Deux prestigieuses maisons publient la version française des « Carnets d’El-Razi », le 5 octobre en Algérie et en France. Et l’éditeur français qui ne pensait pas qu’un tel livre pouvait sortir en Tunisie a été choqué à sa lecture, lance l’auteur.

Deux prestigieuses maisons publient la version française des « Carnets d’El-Razi », le 5 octobre en Algérie et en France. Et l’éditeur français qui ne pensait pas qu’un tel livre pouvait sortir en Tunisie a été choqué à sa lecture, lance l’auteur.
Nouhe Bchiny est libérée. L’affaire est close. On passe à autre chose. C’est le sentiment que donne le paysage des réseaux sociaux et des rares médias qui ont rapporté l’information avec des articles laconiques s’abstenant de se poser les banales questions qui s’imposent. Depuis le début, d’ailleurs, l’affaire a été sous-médiatisée, en particulier chez les progressistes qui étaient, en partie, gênés par l’appartenance de la fille à l’Association des Libres Penseurs Tunisiens dont le président appelle à la normalisation avec Israël. Pourtant, cette affaire est très intéressante par elle-même et par les réactions qu’elle a suscitées.