loi qui aurait fait, rétroactivement, du tort à Marie et à Jésus. Pas plus compliqué que ça. Cheikh Dukhani aime à penser que, sur le plan de la symbolique, Dieu, qui aime pardonner, ne fait pas dans le n’importe quoi.

Un autre grand mensonge est le concept totalement hérétique de la « Jahiliya idolâtre» inventé par ceux y pataugent encore et se proclament scientifiques sans jamais rien découvrir. La mécréance et l’idolâtrie continueront, selon le Coran, jusqu’à la fin des temps et ont survécu à tous les prophètes. Le Coran sera toujours moderne.

Dans cet article, nous n’ouvrirons pas les livres de recueils de hadiths pour en analyser le contenu. C’est inutile et franchement Cheikh Dukhani n’a pas le cœur à parler de pipi satanique dans les oreilles, de la position à adopter en faisant pipi ou des vertus médicinales du pipi de chameau. Nous nous contenterons de l’aveu de culpabilité des « savants » qui ont crée trois branches « scientifiques » pour en gérer les contradictions sans, bien sûr, mettre à jour, ne serait ce qu’une fois, les livres sacrés de Muslim et Bukhari.

Sachez toutefois que l’exploration de ces recueils est, psychanalytiquement, très intéressante et permet de mieux comprendre la religion islamiste, ces croyances, ces rites et les multiples processus de sacralisation permettant à ces adeptes d’accepter, au nom de Dieu, toutes les atrocités et les ignominies imaginables.
Il n’y a aucun doute à avoir, seule la dictature théologique est compatible à terme avec la religion islamiste quelque soit la modération provisoirement affichée par les chefs provisoires.

Les différentes mues théologiques de sa Sapience, Monseigneur Ghannouchi, qui a écrit des livres pour expliquer les mauvaises interprétations des autres sapiences qui ont expliqué les mauvaises interprétations des autres sapiences sont la preuve irréfutable du seul miracle de la religion islamiste que Cheikh Dukhani reconnait. Il s’agit de sa capacité d’innovation continue et caméléonienne en l’absence de tout nouveau prophète. Sa Sapience est fière d’avoir zigzagué toute sa vie dans le droit chemin de Dieu, avec, à sa traine, toute sa nuée de fidèles toujours et constamment convaincue d’être sur un droit chemin.

Aux Tunisiens ! Ouvrez vos yeux. Attention aux détournements de mots, de concepts et aux mensonges. Depuis le 14 Janvier et même depuis le 23 Octobre, il y en a beaucoup. C’est des grands spécialistes qui n’ont jamais honte. C’est une seconde nature et ils ne s’en rendent même pas compte (dans cet article, Cheikh Dukhani se limite au cas des islamistes sincères. Le cas des hypocrites, conscient de leurs actes, est une autre affaire).

Selon Cheikh Dukhani, le châtiment de Dieu, c’est-à-dire les islamistes, est prêt à s’abattre sur la Tunisie si elle refuse le petit combat théologique qui lui est demandé.

Cheikh Dukhani fait les recommandations suivantes aux musulmans qui veulent bien l’écouter :

  • Désacraliser la Cheikhologie, l’Immamologie et l’ayatollahologie et ne pas hésiter à les regrouper au sein de la science de l’arnaquologie religieuse. Ne pas hésiter à les ridiculiser et à souligner leurs bêtises. Il y a de la matière. Beaucoup. Non seulement c’est permis mais c’est aussi religieusement recommandé de mettre à nu leur manigances et d’éclairer vos semblables. C’est dans le Coran.
  • Exercer le droit coranique de réflexion et de critique religieuse. Le Coran accepte d’être critiqué et défie le lecteur pour ce qui est de trouver des contradictions. Contrairement à ce qu’affirme la Cheikhologie, le Coran n’impose aucune hiérarchie religieuse et il n’y a personne entre Dieu et le musulman. C’est dans le Coran.
  • Discuter avec la base islamiste constituée par nos frères et sœurs, nos voisins et nos familles. La plupart d’entre eux sont islamistes par pure ignorance de leur religion et sont à considérer comme victimes. Ils ont juste à virer tous ceux qui essayent de s’immiscer entre eux et Dieu, conformément au Coran. C’est le devoir du musulman de convertir les idolâtres islamistes à l’islam et c’est encore dans le Coran. La mauvaise parole ne tient à rien et s’enlève comme la chienlit. C’est toujours du Coran. Une petite application coranique sur des esprits qui croient en Dieu et ça s’en va. Encore du Coran. Le coran recommande la réflexion individuelle ou à deux. Dieu leur pardonnera immédiatement. Encore et encore du Coran

Encore une fois, http://laashirk.voila.net/Article_Principal.htm contient tous les références précises aux versets requis et cités dans cette démonstration.

Pour son pseudo, Cheikh Dukhani s’est inspiré du nom de Bukhari en y rajoutant un peu de fumée. Quant au titre de Cheikh, chroniquement et maladivement trompeur, il provient de la racine Chakha/Yachikou qui représente une branche de l’ironie en langue Tunisienne.

Contrairement aux Cheikhs de l’autre sens étymologique, Cheikh Dukhani se limite à rappeler les versets du coran. Aucun verset du Coran ne donne un autre sens au savoir religieux. Cheikh Dukhani n’est qu’un « moudhakkir » qui invite à lire le coran, à y réfléchir, sans vouloir rien ajouter ou retrancher à l’islam. Sa théologie se limite au coran et son Dieu est son seul théologien. C’est au coran que l’on doit le code de décryptage de la religion islamiste. L’islam est une profession de foi. Il ne s’hérite pas. On ne nait pas musulman. L’islam est uniquement tel que Dieu le décrit dans son livre et nulle part ailleurs. Il n’est pas dans les traditions, les us ou les coutumes d’un quelconque pays ou groupe d’individus. Se déclarer Malékite ou autre, est déjà, dans le texte, une déclaration idolâtre.

Seul l’islam selon Dieu est l’islam.

Cheikh Dukhani peut il se tromper ? Le coran dit qu’en restant collé aux versets de Dieu, la vérité n’est pas loin. Cheikh Dukhani a beau chercher, il n’a pas trouvé mieux que les islamistes, à mettre dans la case coranique des idolâtres, majorité des croyants, pleine jusqu’à la fin des temps.

Cheikh Dukhani cherche un groupe cité dans le coran, très nombreux, qui croient en Dieu et à beaucoup d’autres choses, menteurs sans limites, sacralisant à tout va, très pieux, vénérant une religion qu’ils écrivent, avec beaucoup de prêtres, incapables de croire en Dieu sans prendre de maitres, incitant au crime au nom de Dieu, automutilés du cerveau en ayant la conviction d’être dans le droit chemin, capables de comprendre seuls beaucoup de choses mais pas les paroles de Dieu, pataugeant dans les contradictions, amateurs de gris-gris, de débilités et d’apparats spirituels. Cheikh Dukhani demande aux islamistes de l’aider sans sa recherche. Il expose sa démonstration à leur science afin qu’ils puissent lui montrer ses erreurs tout en raffermissant leur propre foi. Humblement, il se déclare incapable d’identifier ses erreurs de raisonnement. C’est leur devoir de l’aider afin de remettre une âme qui le leur demande dans leur droit chemin (ce paragraphe est à utiliser en cas de procès pour atteinte au sacré).

Islamistes ! Sortez vos versets si vous êtes musulmans. Où sont les idolâtres ? Trouvez-les !