Il fut un temps où la police, mal informée, utilisée les préservatifs trouvés dans les sacs des filles pour les accuser de prostitution illégale se rappelle le Dr Cheniti, secrétaire générale du Croissant rouge tunisien.
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Il fut un temps où la police, mal informée, utilisée les préservatifs trouvés dans les sacs des filles pour les accuser de prostitution illégale se rappelle le Dr Cheniti, secrétaire générale du Croissant rouge tunisien.
Engagé depuis des années comme volontaire auprès du Croissant Rouge Tunisien (CR), le docteur Tahar Cheniti en connait tous les rouages. « J’ai commencé parce que j’étais médecin du travail et que je voyais trop d’accidents arrivés sans que les premiers secours ne soient donnés. »