La Radio nationale nie les accusations de censure

Le 16 juillet dernier la radio nationale tunisienne a publié un communiqué niant les dernières accusations de «censure». En effet l’institution publique a récemment fait l’objet de critiques virulentes suite à à l’interdiction faite à la journaliste de RTCI, Nadia Haddaoui Mabkhout, d’accéder au siège de la radio, siège depuis lequel elle anime l’émission de radio “Café Noir”.

Global Voices Citizen Media Summit: Day 1

On July, 2 more than 300 bloggers, netizens, and academics flocked to Westlands in Nairobi, Kenya to take part at the 2012 Global Voices Citizen Media Summit. After welcoming guests, Ethan Zuckerman, co-founder of Global Voices Online gave some historical background, and talke about the first Global Voices Summit.

Book readers invade Tunis main avenue

Habib Bourguiba Avenue in Tunis, usually a stage for protests and police crackdown, turned into an open library in the afternoon of 18 April. Armed with their books, adults, teenagers, children, men and women from different social classes occupied the avenue to take part in “the Avenue Reads”.

.الأنترنت هي الحرية” حوار مع الرئيس المدير العام للوكالة التونسية للأنترنت”

كان نظام زين العابدين بن علي دوما عدوا للأنترنت الحر. فعبأت مراقبة الآنترنت العديد من الوسائل. وكانت الوكالة التونسية للأنترنت (وتأ، التي تأسست سنة 1996) الأداة التي استعملها النظام لإقامة الحواجز لتمنع الوصول للأصوات المناهضة له على الشبكة العالمية وللمواقع التي تعارضه. وبعد إسقاط بن على في 14 جانفي 2011، بدأ المبحرون التونسيون على الأنترنت يتمتعون، ولأول مرة، بإمكانية الولوج للأنترنت يدون رقابة.[…]

Tunisie : la censure prend une tonalité religieuse

Si la chute de Ben Ali a ouvert les portes de la liberté d’expression et marqué la fin de la censure sur Internet, elle a aussi permis l’émergence d’une censure morale et religieuse. La droite a profité tout autant que la gauche de la chute du mur de la peur. Elle s’est organisée en partis politiques ou en associations, a appelé à des manifestations pour condamner des évènements culturels considérés comme du «harcèlement religieux”, et tenté de traduire en justice ceux dont les actes ont «porté atteinte à l’islam”.

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