Les articles publiés dans cette rubrique ne reflètent pas nécessairement les opinions de Nawaat.

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Avertissement: Personne n’est obligé de lire cet article. Il est strictement déconseillé à tous ceux qui considèrent sacrée la ville de la Mecque ainsi que la chose cubique en pierre qu’elle abrite. Qu’ils QUITTENT IMMEDIATEMENT cet article.

Jinn Dukhani insiste pour les récalcitrants. Toute personne ayant déjà été sujette aux démangeaisons suivantes: Emotivité spirituelle heurtée, sensibilité religieuse en état de choc, culture et identité bafouée ou Sacré profané doit immédiatement sortir d’ici.

Pour les derniers retardataires, Jinn Dukhani fait appel au Grand Patron:

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Donc pas cris de vierges effarouchés ni de hurlements “ALLAH est plus grand que les autres dieux” ni d’appel à je ne sais quel JIHAD contre l’analyse coranique et historique. Vous devez juste dégager d’ici dès que le Chaytan vous lâche la grappe.

Si malgré tout, vous décidez de rester, le grand Patron ajoute:

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Donc, encore une fois, si vous ne vous sentez pas capable d’affronter Jinn Dukhani avec des versets, le Grand patron vous ordonne de dégager et ne vous donne aucun autre droit que celui de dégager.

Vous avez été prévenus!

Chers Koffars à la bêtise islamiste, aux profanateurs de la parole divine, aux évadés de la Jahiliya, aux cheikhs du diable et aux adorateurs du mensonge, nous pouvons maintenant commencer l’article grâce au grand patron qui a séparé provisoirement nos mains de celles de ceux qui n’ont pas le droit d’assister au Hajj à la Mecque de Jinn Dukhani (vous comprendrez plus tard ces histoires de mains séparées).

Veuillez, chers Koffars au chaytan et à ses cheikhs, excuser l’introduction. La Hajja de Dukhani est strictement interdite aux idolâtres, “associateurs et mélangeurs”, qui adorent des livres qui ne sont pas de Dieu et qui disent qu’ils enseignent la religion de Dieu (9-28). Seuls les fidèles à la parole de Dieu (Mo’minin) et les athées sincères (sans faux livres attribués à Dieu) sont les bienvenus à cette Hajja. Pour eux, c’est en quelque sorte une Omra.

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Contrairement à qui vous savez, Jinn Dukhani ne se vantera pas de la pureté de son âme afin d’induire le lecteur en erreur.
Aucune confiance dans aucun dignitaire (33-67), dans aucun legs des ancêtres (31-21;2-170;5-104;25-18), dans aucun guignol à barbe ou en niquab en parade avec sa piété de pacotille (4-142 ;107-4 107-6 ; 2-204 et 2-205), certainement pas dans la majorité (12-103 à 12-106 ; 32-13) et surtout pas dans les prêtres et cheikhs (7-3;9-31;16-62;4-49;30-31 et 30-32 ; 6-159). En réalité, Jinn Dukhani n’a même pas confiance en Jinn Dukhani (sourate 114).

Jinn Dukhani ne demande pas la confiance du lecteur. C’est Haram. Il enfume (en bon Dukhaniste) les censeurs encenseurs (les Bukhar-istes) en présentant ses versets et ses arguments et laisse ses lecteurs se débrouiller seuls avec leur conscience et leur Rabb.

Rien, absolument rien, n’est incontestable pour un amoureux de LA vérité.
Que d’esprits qui se disent libres vont se l’enchainer à la lecture de cet article. Ils hocheront obstinément la tête négativement. Ils s’opposeront sans contredire et rejetteront sans avoir de Hojajs (preuves/arguments) contre le Hajj (argumentaire) de Hajj Dukhani.

L’hérésie du jour relativement à l’innommable ramassis d’absurdités élevé au rang de science par les idolâtres islamistes, après avoir bien sûr vérifié tout le coran, consiste à affirmer que, Muhammad, le messager qui nous apporta le coran, n’a jamais mis les pieds dans les deux villes qu’on nous dit saintes, à savoir la Mecque et Médine (j’espère que ceux qui ont cru à une repentance en lisant le titre de l’article ne sont pas trop déçus. A chacun son Deen, sa qibla et son Hajj).

Jinn Dukhani se fiche royalement du degré d’adhésion à cette croyance ridicule chez ceux qui apprennent l’islam en dehors du coran et qui étudient l’histoire dans les livres de ragots.

Avant de passer aux faits historiques, il est nécessaire dans un premier temps de rappeler aux lecteurs les versets où quelque chose qui ressemble au mot Mecque apparait.

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Le premier (48-24) semble faire référence à un lieu de bataille (Hajj Dukhani vous proposera sa traduction en fin d’article) et le deuxième à une nuisance sonore (moukaa) qui empêche la véritable “SALAT».

Du coup, faute de Mecque sacrée dans le coran, les cheikhs se sont rabattus sur un mot voisin. C’est ainsi que pour eux, Bacca serait du pareil au même que Mecca.

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Avec Bacca, on tient quelque chose de plus consistant. C’est le fameux endroit, où se trouve le premier Bayt comme c’est précisé (premier, en théorie, veut dire qu’il y en a d’autres), où Abraham a tenu la réunion du Hajj. C’est là où il y a la fameuse tribune où Abraham s’est tenu debout pour ses discours, un endroit surélevé que l’on appellerait, en arabe, la Kaaba.

Mais Bacca n’est pas Mecca. Dieu ne confond pas le M et le B.

Résumons. Non seulement il n’y aucune indication dans le coran qu’un trou perdu dans le Sahara qui s’appellerait Mecque serait sacré mais le seul endroit qui pourrait aspirer à la sacralité pour notre affaire s’appellerait Bacca et serait un endroit visité par Abraham sans que nous ayons aucune garantie que Muhammad y soit allé faire un tour.

Pour Médine, c’est encore plus amusant. Médine veut désormais simplement dire ville et tout patelin dans cette planète peut prétendre à ce titre. Celle qui est sacralisée par les islamistes s’appelait auparavant Yathrib.

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C’est le seul verset citant ce qui semble être une ville appelée Yathrib. Il semblerait qu’elle concerne la “ville” d’origine que partageaient des hypocrites qui ne voulaient pas suivre le Messager (on y reviendra, promis). Rien n’indique que le Messager de Dieu ait mis les pieds dans cette “ville”.

Nous pouvons donc d’ores et déjà affirmer que prétendre que Muhammad n’a jamais mis les pieds dans la Mecque et dans l’actuelle Médina, ex Yathrib, n’est absolument pas contraire au coran.
Jinn Dukhani peut donc tranquillement faire son Hajj (argumentaire) contre la Mecque avec la bénédiction du coran et son Dieu. Par cet article, Jinn Dukhani acquiert le noble titre de Hajj à la Mecque et prend Allah comme témoin.

Est-il possible que les Cheikhs d’autrefois aient pu inventer un si gros mensonge ?
Encore une fois, la pureté de l’âme des serials menteurs est avancée comme preuve scientifique et historique. L’énormité du mensonge est avancée comme preuve d’impossibilité. Devant de tels arguments, ceux qui ont lu les articles de Hajj Dukhani sont déjà probablement entrain de se rouler par terre, terrassés par une foudroyante crise de fou rire.

Encore une fois, Hajj Dukhani appellera désespérément le musulman conditionné à l’auto castration cérébrale dès qu’il s’agit de Dieu à faire travailler sa logique et sa raison face aux incroyables événements que nous rapportent nos pseudo-savants de l’islam. Seuls les ennemis de la vérité brandissent la sacralité pour ne pas affronter la raison.

Sans aller très loin dans l’histoire, l’histoire même de la révolution Tunisienne, datant d’à peine deux ans, est en cours de révision par les nos Cheikhs islamistes “aux âmes pures”. Non seulement eux et leurs milices mercenaires y auraient contribué, mais les voilà entrain de demander des indemnisations et les voilà défenseurs de la démocratie qu’ils abhorrent au nom de leur propre “succession du Messager de Dieu” (califat).
Pourtant internet et Facebook témoignent encore. Au nom même de la démocratie, fort de leur expérience en perversion de mots et de concepts, à coups de Taqqiya (mensonge autorisé pour la “bonne cause”), ils essayent d’installer leur dictature et n’ont de cesse d’introduire la chariaa de leur chaytan rédigée par les pattes immondes de leurs cheikhs.
Tout ça en deux ans alors que les témoins sont encore vivants et que ceux à qui on ment ont tout vu mais commencent simplement à oublier.
Que dire alors en deux cents ans après la mort du prophète et la disparition de tous les témoins directs, sans internet, ni journaux, ni télé et avec une population à majorité non éduquée.
Il n’y a pratiquement aucune chance que l’histoire colportée qui nous est parvenue soit vraie.

Côtés antécédents, nos cheikhs ont copié collé dans “l’islam” les fables judéo chrétiennes archéologiquement et historiquement insensées concernant les anciens prophètes. Les fables comme quoi Moise aurait libéré les hébreux d’Egypte n’ont aucune consistance scientifique. Aucun archéologue ou historien sérieux ne s’avancerait à affirmer de telles foutaises. Ils ont creusé partout en Egypte, au Sinaï et en Palestine et n’ont rien trouvé.
Pour coller aux fables juives et chrétiennes, et faire du Misr dans le coran l’Egypte des prêtes juifs, l’Égypte (alors appelé pays des coptes) a été renommée en Misr par Amr El Aas.
Misr signifie clairement par une analyse linguistique et coranique une ville entourée par murs. Pour les cheikho-idolâtres islamistes, il ne fait désormais aucun doute que les événements relatifs à Moise se sont déroulés en Egypte.
Mais quant Muhammad est mort, l’Egypte n’était pas encore Misr.

Cette technique de renommage est en cours actuellement en Palestine par les khazars venus implanter leurs colonies dans les terres des descendants des vrais juifs au nom de la descendance juive falsifiée de leurs ancêtres. Cette technique a aussi été largement exploitée par les grecs et leurs conteurs “religieux” pour transposer les événements bibliques loin de leur véritable lieu. La science, l’histoire et l’archéologie semble confirmer un fait désormais quasiment incontestable: Il ne s’est jamais rien passé de “prophétique” ni en Egypte ni en Palestine.
Il ne serait donc pas étonnant qu’il ne se soit rien passé dans la zone désertique appelée Hijaz où ont été édifiés les deux parcs à thèmes de piété idolâtro-islamiste, à savoir MeccaLand et MedinaLand. Mecca, si elle existait, ne s’appelait probablement pas encore Mecca à la mort de Muhammad et Yathrib ne s’appelait pas encore Médine et probablement même pas Yathrib.

Prêts pour une petite visite guidée de l’histoire abracadabrante de “l’islam” ?

Nous ne passerons pas beaucoup de temps sur les multitudes de miracles, selon les cheikhs, de celui qui n’a apporté que le coran comme miracle (toujours selon les cheikhs!!).
Pèle mêle, nous citerons entre autres :
– Opération chirurgicale par deux anges sur Muhammad à l’âge de 4 ans pour lui enlever la boule noire de la mécréance de la poitrine (voir traités Gog de biologie comparée entre croyants et mécréants pour plus de détails. Les hadiths Sahihs sacrés affirment d’ailleurs que les mécréants mangent avec 7 intestins contre un seul pour les croyants.).
– Nuage poussé par les anges pour protéger Muhammad du Soleil pendant ses voyages commerciaux (voir traités de météorologie Gog pour plus de détails).
– Fragilisation de roches par crachat prophétique durant le creusage du fossé dans la supposée bataille dite du « fossé » (minéralogie Gog).
– Multiplication de dattes et alimentation d’armées avec quasiment rien (cuisine Gog).
– Diverses guérisons miracles par apposition de mains (Médecine Gog).

Autant de le dire toute suite, les biographes de Muhammad se sont donnés à cœur joie. Quand on a droit d’ajouter des miracles aux récits, tout devient possible. Le lecteur Gog, lui, ne fera que « SubhanAllah-iser » à chaque absurdité.
Hajj Dukhani invite ses lecteurs à faire l’expérience avec un Gog. Inventez une histoire débile à dormir debout, attribuez là à un Hadith authentique cité par une sommité religieuse, mettez y du Subhanollah et du Allah Akbar et admirez comme c’est facile à faire avaler à un Gog (attention! pour votre propre salut, il faut lui dire après que c’est une blague, même s’il y en a déjà des millions en circulations sur le Messager).

La biographie du prophète est un ramassis d’âneries de ce genre avec même des génocides par “erreur” d’interprétation des paroles de Muhammad, du vivant du prophète. En réalité, elle n’est qu’une fable montée de toutes pièces qui n’a absolument aucun lien avec la réalité (voir chouyoukhs 8 sur la soi-disant polygamie du prophète).
Hajj Dukhani attire aussi l’attention du lecteur que, Abdallah, le père du prophète, est le seul individu connu de l’ère “préislamique” portant ce prénom. Un bel anachronisme.
Les biographes se sont carrément amusés. Fatima (en arabe signifie celle qui est séparée de sa mère) et devenue la fille de Khadija (En arabe celle qui fait des fausse couches).
Du vrai “foutage de gueule” en bonne et due forme.

Venons en maintenant à la terre pourrie qui sert de terre sacrée aux Gogs Musulmans. Pourrie est un terme agréé et autorisé par la “science islamique” elle même. C’est d’ailleurs justement parce que cette terre était pourrie avec un air infect, nous dit on, que Amina (prénom heureux et supposé de la mère du prophète surnommé l’Amin) aurait été dans l’obligation d’envoyer son fils Muhammad grandir chez une nourrice appelé Halima.

La Mecque et Médine se trouvent dans une région appelée Hijaz. En arabe, Hijaz signifie Barrière. C’est une bande de terre isolé du reste du monde par une chaine montagneuse, d’un Sahara et d’une Mer Rouge saline. Cette bande de terre stérile est un trou perdu qui n’a jamais intéressé les conquérants dans l’Histoire. Il n’y a jamais rien eu là bas. Aucune civilisation. Rien. Un désert de tous les points de vue. Sauf, bien sûr, dans les fables des “savants” de l’islam qui voient dans une barrière un point de passage ultra fréquenté.

Pourtant, l’histoire est riche de récits de villes antiques citées par des biographes, géographes et historiens. Seul un fou peut croire que peut disparaitre de l’histoire une ville sacrée, ou Abraham aurait fondé son temple, où la supposée Hajar a trouvé refuge avec son supposé fils abandonné, Ismaïl, fondateur supposé de la lignée des Arabes.

Faute de richesses naturelles, malgré son air infect, on nous raconte que la Mecque était un centre religieux et une métropole commerciale. Ommo el Qura (mère des villages) comme ils disent pour accoler une autre expression coranique à leur trou perdu sans villages au voisinage. C’est par là que passaient les riches caravanes nous dit-on. D’où vers où reste est un grand mystère de la science Gog du commerce international.
En effet, la péninsule arabique ressemble à un rectangle entouré de mer et lié au reste du monde uniquement par sa face Nord. On nous dit alors que les Mecquois faisaient de gros bénéfices en vendant aux Yéménites ce qu’ils achetaient en Syrie et inversement. Il semblerait ainsi qu’à cette époque, les navires Marchands venant d’Asie avait la flemme de remonter la mer Rouge ou de livrer à partir du Golfe persique. Cela devait être beaucoup plus marrant et stimulant de livrer la Syrie en passant par le désert et la barrière (hijaz) plutôt que de passer par les ports égyptiens ou le croissant fertile (Iraq).
En regardant une carte, seul un handicapé volontaire du cerveau peut croire que la Syrie était approvisionnée en marchandises asiatiques via le désert d’Arabie et via des bédouins. Même de nos jours, en jeep et par autoroute, personne ne pense à commettre une ânerie pareille.

Comble de l’ingratitude vis-à-vis de leurs partenaires commerciaux, les cultures millénaires de Syrie et du Yémen ne parlent pas du rôle commercial fondamental des bédouins de la terre pourrie à l’air infect. La Mecque a été une grande oubliée de l’histoire. Tellement oubliée qu’il n’en existe aucune trace dans l’histoire autre qu’un petit et plus que douteux « Maccorabée » trouvé dans une œuvre de Ptolémée.
Pourtant, nous dit-on, Abraham y aurait construit le temple de la grosse niquabée. Mais juifs, chrétiens, Moise et le dit Jésus auraient, eux aussi, tout oublié. Pas le moindre Maccorabée-machin chose à se mettre sous la dent dans la Torah ni les évangiles. Aucun écrit datant d’avant 750.
Pourtant, la science Gog nous dit qu’il y avait des chrétiens et surtout beaucoup de tribus juives vivant dans la terre pourrie à l’air infect. On nous raconte même que des érudits y attendaient là bas, sur la base d’écrits religieux, la venue du prophète Muhammad. Malheureusement, il n’y a aucune trace de MeccaLand dans les livres romano-gréco-christianno-judéo-perses. Que dalle. Pas le moindre érudit converti à l’islam n’a pensé à nous laisser quoique que ce soit de ces textes sacrés juifs ou chrétiens qui auraient annoncé la venue d’un grand prophète dans le trou perdu.

Bref, l’hypothèse que MeccaLand soit une ville prestigieuse de l’histoire et qu’elle ait été inaugurée par Abraham ou Adam en personne est une ânerie historique.
C’est aussi une sorte d’hérésie. Moise a été prié de retirer ses sandales avant d’entrer dans la vallée sacrée (coran). On nous demande de croire que Dieu aurait laissé les Quraychites mettre des idoles dans sa “soi-disant” maison. Pire, on nous demande de croire, alors que la grosse niquabée était encoure toute bourrée d’idoles païennes, que le prophète faisait autour d’elle ses circonvolutions sacrées par alternance avec les idolâtres. Quel bel (mais faux) aveu de la pratique païenne du pèlerinage.
Comment un musulman peut croire ça ?

On nous demande même de croire, par une autre histoire à dormir debout, que Muhammad a lui même mis la pierre noire dans le socle qui sert de vulve à la représentation cubique d’Allât.
Hajj Dukhani a évoqué dans chouyoukhs 4, la symbolique liée à la Kaaba. Il s’agit d’une représentation d’une déesse de la fertilité associée à Venus (d’où la journée de Vendredi devenue Yaum el Joumoua en Arabe de façon à s’accaparer un mot coranique qui signifie regroupement). Elle porte le fils de Dieu Soleil (d’où la pierre noire en forme de tête de bébé dans un socle en forme de vulve). La pierre noire est orienté pile poil dans l’axe du lever du soleil dans le solstice d’hiver qui symbolise la renaissance du soleil chez les païens. Allât (épouse de Allah chez les païens) se drape d’un grand voile pour se protéger de la lumière de son mari. Le noir symbolise évidemment la brulure par le soleil. Embrasser “le fils de Dieu” dans le ventre de la déesse de la fertilité est un rite très spirituel chez les idolâtres. Nous retrouvons cette symbolique dans les fameuses vierges noires chrétiennes, où Marie est voilée et toute noire. Quant à Jésus, le sois disant fils de Dieu, il est souvent représenté avec papa soleil en arrière plan.
Le plus grand témoin que les arabes de l’époque pratiquaient l’adoration du soleil est Abi Horeira en personne. Il s’appelait, avant, Abd el Shams (esclave du soleil).
Sacré Harhour! Enfin, peut être, un témoignage authentique.

Mais les histoires à dormir debout ne sont pas finies.

De 610 à 630, l’islam aurait été, nous dit-on, exclusivement cloisonné entre Mecque et Médine. Une Migration (hijra) légendaire dans un mouchoir de poche géographique. En 630, nous dit-on, la Mecque aurait été enfin conquise et islamisée.
Vingt ans pour conquérir un petit coin d’une région toute pourrie et perdue dans le Hijaz. ! Voilà à quoi le grand prophète de l’islam aurait consacré sa vie ! Reconquérir le temple de la grosse niquabée pas plus loin que son petit village natal. Un village négligé aussi bien par Moïse que Issa en passant par les Salomon, David…

Une fois la cité perdue à l’air infect conquise, nous dit-on, de 630 à 632, quasiment toute l’Arabie, avec ses cultures millénaires, céda brusquement. Subhano-Allah !

Le plus drôle dans l’histoire Gog c’est que Muhammad semble avoir été un piètre prêcheur. Quand il se déplace lui-même, il reçoit des pierres (comme à Taief) mais quand il envoie des émissaires, l’islam se vend comme des petits pains. C’est ainsi que Médine, le Yémen et Oman auraient été islamisées. Des émissaires qui convertissent à l’islam des cultures millénaires alors que le prophète en personne bute sur les bédouins d’à côté ?
Comment peut –on avaler des couleuvres pareilles ?

Après la mort du prophète en 632, Abu Bakr aurait pris la relève et aurait mené les guerres de sécession (ridda). Les Omanais, convertis par une simple expédition d’émissaires seraient devenus en deux ans tellement musulmans qu’ils ont aidé l’armé d’Abu Bakr à corriger les apostats qui s’étaient islamisés avant eux par l’enseignement du prophète en personne (d’après les historiens, le taux de conversion à l’islam dans les pays conquis était de l’ordre de 10% dans les premiers temps).
Toujours dans les deux ans après la mort du prophète, une petite armée de « bons musulmans » loin de leur base Médino-Mecquoise, conquirent le reste de l’Arabie (versant arabe du golfe persique incluant l’actuel Emirat Arabes Unis, Qatar jusqu’au Koweït.

Pendant que les gens de la capitale médinoise faisaient on ne sait quoi sur les plages pourries de la mer rouge, la petite armée de bons musulmans de l’autre côté du désert, sous le commandement du Général Ibn Walid, forte de sa victoire prestigieuse sur la petite bourgade de la Mecque, s’enfonça en Irak et décida d’aller titiller toute seule les deux super puissances militaires du moment; les Perses et les romains.
Boum-Boum les mécréants. Sans l’appui de la capitale médinoise restée de l’autre côté du désert, Khalid Ibn Walid et ses copains conquirent en 4 ans l’Irak, la Syrie, le Liban et arrivèrent au portes d’El Qods. Ce n’est qu’alors (636) que Médine décida de bouger pour envoyer Omar signer la capitulation avec le patriarche de Jérusalem.
Quant on pense que pendant 20 ans, Muhammad, appuyé par des armées d’anges, n’a réussit qu’à conquérir sa pseudo ville natale on ne peut qu’être épaté.
La logique “Gog”, si une telle logique pouvait exister, aurait pourtant voulu que Ibn Walid attaque par les routes commerciales que les Quraychites étaient, selon la science Gog, seuls à bien connaitre. Cela aurait permit de sécuriser le périmètre da la capitale Médinoise (on verra plus loin comment ce problème sera résolu). Que Nenni, nous dit –on. Ibn Walid, en grand stratège, décida de faire le tour de l’autre côté coté de la péninsule.
La science militaire Gog est aussi “impressionnante” que les autres sciences Gogs.
Que nos enfants vont être intelligents avec toutes ces sciences !

Sous le règne de Othman, troisième Calife, les musulmans allèrent jusqu’à titiller une première fois les Espagnols d’un côté et les Pakistanais de l’autre, en absorbant au passage ce qui restait de l’empire sassanide Perse.

C’est en 656 qu’arriva Ali au pouvoir, le 4 ème Calife. Durant ses quatre ans de règne, l’empire musulman aurait enfin décidé de changer de capitale et de quitter les villes qu’on nous a pourtant rabâchés comme étant saintes. Les voilà à Kufa, à 170 km au sud de Bagdad. Rapidement, la science du déménagement islamiste déménagea la capitale du plus grand Empire de l’époque à travers la barrière et le désert et tous les acteurs étaient présents 4 ans plus tard, de l’autre côté pour la grande Fitna. Subhanoo Allah !
C’est ainsi qu’on retrouve tous les héros des futures histoires dans le croissant fertile. Aucun personnage digne d’intérêt ne semble avoir voulu rester dans l’une des deux villes saintes. C’est ainsi, par exemple, que Muawiya fils d’Abu Sofiane, gouverneur de Syrie, décida d’aller châtier dans le croissant fertile (Iraq) ceux qui ont tué Uthman à Médine (ne cherchez plus à comprendre).

A partir de cette date (656), et là c’est désormais officiel, plus rien ne se passe plus dans les trous perdus du Hijaz. Médine, capitale 4 ans plus tôt, aurait incompréhensiblement décidé de rester neutre dans le grand combat de la succession qui se déroulait du côté de la toute fraiche nouvelle capitale de l’autre coté de l’Arabie, en Irak.
Jusqu’à ce jour, les mecquois et les médinois sont restés dans une uniformité et solidarité religieuse, loin des chamailleries doctrinales pendant que l’islam se fracturait et se sous fracturait en chiites, Omeyades et autres espèces de l’autre côté du Sahara à propos d’histoires familiales Quraychico-Quraychites de succession.
Hajj Dukhani en a les larmes aux yeux tellement c’est émouvant de piété et de tolérance !
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De 661–750, les Omeyyades régnèrent sur l’empire. L’islam était au maximum d’expansion.
Il n’y avait alors ni livres de Hadiths et ni biographies sur le prophète. La page était presque blanche pour les experts en ragots qui allaient suivre.
C’était au tour du diable d’envoyer ses prophètes et de transmettre sa parole sacrée dans des livres enseignant la religion par la technique que voici:

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La méthode de transmission de la parole chaytanesque est le parfait opposé de celle qui est authentifiée par Dieu:

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Notez que les cheikhs qui prétendent être les gens du dhikr (rappel) disent exactement le contraire de ce que le coran dit qu’ils doivent dire. Ils vous racontent que Dieu a laissé une suite de sa révélation et que pour la trouver, il faut aller fouiller dans des livres bourrés de plusieurs ouïe-dires dans chaque paragraphe.

Les prophètes du Chaytan sont la concrétisation de la promesse coranique suivante:

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Afin de séparer le mauvais grain du bon comme ceci:

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Labbayka Ya chaytan Labbayk ! Oyez ! Oyez! Les adorateurs du mensonge. Oyez!

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La brigade des conteurs Persans

En 750, le bien nommé Abu El Abbas El Saffah, descendant d’origine Perse du tonton du prophète à ce qu’il racontait, battit les Omeyyades et fonda le califat Abbasside. Dans la foulée de ces ex Zoroastre, arrivèrent aussi les Barmakides, famille de prêtres bouddisto-Zoroastres, vizirs des Abbassides. C’est alors que sa saleté le calife Abbaside Marouan décida de passer commande d’un premier livre de Hadiths à sa saleté l’imam Malik pour « mieux guider les musulmans » (C’est bien le fameux Malik de notre bon islam à nous).
La corruption en bonne et due règle de l’islam commença alors. La pollution de l’amana coranique confiée par Dieu aux musulmans devint une science. La science de la chakchouka des paroles de Dieu avec les paroles des cheikhs eut enfin ses “sponsors” politiques. La religion fut, dès lors, une affaire de cheikhs véreux soumis aux politiciens et aux émirs.

Très loin, au fin fond de l’ancienne Perse, en Ouzbekistan, en 810, naquit un conteur prolifique appelé Bukhari. Il écrivit un livre ou se mêlent pêle-mêle pipi, caca, tranches de vie affabulatoires sur le prophète et fables militaires élevées au rang d’histoire de l’islam.
Son collègue et ami l’imam Muslim naquit aussi loin. A Nishapur, au nord de la Perse en 815.
Toujours très loin, au nord de l’Iran, dans l’ex Tabaristan, naquit en 838 un autre conteur Perse de génie appelé Tabari, nommé Cheikh de l’islam à 8 ans (lol).
Toujours en Perse, à l’est, naquit Abu Daoud en 817.
Toujours en Perse, à Tirmidh en Ouzbekistan, naquit el Thirmidi en 824.
Parmi les conteurs quasi-indigènes, non Persans, nous trouvons Ibn Hicham, mort nous dit on en 833. Ibn Hichem serait d’une famille d’origine Himyarite (Yémen) et aurait vécu en Egypte et en Irak. Il nous demande de le croire lorsqu’il nous dit qu’il a rapporté ses histoires d’un livre d’Abu Ishaq que personne d’autre que lui n’a lu.
Un autre conteur non persan de grande importance est l’irakien Ibn Saad (784 à 845). Ibn Saad était appelé le scribe d’el Wadiqi, son mentor. El Wadiqi serait, nous dit-on, un médinois (ouf, enfin). Wadiqi fut sélectionné par le grand vizir barmekido zoroastro bouddiste Yahia ibn khalid ibn Barmak en personne et bénéficia du titre de grand cadi de Baghdâd (désolé pour ceux qui ont eu, pendant un court instant, un mince espoir).

Voilà donc la redoutable équipe de conteurs mobilisée par les Califes Persans pour rédiger les livres de l’islam des 1001 nuits pour des arabes qui n’étaient mêmes pas foutus d’écrire leurs propres histoires. Par hasard, tous vécurent sous la dynastie Zoroastre des abbassides, à la même époque. Mais rassurez vous, ils ont tous dans leur CV une formation à Médine (à moins que ce soit Mecca) pour étudier l’islam chez on ne sait plus qui serait resté là bas.
C’est ainsi donc que le sunnisme naquit ainsi chez les actuels Chiites. Et c’est ainsi que nous, haditho-croyants, apprîmes que Mecca et Médine, perdus dans un coin ou jamais rien ne s’est passé dans l’histoire, étaient nos villes sacrées. Ils nous racontèrent des batailles avec des tribus juives du sahara (?), divers résidus païens dans une Arabie Christiano-Judéo-Zoroastre, et même une croisade contre les romains gagnée par forfait à Tabuk.

Liste des expéditions de Mahomet

Les Gogs Musulmans du 21 ème siècle refuseront de le reconnaitre. Mais c’est de cette brigade et uniquement de cette brigade qu’ils tirent leurs sources, leur science et leur histoire.
Il n’y a pas d’autres sources. Aucune autre.
Les centaines de milliers de Grands Savants de l’islam ne font que répéter et enjoliver les contes inventés par cette brigade de conteurs persans.
Comme le dit si bien le coran, l’arbre du mensonge a des racines bien fragiles.

Mais cette profusion littéraire dans les années 850 ne fut pas du goût de tout le monde. Apparemment, visiblement juste pour enquiquiner ceux qui voudraient utiliser comme argument “scientifique” le fait que la Mecque et Médine auraient fait l’unanimité dans l’histoire de « l’islam », un groupe de rebelles formèrent, entre le Koweït et Oman, le royaume des Qarmates au début des années 900. Les Qarmates ne croyaient pas du tout aux contes Persans et considéraient le pèlerinage à la Mecque comme une superstition. Ces Qarmates sont même allés, comble du blasphème, à piller la Mecque en 930, profaner la source sacrée de Zemzem et piquer la pierre noire sacrée. Les Abbassides zoroastro-perso-sunno-chiites, tenaient tellement à leur caillou sacré qu’ils acceptèrent de payer une forte somme en 952 pour récupérer le joyau de la principale attraction touristique de Meccaland.

Les Qarmates s’étaient alliés contre les Abbassides avec les Fatimides qui leur étaient proches religieusement dans la doctrine ismaélite. L’actuel Grand Imam des ismaélites est un drôle d’imam. Le genre d’Imam mondain et jet-setteur à épouser des actrices Hollywoodiennes come Rita Hayworth (voir Karim Agha Khan). Quant aux Fatimides (909 à 1171), ce sont les shiito-ismaéliens qui ont crée un grand empire en commençant en Tunisie, à Mahdia.
La Tunisie a été Shiito-ismaélite de 909 à 1048. En 1048, un ancêtre à nous, berbère, tout aussi futé que nous, décida de se révolter contre les fatimides et de prêter allégeance à leur ennemi juré, les Abbasides. Les Fatimides nous envoyèrent alors les Banu Hilal qui complétèrent notre intégration au monde fabuleux de la science arabe rédigée par les perses. Et la Tunisie entra alors dans les ténèbres jusqu’à aujourd’hui.

L’histoire des premiers temps de l’islam est tellement ridicule, incohérente, stupide que même Hajj Dukhani a honte de dire qu’il y a cru, lui aussi.

Hajj Dukhani propose à ses lecteurs un petit exercice de décodage de l’histoire telle que transmise par les conteurs persans. Que chacun essaye de deviner ce qui s’est réellement passé à Suez.
On nous dit que Amr Ibn El As, le grand Christophe Colomb Arabe qui découvrit la Misr coranique en 643 à côté de l’Arabie, reçut, alors qu’il était en pleines conquêtes, une missive du planqué à Médine: “Mon petit Amr, l’Arabie a faim, pendant que tu y es, envoie nous du blé de là bas.”. Amr, fils de chauffeurs de chameaux depuis plusieurs générations, arrivé à cheval à Misr, eu alors la géniale idée de bâtir un canal à Suez.
En bon bédouin, Amr avait entendu parler de légendes concernant des navires qui passaient depuis l’antiquité par la mer Rouge pour livrer on ne sait quoi à travers les ports égyptiens et que Darius 1er (du Perse Achéménide) ainsi que Ptolémée (de l’égyptien grec) avaient déjà construis des canaux à Suez. Les ports d’Egypte avaient même fait la richesse des nabatéens (du Jordanien). Mais cette voie commerciale, selon la science islamique, n’était visiblement utilisée qu’exceptionnellement, en appoint, en cas d’embouteillage de chameaux dans le désert (La Zoologie islamique parle aussi d’éléphants qui traversent le désert. Ce qui a probablement tendance à ralentir le trafic chamelier). Conformément à la science de la logistique islamique, Amr opta pour la voie maritime pour le transport entre l’Egypte et L’Arabie.

Constatant que le blé ne pouvait pas passer par les chemins de l’encens (bukhour en arabe, comme Bukhara, le patelin de Bukhari qui connaissait bien le produit), Amr Ibn El Aas, en appliquant les principes de la science naissante du génie civil islamique, construisit son canal avec une facilité qui ferait pâlir de jalousie les grands bâtisseurs. Dans la foulée, Amr arma une flotte pour traverser perpendiculairement la Mer rouge vers Médine. Pour l’encens, en revanche, la traversée longitudinale de la mer rouge par le désert derrière la barrière restait bien plus pratique.
Les conteurs Persans nous racontent ensuite que, plus d’un siècle plus tard, le grand calife abbasido Zoroastre Mansur fur le premier génie à remarquer l’énorme bévue de Omar et Amr. Le canal de Suez exposait Médine à l’attaque des méchants qui venaient du pays du méchant Pharaon sous contrôle des Abbasides. Oubliant le blé d’Egypte, ne pensant qu’à MeccaLand et MedinaLand, la science de l’aménagement du territoire et du développement régional Islamique décida de fermer le canal entre ses deux gouvernorats. Personne ne pouvait plus attaquer Médine par là nous certifia alors la science militaire islamique.
Pendant longtemps, on n’a plus vu de bateaux dans la Mer rouge. Concernant les chameaux transportant de l’encens dans le désert, on n’en a plus vu aussi depuis puisque d’autres rigolos on constaté qu’on pouvait livrer du Bukhour de Bukhara à travers l’Irak et le croissant fertile.
Mais ça, Bukhari, Maitre encenseur de père en fils, le savait déjà.

Une autre histoire

Inutile de vous répéter qu’il ne faut pas croire Hajj Dukhani sur parole. Ce serait du Kofr. Dieu ne pardonnes pas à autre que Hajj Dukhani de suivre la fumée de son Jinn qui fait son Hajj dans les lieux qu’on nous dit sacrés

Il est important de rappeler que la véritable histoire du prophète n’a aucune importance religieuse. Ce n’est pas Muhammad et ses aventures qu’il est demandé de vénérer. Ni Jésus. Ni Issa. Ni Moise. Ni Abraham. Ce n’est pas non plus à une grosse pierre niquabée enceinte d’une pierre noire qu’il faut faire allégeance.
Vénérer toute autre que Dieu et la vérité conduit irrémédiablement à l’égarement.

Prenons le mot « Bismillah ». C’est un mot en langue Arabe que vous pouvez lire dans un script Latin. Bien qu’un Francophone puisse le lire, seul un arabophone peut en comprendre directement le sens. De la même façon, le coran est un livre de langue arabe originaire du sud de l’Arabie écrit dans un script originaire du Nord (araméo-nabatéen). Le coran est ainsi, lui-même, un témoignage de l’origine géographique de la langue dans laquelle il a été révélé (départ de la véritable Hijra au sud de la péninsule) et de l’origine géographique de la langue dans laquelle il a été transcrit (arrivée de la Hijra plus au nord de la péninsule).

Nous avons vu dans Chouyoukhs 8 que Muhammad vivait à côté des cités du peuple de Lot (les versets 37-137:138 parlent d’un passage matin et soir ce qui signifie résidence). Il y est fait aussi référence (29-38) aux peuples Aad et de Thamud qui s’y sont succédés (oui, je sais, les contes persans placent les Thamud et Madain Salih au nord, contrairement aux datations archéologiques). Le royaume de Aad est un royaume sud yéménite détruit par des « phénomènes » géologiques dans une région yéménite appelée Hadramaout (en Arabe, Hadhara el maout signifie la mort arriva). Il y a une grande logique phonétique et linguistique à ce que le Yémen soit le pays où se délivre l’Amana (paroles de Dieu). Il y a aussi une grande logique pédagogique de la part du grand professeur (Rabb) à nous parler de l’épopée de sa parole dans une même région (Dans Chouyoukhs 3, Hajj Dukhani a déjà fait référence aux recherches sur l’hypothèse que Abraham et Moise soit des “yéménites”).

Le coran a été très probablement révélé après la Hijra en l’an 617 (voir Chouyoukhs 8). La Hijra a consisté à quitter la région des oppresseurs que le coran situe dans la région ou vivait les Aad (11-82).
Voilà pour la zone de départ de la Hijra.
Après la Hijra et après apparemment une longue absence, Muhammad est revenu sur sa terre natale (48-12). Muhammad devait prêcher dans “la mère des villages” (OMMOU EL QURA) et dans ses alentours (6-92,42-7). Qura a même racine que Qarra qui signifie sédentariser. Le mot village ne s’applique donc pas à des campements nomades de bédouins et l’expression “Mère des villages” et alentours élimine, encore une fois, si besoin est, la région désertique de MeccaLand (le coran parle même de villages fortifiés (59-14)!!!).

En revanche, l’expression “Mère des villages” s’applique parfaitement à la répartition de la population au Yémen. Prêcher la parole de Dieu dans la “mère des villages” semble être une étape nécessaire dans une vie prophétique (28-59). Nous savons en outre que Muhammad n’était pas originaire d’une des deux villes principales de la région (43-31). L’expression coranique “mère des villages” (Ommo el Qura) signifie visiblement la métropole du coin où il y a une forte affluence. C’est la signification linguistique du mot BAKKA qui signifie l’endroit où on se bouscule. C’est Abraham qui a construit le premier temple dédié à l’enseignement de la parole de Dieu dans la Bakka de “sa” région (3-96) en y invitant tous ceux qui passaient par là (22-26). Dieu n’est pas fou et ne demande pas à ses prophètes de prêcher sa parole dans les déserts derrière des barrières géographiques.

Le quartier général des Musulmans après la Hijra et juste avant les conquêtes islamiques hors péninsule arabique est une évidence militaire. Il suffit de voir sur une carte par où les musulmans ont commencé à se frotter au reste du monde pour deviner la région où ils se sont installés et renforcés après la Hijra. La région s’étale probablement de l’actuelle Oman jusqu’à, maximum, l’actuel Koweït. Cette région correspond à peu près à ce qui s’appelait auparavant l’ancienne Bahreïn et dont la capitale était, par pure coïncidence, une ville qui s’appelle Hajar. Toujours par pure coïncidence, selon certains historiens, cette région s’appelait le pays du Qirch (requin baleine). Quraychites serait un nom approprié pour les habitants d’un pays ainsi nommé.

Cette histoire du Coran est conforme aux recherches linguistiques modernes. Dire que le coran a été révélé et transcrit tel qu’il est aujourd’hui à Mecque et Médine est une ânerie sur le plan des recherches linguistiques.
De 617 jusqu’à la mort du prophète, l’islam a pu se renforcer dans le versant arabe du golfe persique sous la prédication du Messager de Dieu en personne. La défaite des perses et de leurs alliés Lakhmides contre les romains, a permis d’isoler cette région de l’influence Perse (Les perses aurait aussi perdu des batailles contre les Habitants arabes de cette région à cette époque). La ligne de front entre les romains et les perses s’étant déplacé plus haut, en Irak, cette région a fournie la sérénité suffisante à l’enseignement, la consolidation et le renforcement de l’islam durant la vie du Messager Muhammad. En 628, après la défaite perse contre les romains, Badhan, le gouverneur perse du Yémen, se serait même converti même à l’islam (?). La péninsule arabe devint libre et les musulmans purent être enfin contents (30-2)
Dans cette région aussi, on trouvait des juifs, des chrétiens, des gens qui maîtrisait l’écriture syriaque et nabatéenne. Des coalitions militaires se sont aussi visiblement établies entre les premiers musulmans et les juifs et chrétiens de la région pour aller libérer la terre sainte de Palestine.
Bref, il y avait tout ce qu’il faut pour une histoire raisonnable et crédible des premiers temps du renouveau de l’islam avec son dernier Messager. La grande histoire des premiers temps de l’islam est celle d’une nouvelle voie qui est apparue dans la fracture des empires Romains et Perses.

Rien avoir avec les trous perdus du Hijaz et les petites guéguerres tribales de bédouins.
Même aujourd’hui, là bas, ils ne pensent pas et n’écrivent pas. Après des siècles de pauvreté et de ténèbres, ils utilisent leur or noir uniquement pour plonger les musulmans dans les ténèbres. Les derniers restes fossiles du paradis d’Adam sont dépensés pour diffuser l’ignorance qui se fait appeler science.
De tous les mécréants, les Aarab sont bien les pires (9-97).

Il ne faut jamais oublier que ce sont toujours les vainqueurs qui écrivent l’histoire. Lorsque le pouvoir revint aux Perses au travers des Abbasides, l’ennemi était les Omeyyades d’origine Quraychite. Les omeyyades étaient leur “Azlam ma Qabla el Thaoura”. Il est donc tout à fait normal de retrouver Abu Sofien, père du premier calife Omeyyade, dans le rôle de leader des ennemis du prophète et de l’islam. Cela faisait probablement partie de cahier des charges soumis par les Abbasido-Zoroastre à leur brigade de conteurs persans. Comme avec l’empereur Constantin, le cahier des charges incluais visiblement l’incorporation des rites Zoroastres (5 prières génuflexantes quotidiennes, jeûne, pèlerinage etc.) en vigueur dans leur pays natal.
Comme les romains avec Constantin, les iraniens se convertirent en masse durant la période Abbasside à la nouvelle religion qui leur a été modelé sur mesure (http://islamicexpansionanddecline.blogspot.com/2007/04/chapter-6-triumph-of-faith-conversion.html).

Il est impossible que le fils d’Abu Sofien, devenu musulman après son père nous dit on, soit nommé gouverneur de Syrie par ses anciens ennemis, seulement 8 ans après la mort du prophète. Il est impossible aussi que les premiers Musulmans acceptent la ligné d’Abu Sofiane, ennemi juré du prophète, comme dynastie gouvernante. Il est quasiment impossible que les descendants des babyloniens acceptent des bédouins illettrés venus de l’autre côté du Sahara comme famille régnante. L’aura des Omeyyades a été visiblement délibérément amochée par les conteurs persans à la solde des Abbassides.

Les qarmates que nous avons déjà évoqué sont le témoignage historique du rejet inévitable des contes perso-abbassides par la région qui a vécu la véritable histoire. Les qarmates sont un clan yéménite réputé pour avoir été parmi les premiers Musulmans à supporter le prophète. Il est troublant de voir des yéménites, parmi les premiers musulmans, contester MeccaLand et fonder un royaume dans l’ancienne Bahreïn dont la capitale était Hajar après avoir fait une Hijra que personne ne peut contester. N’est il pas ?
La région d’Oman garde jusqu’à aujourd’hui la trace d’un islam particulier, ni sunnite, ni shiite, proche des ismaélites. Il s’agit de la doctrine Ibadite. Le versant Arabe du Golfe persique porte tous les stigmates des premières querelles religieuses de l’islam. Le Hijaz, siège de Mecque et Médine, est en revanche d’une consternante uniformité dans l’allégeance aux contes Persans. Un désert doctrinal jusqu’à aujourd’hui.

Probablement, nous ne saurons jamais pourquoi les pouvoir Abbasside, en précurseur à Walt Disney, a décidé de créer des parcs à thèmes pour les Gogs idolâtres dans un trou perdu du Sahara derrière une barrière géographique dans un zone pourrie à l’air infect. La raison la plus plausible est qu’ils ont voulu éloigner le point focal de l’islam le plus possible de leur pays d’origine, de l’autre côté du Sahara. Il se peut même que leur volonté initiale ait été d’étouffer cette religion contrairement à Constantin qui a n’a pas hésité à placer sa ville sainte à Rome même. Mais les conteurs persans ont visiblement sous estimé la soif insatiable des “super-pieux” pour la bêtise.
Comment deviner que la piété au mensonge allait traverser les déserts pendant des siècles ?
Quelque part en enfer, peut être, une brigade des conteurs persans se tire probablement les cheveux.

Labbayka Ya chaytan Labbayk !

Les perses ont eu un rôle fondamental dans l’histoire de la religion. C’est sous leur domination qu’a été écrit le Talmud de Babylone. Le christianisme est une sorte de mélange élaboré par l’empereur Constantin et sa brigade de conteurs romains à partir de la doctrine juive, d’une secte bizarre de juifs appelée chrétiens et du culte mithriaque rapporté de Perse par les soldats romains. La culture millénaire Perse a “l’expérience” de ces choses.

L’absence dans le coran des Perses, de leur culture, et surtout de leur religion, le zoroastrisme, est quasiment inexplicable. Les grands cheikhs, nous l’avons vu, sont pourtant perses! Comment est ce possible ?
Bukhari, Muslim, Thirmidhi, Ibn Daoud, Tabari… Aucun de ces perses n’a fait l’effort de comparer les rites “musulmans” et les rites Zoroastres forts similaires alors que leur pays était, à cette époque, encore majoritairement Zoroastre ? Qui peut croire ça ?
Comment ne pas y voir une volonté délibéré de sous estimer l’immense influence du zoroastrisme sur l’islam et de la culture millénaire Perse qui a colonisé la péninsule arabique à l’époque du Messager Muhammad ?

La seule explication plausible à l’inexplicable absence du coran des perses colonisateurs est qu’ils soient présent mais que, le lecteur, à l’esprit totalement pollué par les mensonges cheikhaux, est incapable de les voir. Ce qui ne serait évidement pas surprenant.

Nous avons vu, dans Chouyoukhs 3, que Jésus christ ne peut en aucun cas être Issa, le fils de Mariam, sœur de Aaron et fille de Imran. Du coup, les Nassara du coran ne peuvent en aucun cas être les chrétiens ou toute autre “groupement” religieux lié au faux Messie qui n’a rien libéré et rien écrit.
L’hypothèse que les Nassara représentent les Zoroastres peut sembler à priori délirante pour un esprit nourri à la diarrhée Cheikhale. En réalité, rien n’empêche de supposer que le Messie, fils de Meriem et neveu de Moise, pendant les fameuses 40 années d’exil, ait fait une escapade en Perse pour délivrer son Injeel avant de revenir pour livrer la terre promise aux descendants de ceux qui ont reçu la torah.
Jésus n’ayant rien de prophétique, les chrétiens ne sont, techniquement, que des juifs (désolé pour Hitler). Tout l’occident est juif. En revanche, l’orient est bourré de Nassara. D’Iran jusqu’en Inde. Tels sont les deux grands groupes religieux du coran. Le coran est apparu entre ces deux mondes, celui des Gogs juifs à l’ouest et des Gogs Nassara à l’est (2-177).
Le verset 2-113 est d’une grande clarté. Nassara et Juifs n’ont rien de commun et certainement pas toute une moitié de livre sacré appelée ancien testament. Les (insistons sur le “les”) évangiles ne sont que la sunna d’un faux Messie Le plus drôle c’est qu’elle probablement inspirée de celle du vrai car Allah est clément avec les bons chrétiens.

Un Zoroastre est un supporter de Zoroastre le fondateur de la religion Zoroastre. Une expression commune pour les Zoroastres est behdin, qui signifie suiveur de “Daena” (inutile de traduire pour les arabophones). Zoroastre, le prophète qui fonda le zoroastrisme s’appelle aussi Zarathoustra qui signifierait, étymologiquement, celui qui arriva sur un chameau (jaune or). Visiblement, Zarathushtra n’était pas du pays et pourrait être originaire d’un pays à chameaux. Son enseignement aurait ainsi conquis presque toute l’Asie en repassant par Rome via Mithra.
Ainsi, Nassara et Zoroastres ont la même signification. Issa serait ainsi un grand Messager de Dieu, qui prêcha auprès de deux peuples, les dits juifs et les dits Zoroastres. Il mériterait largement l’appellation Zul Qarnein (l’homme aux deux peuples). Un grand Messager qui avait des “contacts” privilégiés avec Dieu au moment où Dieu décida de commencer sa grande chakchouka/ratatouille des vagues de croyances Gogs et Magogs.
Hajj Dukhani doit avouer son manque de connaissance de la Cheikhologie Zoroastre. C’est compliqué là-bas aussi. Issa peut être Zarathoustra, Mitha ou aucun des deux. Inutile donc aux contradicteurs d’attaquer Hajj Dukhani par le Zoroastrisme.

Dieu est le meilleur des comploteurs. Jamais un musulman ne devrait oublier cela.
Quand Dieu agrée un peuple, cela se voit. Et quand Dieu abandonne un peuple pour sa mécréance, cela se voit aussi, même si les mécréants essayent de se convaincre qu’ils sont ses élus sur terre garantis 100% d’aller au paradis. Les Hypocrites et les idolâtres peuvent s’auto-mentir, mais ils ne tromperont pas Dieu et Dieu saura, le jour J, en donner une preuve indiscutable. Les Messagers seront là et ils témoigneront de la véritable histoire.

Hajj Dukhani ne se fait aucune illusion. Les biberonnés à la science Cheikhale, y compris les athées et les “libres d’esprit”, n’ont plus de place dans leur cerveau pour les versets coraniques et les véritables faits historiques. De toute façon, Dieu refuse de mettre sa science dans un tel foutoir et exige un minimum de volonté sincère de purification cérébrale préalable.

Même les soi-disant coranistes ont du mal à se défaire de ses absurdités. M. Talbi, par exemple, même en contestant la source “Cheikhale”, est encore empêtré dans les histoires qu’elles véhiculent. M. Talbi est tout simplement un faux coraniste. Il se gave encore du fruit défendu. Il rejette les livres de Hadiths mais en accepte les récits. Contrairement à l’ignoble et infréquentable Hajj Dukhani, les écrits de M. Talbi sont encore politiquement corrects. Il est “invitable” et fréquentable. Il choque à peine. Il est “mieux”.
Les “bonnes Bukhalités” sont acceptables dit M. Talbi. Il dit hériter la façon de prier de son papa et de sa maman. Mais un enfantin raisonnement par récurrence montre que cela revient à suivre les anciens. M. Talbi est bel et bien un salafiste.
A M. Talbi, Hajj Dukhani dit:
“Flanches pas si près du but. Lâche la barbe de Bukhari et ne t’y agrippe pas. Ne sens tu pas encore ses poils dégoutants dans ta main ?
Allez Talbounet, Courage!
Abandonne définitivement le salafisme!
Ce n’est pas parce que tu rejettes la lapidation, la pédophilie et le meurtre des apostats que tu n’es plus salafiste. Ton pseudo-coranisme n’est qu’une tentative de modernisation du salafisme. Une antinomie de plus qui prouve ta pleine appartenance à la science des contradictions. Tu te prosternes devant leur pierre sacrée. Ton Hajj à la Mecque est le leur. Ta Qibla est leur Qibla. Tu es des leurs même s’ils veulent te tuer.”

Mais qui sait ? Avec les futurs jeunes Tunisiens, il y a peut être de l’espoir.
Après tout, n’est-il pas dit dans le coran que Dieu a attendu la génération suivante (40 ans) pour que les descendants de ceux qui sont retournés vers l’idolâtrie après avoir été libérés de Feraoun soient réellement libérés ?

Ceux qui s’enchainent eux mêmes ne sont pas libérables. Les rites et l’islam que voudrait suivre les musulmans modérés est issu des mêmes livres abominables qui provoquent leur perdition. Le package de Satan est indissociable.
L’élite “intellectuelle” Tunisienne est inutile, futile et n’a rien à enseigner. Elle s’empêtre dans la Majujerie stérile qu’elle prend pour une éducation et une émancipation. Son peuple, après deux ans de liberté d’expression, est toujours incapable d’expliquer ne serait ce à quoi sert une constitution. Tel est l’exemple d’un peuple égaré qui tourne en rond dans la bêtise sans avancer d’un poil dans le bon sens.

Conclusion:

Oups! Hajj Dukhani a failli oublier.
Le verset où le mot Mecca apparait comporte une bizarrerie. Mecca est précédé du mot Batni qui signifie ventre. Que vient faire le mot BATNI avant le Mot Mecque ?
Pour les Gogs, ventre veut dire vallée (Science de la géographie Gog). Mais Hajj Dukhani sait que Dieu à un vocabulaire riche est n’est pas du genre à commettre ce genre d’imprécisions.

En ouvrant un dictionnaire arabe on trouve que Makka, avec double k, signifie sucer et aspirer quelque chose jusqu’à ce qu’il n’en reste plus. Une continuation logique du mot ventre.
On est donc dans une sorte de monde culinaire avec des mangeurs et des mangés par aspiration. Batni Mekkata = ventre aspirant. Amusant! N’est-il pas ?

Batni Mekkata est trivialement opposable au Rahm de Dieu au sens de matrice créatrice.
Nous avons vu dans Chouyoukhs 6 que Rahman et Rahim ont même racine que Rahm et que Jehennem est une sorte de trou noir infini dans lequel seront aspirés les âmes destinés au rebut et à la séparation de leur Créateur. Le Rahm est créateur de vie tandis qu’un simple ventre absorbe la nourriture odorante pour produire ce que vous savez.
Dieu, n’acceptera dans sa Jenna que les âmes qui ont su prendre soin de sa parole. Ils reviendront dans le Rahm de la vie. Dieu a séparé leurs mains de celles de ceux qui sont aspirés irrésistiblement dans Batni Mekkata.

Rares sont ceux qui restitueront à Dieu le Deen dans l’état où ils l’auront reçu de Dieu. C’est sous forme de bouillie méconnaissable qu’ils restitueront à Dieu la parole purifiée qu’il leur a confié. Le jour du Deen sera terrible.

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La traduction par Hajj Dukhani du verset “prouvant l’existence” de la Mecque est ainsi:

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Allah ne se fera pas avoir par la piété de pacotille de ceux qui rejettent ses paroles :

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Slurp! Slurp!
Labbayka Ya chaytan Labbayk !
Slurp! Slurp!

Nous ne pouvons oublier, dans notre conclusion linguistique, l’autre ville sacrée de nos amis les islamistes. Ce n’est franchement pas la faute de Hajj Dukhani si les conteurs Persans ont baptisés leur parc à thèmes avec des noms pourris trouvés dans le coran. Yathrib, nous disent les grands savants de l’islamisme, aurait été rebaptisé en Médine par Muhammad lui-même entre-autres pour oublier le nom infamant qu’elle avait et qui ne gênait pas visiblement ses habitants auparavant. Yathrib signifie tout simplement graisse. Exactement celle dont la combustion produit l’odeur pourrie que la langue arabe appelle le Chayt.
Inutile donc de se poser la question de savoir pourquoi les hypocrites semblent tous habiter la ville sacrée de Yathrib dans le verset afférent.
La signification du mot coranique “Médine” et de sa sœur “Median” est reportée à une date ultérieure.

Passer par Yathrib et aller se recueillir à Batni Mekkata!
Quel beau pèlerinage! Et en plus, ça coutes cher.

Franchement, Mr le Chaytan, dans le “foutage de gueule”, tu es vraiment un Kador. Ouille-ouille, tu leur fais quand ils jettent des petites pierres sur une grosse. Mais l’esbroufe que je trouve la plus rigolote dans les rituels absurdes que tu leur a écrites est celles qui transforme le Safa (bétail aligné) et le Marwa (l’à boire) qu’il n’est pas interdit d’emmener avec soi au débats (Hajj) en deux montagnes sacrées entre lesquelles il faut obligatoirement faire des vas et vient. Vraiment Bravo pour celle là.

Le chaytan n’est pas tout rouge avec des cornes. Il est en chacun de nous (sourate 114). Il construit sa religion à coups de mensonges et ses adorateurs finissent par la trouver merveilleuse et pleine de spiritualité. Le mensonge devient alors vérité et pour éviter d’être contesté, il exige la sacralité. Le sacré est la marque du Chaytan. Un indice infaillible pour un adorateur de la vérité. La vérité n’a jamais peur du véritable Hajj et le réclames.

Beaucoup trouveront que Hajj Dukhani exagères. Mais l’équation Dieu=Mensonge unit les idolâtres et les Athées. Les uns font du mensonge un Dieu tandis que les autres font de Dieu un mensonge. Mais l’équation de leur foi est la même. Les Gogs et Magogs sont les deux faces d’une même médaille. Ils sont champions pour opposer le non sens avec le sans sens.

En revanche, l’équation, que dis je, l’identité Allah=Vérité est celle de ceux qui ne peuvent adorer l’un sans l’autre. C’est celle de ceux qui savent que le chaytan, le Dieu de la non vérité, le Dieu du mensonge, est capable de construire toute une religion et de l’appeler islam.

Avec Mister Chaytan, le menteur des menteurs, celui contre lequel la grande vérité (Dieu) nous longuement prévenu, le mensonge est forcément énorme, incroyable et démesuré. Ceux qui disent que le contenu de cet article est incroyable car trop énorme sont énormes dans l’hypocrisie vis à vis de la parole divine. L’énormité n’est pas preuve d’inexistence.

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Hajj Dukhani exagères ? Devrait-il rechercher la vérité (Allah) en tolérant le mensonge (chaytan) et en étant respectueux envers la sacralité qu’il réclame ? Le mensonge est-il tolérant avec la vérité ? Qui impose sa lecture et qui avertit avant d’être lu ? Qui agresses et ne tolère même pas d’être contesté ?

Quelle est l’espérance de vie de Hajj Dukhani dans une mosquée ?
En tant que Hajj Dukhani, rien que pour ses idées, Hajj Dukhani est tout simplement interdit de vie dans son pays qui se targue d’avoir au moins gagné la liberté d’expression. Le seul sois disant acquis de cette révolution est déjà un mensonge pour Hajj Dukhani. Seul le mensonge a été libéré et il y en a partout.

Douze siècles de diarrhée Cheikhale et de colère divine ne semblent pas suffire aux Tunisiens. Ils en redemandent encore. Tous sont à la recherche de la bonne “cheikhalité”.
“Nous sommes tous musulmans”. C’est avec ce parfait mensonge que les Tunisiens, y compris les athées, essayent de s’unir alors que c’est avec leur “islam” qu’ils se désunissent et qu’ils risquent de s’entretuer.
Le mensonge gouverne ce pays et le grand absent du grand débat sur l’islam par tous ces musulmans est, bien sûr, le coran.

Le Hajj que propose Hajj Dukhani à ses lecteurs est gratuit et la sensation de liberté est 100% garantie au bout. Pour certains, quelques secondes peuvent suffire. C’est à la fois si facile et si difficile. C’est comme une petite mort pour rencontrer la petite vérité avant la grande mort pour rencontrer la grande vérité. Une petite mort consciente, raisonnée où on est encore libre d’abandonner ce que l’on abandonnera de toute façon (identité, patrimoine, culture et bazar divers).

Que le lecteur qui se dit croyant essaye de se sentir directement interpellé par ce verset:

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Hajj Dukhani, le répètes: il n’a aucun scrupule. Hajj Dukhani Yakfor (rejette) tous les cheikhs en bloc, ceux d’autrefois et ceux d’aujourd’hui, et n’admet comme maître (Rabb) que le Rabb unique, auteur du coran (la lecture). Il considère ses propres articles comme un soutien scolaire d’un élève qui a beaucoup lu pour ceux qui ont des problèmes de lecture surtout quand on leur met des versets sous le nez.

Hajj Dukhani a la prétention de se croire en avance dans sa classe et franchement, ce n’est pas le temps que les autres élèves passent à lire le coran qui va le faire changer d’avis.

Hajj Dukhani ne jette l’éponge que devant les illuminés dont le pays se fait bouffer par l’islamisme et qui continuent à ne pas trouver “chic” pour un “intellectuel” de parler du coran. Devant autant de perspicacité intellectuelle, Hajj Dukhani reste sans voix. C’est pas “chic”.

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Ya Ilahi ! Veuillez excuser l’insolence de Hajj Dukhani, ce pouilleux berbère avec du misérable sang carthaginois dans les veines, mais, sans vouloir vous offenser, vous qui savez tout, ce qui a été, est et sera, comment voulez vous qu’il y ait un soupçon de possibilité de chance que tous ces libres penseurs et ces athées super intelligents, qui ne gobent rien sans vérifier à ce qu’ils racontent, croient un mot de ce que leur raconte un endoctriné par des histoires anciennes enfermé dans une prison cérébrale de conformisme intellectuel ?