رغم تعطل خروج أسطول الحرية 2 من تركيا وقرار تغيير علم الدولة من على السفينة، عكس الحدث في رمزيته تعلقا شعبيا بنصرة فلسطين. مقابل تأرجح الموقف الرسمي الذي تهرب من قانون تجريم التطبيع.
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رغم تعطل خروج أسطول الحرية 2 من تركيا وقرار تغيير علم الدولة من على السفينة، عكس الحدث في رمزيته تعلقا شعبيا بنصرة فلسطين. مقابل تأرجح الموقف الرسمي الذي تهرب من قانون تجريم التطبيع.
Bien avant qu’elle ne puisse comprendre les mots et leur poésie, depuis son plus jeune âge, Widad Mjama est fascinée par les Chikhates, ces femmes chanteuses et gardiennes d’une tradition datant du XIIe siècle. Le projet artistique de l’AÏTA est né de cette fascination. « Aita mon amour » est le nom de sa nouvelle création, produite en collaboration avec Khalil Epi. Par cette création, le duo a souhaité arracher cette poésie à l’oubli, rendre hommage à ces femmes majestueuses et faire résonner cet art typiquement marocain à l’ère numérique.
Oscillant entre profond bonheur et désespoir, Bon deuil !! nous immisce dans les échanges et l’intimité d’une jeunesse abandonnée. Composant à partir de leur vécu, deux danseurs nous prennent à témoins et reconstruisent par leur corps leur réalité tel un rituel pour faire le deuil d’une vie sacrifiée. Une œuvre poignante qui nous rappelle douloureusement nos échecs.
Le collectif Room 95 fait la promotion de la scène underground, via des installations immersives qui entrainent les participants dans un voyage dans le temps, en les immergeant dans l’univers des 90s.
Fruit de plusieurs années de contemplation, la première exposition individuelle de Chehine Dhahak est une exploration visuelle de l’errance. Capturée au gré des rencontres fortuites, chacune de ses photos se présente tel un assemblage soigneusement orchestré, où l’harmonie visuelle et les proportions occupent une place prépondérante.
Fashion WeAk est le tout premier album de Donc Pac. Cet album novateur incarne la fusion artistique qui caractérise le musicien, marquant l’union audacieuse entre la musique acoustique et électrique. Plongeant dans les influences éclectiques de l’artiste, Fashion Weak se présente comme un voyage musical, explorant les méandres du reggae, de la cumbia, du dub, de l’afro ou encore, du hip-hop.
« Memories of Concrete » est un court-métrage expérimental, aux confins du journalisme et de la création artistique. Le film basé sur des images prises au marché central, offre un cocktail détonnant qui mixe les enregistrements vidéo de corps en mouvement, avec des créations graphiques. Avec ses sons enregistrés et ses dialogues incrustés, le réalisateur met en évidence les contradictions et l’évolution paradoxale des Tunisiens.
L’objectif de l’expérience « Les Amazighs, Mémoires Perdues » de Med Arbi Soualhia est d’abord d’archiver la mémoire collective. Ainsi, quatre témoignages ont été recueillis puis déclinés sur trois volets en réalité virtuelle. Le résultat : une expérience unique pour mieux comprendre l’histoire des Amazighs du sud tunisien et découvrir leur culture.
Les chiffres sur les violences contre les femmes explosent. Dans les faits, en moyenne une femme est assassinée chaque mois par son époux. Les migrantes sont également exposées à toutes sortes de violences (sexuelles, économiques…) en Tunisie. Quelles sont les conséquences de ces violences ? Quelles sont les formes de résistance visant à endiguer la propagation de la haine ? Cette résistance parviendra-t-elle à établir une société plus égalitaire et libre pour les femmes ?
Mise en scène par Essia Jaibi, la nouvelle performance théâtrale de Jalila Baccar STIGMA a été l’une des œuvres les plus attendues pour le public du Dream City.
Olive- Gathering est un atelier de rencontre et de dégustation, initié par l’artiste palestinien Khalil Rabah dans le cadre des journées Dream City.
S’inspirant de la culture amazighe, Radouan Mriziga , chorégraphe marocain basé à Bruxelles, offre à son public une performance artistique pluridimensionnelle, à travers son projet Atlas/The Mountain.
Poursuites en justice, entraves à l’accès à l’information, législations liberticides, précarité économique, agressions policières… la liberté de presse n’a jamais été aussi mise en péril depuis la chute de la dictature. Ce qui explique la dégringolade de la Tunisie dans le nouveau classement de la liberté de la presse de Reporters sans frontières (RSF). Débat sur les dynamiques engendrées par ce bras de fer entre défenseurs de la liberté de la presse et dirigeants autoritaires.
Pour des milliers de migrants subsahariens aspirant à rejoindre l’Europe, la Tunisie est devenue l’un des principaux pays de transit. Près de 57 mille migrants subsahariens vivent actuellement dans notre pays, selon les estimations du département des affaires économiques et sociales des Nations Unies (UNDESA). Et on compte désormais 4200 demandeurs d’asile et 7000 étudiants originaires d’Afrique subsaharienne, d’après les chiffres officiels de l’Observatoire national de la migration. L’Europe étant devenue une forteresse inexpugnable, avec des restrictions d’accès toujours plus draconiennes, la station Tunis a pris peu à peu des allures de terminus.
Après le boom de la presse électronique durant la décennie passée, de nouveaux acteurs se frayent de la place sur la toile. Des médias qui présentent un contenu exprimant une volonté de démarcation manifeste par rapport à la presse existante. Présentent-ils une véritable alternative ou se contentent-ils de proposer un ton différent ?