La crise du Covid-19 a précarisé beaucoup de Tunisiens. Les travailleuses de sexe œuvrant dans les maisons closes, actives sous l’égide de l’Etat et payant leurs impôts, n’échappent pas à cette calamité depuis l’arrêt de leur activité en mars 2020. Entre pauvreté et clandestinité, la vie des travailleuses du sexe est guettée par toutes sortes de menaces. Nawaat est allée à la rencontre de deux d’entre elles. Des militants associatifs tirent la sonnette d’alarme sur leur situation amenée à s’aggraver.
sexe 1