بالرجوع الى القضية المرفوعة ضد عشرة مواطنين من سيدي مذكور بمنطقة الهوارية (نابل) لاحتجاجهم على الوضع البيئي في الجهة والآثار البيئية للمياه المستعملة لمصانع تحويل الإنتاجات الفلاحية كالطماطم وغيرها، فإنه في صائفة 2017 لم تكن الروائح الكريهة المنبعثة من معامل الطماطم أقل وطأة على قلوب الفلاحين من صرف مياه المعامل في الأراضي الزراعية والذي كان سببا واضحا في انتشار الأمراض وفي إتلاف المحاصيل الزراعية.
Douraïd Souissi, photographe des hautes solitudes
En une dizaine de portraits, le geste photographique de Douraïd Souissi en dit beaucoup plus sur l’éthique du point de vue que sur le petit quart d’heure de gloire promis par les feux de la rampe. Ce ne sont d’ailleurs pas des images, mais des contre-images dont les sujets se refusent à notre regard. De ces sujets, en grande partie masculins que l’on voit se replier sur leur intimité, nous ne saurons d’ailleurs que les prénoms qui donnent son titre à cette troisième exposition personnelle du photographe. Celle-ci se poursuit actuellement à la galerie A. Gorgi, jusqu’au 10 mai 2017.
Mohamed Ayachi Ajroudi : pratiques illégales, condamnations judiciaires et projets farfelus
Après avoir construit illégalement et s’être accaparé le bien d’autrui en plein domaine forestier, Ajroudi risque une amende de plusieurs milliers de dinars et une peine d’emprisonnement. Pourtant il continue à braver les lois et intimider ceux qui tentent de dénoncer ses entraves à la loi. Non seulement les autorités tardent à intervenir, mais elles font la promotion de son nouveau mégaprojet saugrenu, une « éco-cité » dans la région du Cap Bon. Deuxième partie de notre enquête.