Alors que la campagne électorale bat son plein, deux organisations, l’une islamiste et l’autre communiste, ainsi que des anciens du Mouvement du 20 février, appellent au boycott du scrutin. La presse internationale reste muette à ce sujet.
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Alors que la campagne électorale bat son plein, deux organisations, l’une islamiste et l’autre communiste, ainsi que des anciens du Mouvement du 20 février, appellent au boycott du scrutin. La presse internationale reste muette à ce sujet.
Ali Anouzla, directeur d’un site d’informations, a été arrêté au Maroc. De nombreuses personnes crient à la censure. Le point. Le directeur de la version arabophone du site d’information marocain Lakome, Ali Anouzla, a été arrêté mardi 17 septembre 2013 au matin, à Rabat, capitale du Maroc.
Une brouille entre une formation du Front populaire et les autres organisations membres éclaire sur le malaise au sein de la coalition de gauche révolutionnaire. Le sujet de discorde est l’alliance avec l’Union pour la Tunisie.
Du moins, certains le préconisent. Le 5 août 2013, le quotidien Le Monde a publié le rapport remis par le Haut conseil à l’intégration (HCI) à l’Observatoire de la laïcité. Le Monde évoque un « rapport alarmiste et une proposition polémique ». Il est à noter que le HCI n’a qu’un rôle consultatif.
Le 4 août 2013, l’agence de presse officielle marocaine, la MAP, annonçait que Mohammed VI, roi du Maroc, avait décidé de procéder au retrait de la grâce qu’il avait accordée le 30 juillet 2013 à un pédophile espagnol, Daniel Galvan Fina. L’événement est de taille
La grâce royale accordée à un homme reconnu coupable de pédophilie suscite la colère au Maroc. Des milliers de personnes se permettent de critiquer une procédure royale : un fait rare.