Introduire plus de langues étrangères à l’école n’est pas une mauvaise chose en soi ; ce qui est dommageable c’est les motivations idéologiques claires derrière ce choix. Peut être que nos dirigeants pensent ainsi devenir Erdogan à la place d’Erdogan.
Du danger de la stigmatisation des jeunes salafistes
Le Président Marzouki a haussé le ton. Après avoir décoré Khaoula Rachidi pour son geste remarquable de défense du drapeau tunisien, il a prononcé un discours de près de dix minutes dans lequel il a notamment appelé à des excuses de la part du coupable de l’outrage et sa reddition à la police, ainsi qu’exigé des leaders du mouvement incriminé dans les événements une explication claire de sa position.
Quand il ne reste plus personne en Tunisie pour parler de la véritable Histoire tunisienne
En 2012, nombreuses sont les raisons de s’inquiéter pour la jeunesse tunisienne. L’une d’entre elles est incontestablement la version défaillante de l’Histoire qui leur est contée. En effet, quand à la réalité des faits archéologiques, anthropologiques et historiques on substitue un mythe, sur
quelle base se construirait l’identité tunisienne?
Le Maghreb Arabe de Rafik Abdessalem n’existe pas dans la réalité
Le refus du Ministre des Affaires Etrangères tunisien Rafik Abdessalam de revenir sur la dénomination « Maghreb Arabe » au profit de celle d’ « Union Maghrébine » proposée par son homologue marocain Saâd Eddin al Othmani lors du congrès ministériel des pays du Maghreb Arabe laisse un goût amer aux Amazigh