ضد السياسات الأوروبية والتونسية المناهضة للمهاجرين السّود  والمهاجرات السّوداوات

رسالة مفتوحة من 379 باحثين/ـات وأعضاء المجتمع المدني من الجنوب والشمال ضد ”مذكّرة التّفاهم بشأن شراكة استراتيجية وشاملة بين الاتحاد الأوروبي وتونس“ وضد سياسات الاتحاد الأوروبي المتمثلة في تصدير حدودها الخارجية.

عريضة: ضد الطرد التعسفي للجدة محرزية الطرابلسي

نحن الممضون أسفله، فنانات وفنانون، ناشطات وناشطون، عاملات وعاملون بالقطاع الثقافي، نندد بالطرد التعسفي والوحشي للجدة محرزية الطرابلسي من منزلها الذي تقطنه منذ أكثر من 70 عاما. هذا البيت الذي نشأ وترعرع فيه بناتها وأبنائها.

Données personnelles: Réponse des membres de l’IVD aux accusations de Gaddes

Il est regrettable qu’une question qui représente un enjeu majeur pour les garanties de non répétition des violations du passé, comme la question de la préservation de la mémoire, devienne prétexte à règlements de comptes et de remise en cause de l’expérience tunisienne en justice transitionnelle. Cette tentative de disqualification des travaux de l’IVD à laquelle s’est prêté le président de l’Instance nationale de protection des données personnelles (INPDP) Chawki Gaddes ne peut que paver le chemin aux multiples projets de « réconciliation » qui nous sont resservis aujourd’hui encore, en guise d’alternative au processus de redevabilité judiciaire en cours. Mais le plus grave est que l’argumentaire avancé par M. Gaddes se base sur des contre-vérités dont nous allons ici démontrer le caractère fallacieux.

L’arabe dialectal tunisien s’achemine vers la créolisation

Une vidéo de Nawaat dans laquelle une pharmacienne de Tataouine s’exprime à propos du mouvement de protestation d’El Kamour constitue un excellent échantillon sur le processus de décomposition de l’arabe dialectal tunisien. Il s’agit d’une évolution dramatique, à mon sens, du parler tunisien qui se dirige immanquablement vers la créolisation, c’est à dire un langage où se mélange sans harmonie aucune, deux langues, en l’occurrence, le parler tunisien tel qu’il était pratiqué par nos aïeuls jusqu’à la fin des années 1970, illustré à merveille par le compteur populaire feu Abdelaziz El-Eroui, et le français.

الحرب على الفساد، الحرب التي بدأت صدفة

يبقى نجاح المعركة ضد الفساد مرهونا بقدرة الحكومة على تحويل المعركة إلى مشروع وطني تتشاركه السلطة السياسية والقضاء والهيئات الدستورية والمجتمع المدني ورسم السياسات اللازمة لذلك ،وجعل المعركة ذات طابع موضوعي ضد كل الفساد بما في ذلك داخل الحكومة نفسها ،مع التطبيق الصارم لإجراءات المحاكمة العادلة.

100.000 enfants déscolarisés par an en Tunisie, une catastrophe majeure

L’échec scolaire, ou encore la déscolarisation, l’abandon, la déperdition ou le décrochage scolaire, est le fait pour les enfants ou les adolescents entre 6 et 18 ans d’abandonner leurs études scolaires pour une raison quelconque. Les raisons de la déscolarisation sont nombreuses, elles peuvent être sociales, familiales, financières ou personnelles. Ce phénomène a touché, d’après une étude réalisée par Khaled Boughzou, de l’Université de Tunis 1, 100.000 jeunes pour la seule année scolaire 2012/2013. Durant l’année 1984/1985, la déscolarisation n’avait touché que 26.000 jeunes et en 1994/1995, elle avait atteint 57.613 élèves.

لماذا يدفع صندوق النقد الدولي نحو مزيد التخفيض من قيمة الدينار

في العديد من تقاريره يؤكد صندوق النقد أن سياسة الصرف في تونس تتسم بالمغالاة أي أن سعر الدينار (رغم التدهور المتواصل) مازال مرتفعا مقارنة بقيمته “الحقيقية”. لذلك تؤكد املاءاته على ضرورة التخفيض من قيمة الدينار لدعم المنافسة وتشجيع التصدير وذلك بالحد من تدخل البنك المركزي في سوق الصرف و إضفاء مرونة أكثر على قوانين الصرف. حتى و إن سلمنا بالمفعول الايجابي للتخفيض في قيمة الدينار على الصادرات فإن لهذا الإجراء انعكاسات سلبية، بل كارثية.

“Yamma lasmar Douni” : la crise de la lutte contre le racisme anti-noir en Tunisie.

Un producteur Tunisien voulait, apparemment manifester son intérêt à la question du racisme anti-noir et participer, en conséquence, à la lutte contre ce phénomène pervers dans notre pays. La présence des noirs dans le clip représente à peine 15% du temps, si ce n’est moins. Sachant que le clip, si nous avons bien compris, veut mettre en valeur la diversité et bien évidement une égalité entre tous, le résultat est plutôt : « Egaux mais pas trop ». Par Maha Abdelhamid*

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