Pour résumer, en utilisant la formule consacrée, cet ancien ministre était «responsable mais pas coupable» quant à la pratique de la torture sur les citoyens tunisiens dans les locaux de l’administration tunisienne. L’entretien est une reprise diffusée le 17 février 2008, où l’on retrouve un TBH assez offensif avec sa manière si particulière dans le paysage médiatique tunisien d’être «cordialement direct».
Tahar Belkhodja 1