La Tunisie se vide de ses jeunes médecins, à commencer par les internes. Encore étudiants en médecine, les internes servent de « bouche trous» dans un système médical malade. Ils s’exercent à la « médecine de guerre », dénonce l’un d’entre eux. Leur exode annonce une désertification accrue des hôpitaux.
