Nawaat poursuit la série d’échanges avec les membres d’organisations de la société civile à propos du projet de loi portant sur la répression des agressions contre les forces de l’ordre.

Nawaat poursuit la série d’échanges avec les membres d’organisations de la société civile à propos du projet de loi portant sur la répression des agressions contre les forces de l’ordre.
Outre la version intégrale (voir ici-bas), voici un résumé vidéo de l’exposé du rapport de Mouna Mtibaa concernant la propriété des médias audiovisuels privés en Tunisie. Exposé ayant eu lieu au sein des locaux de l’association YAKADHA. Le rapport a été introduit et conclu par Kamel Labidi, ancien président de l’Instance indépendante chargée de réformer l’information et la communication (INRIC).
En Tunisie la liberté de la presse et la liberté d’expression ne sont toujours pas garanties. Et chaque jour est une bataille. Si ce ne sont pas des dirigeants mis à la tête de médias publics sans concertation, ce sont des violences à l’égard des journalistes, des restrictions dans la pratique professionnelle, des blogueurs et artistes victimes du système judiciaire.
Aujourd’hui au SNJT une conférence de presse annonçait le lancement d’une coalition civile pour défendre la liberté d’expression en Tunisie. Une manière de montrer au gouvernement que la société civile est unie et qu’elle n’entend pas baisser les bras.
Mercredi 13 mars, jour anniversaire de la mort de Zouhair Yahyaoui, cyberdissident tunisien, l’association Vigilance organisée une conférence sur la liberté de la presse au sein de l’université de la Manouba. Que gagne-t-on en garantissant la liberté de la presse ? Réponses de Om Zied, Hamida El Bour et Kamel Labidi.