Dès la nouvelle confirmée ce mercredi matin, Tunis s’est comme pétrifiée. À peine sortis de leur torpeur nocturne, le meurtre de sang froid de Chokri Belaid est venu asséner un coup de massue aux Tunisiens.
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Dès la nouvelle confirmée ce mercredi matin, Tunis s’est comme pétrifiée. À peine sortis de leur torpeur nocturne, le meurtre de sang froid de Chokri Belaid est venu asséner un coup de massue aux Tunisiens.
Alors que la critique va bon train concernant le professionnalisme des journalistes tunisiens, critiques émanants même de correspondants de presse travaillant en Tunisie, il suffit de se pencher sur le travail de la presse française…