Avant que la mort ne m’emporte, avant que la camarde ne me fauche avec sa grande faux de la justice divine ; avant que cette justice divine et humaine nous vous dégomme la gueule, la stature et jusqu’à votre souvenir de l’horreur et de l’arbitraire ténébriste et barbare.
Avant que la mort ne m’emporte, avant que la camarde ne me fauche avec sa grande faux de la justice divine ; avant que cette justice divine et humaine nous vous dégomme la gueule, la stature et jusqu’à votre souvenir de l’horreur et de l’arbitraire ténébriste et barbare. Avant que l’une ou l’autre ne me rendent aux miens et qu’importe que ce soit sur un cheval ou un linceul blanc, j’ai fait mon deuil depuis le vagissement des turpitudes inconstantes et de la démesure iconoclastes de cette vie si terre sous terre, que vous nous imposez ô grand vaudou des abîmes et des refoulements, cette vie estropiée malodorantes que toi et tes semblables avaient définis à la pointe des baïonnettes dans le seul monde où je me sens comme un poisson dans l’eau : le monde arabo-musulman.
Grâce à vous bande de mafieux nous sommes des millions à avoir développés des bronches et nous vivons en apnées sous les crachats et le mépris comme des intouchables dans l’Inde de tous les misères mais où existe malgré tout le citoyen. le jour donc qui sera ton jour et où je serais rendu aux miens encore une fois cela n’a aucune importance plié sur ma canne en acajou dix neuvième siècle ou les pieds devant, dans l’amour des miens retrouvé, même frigide, rigide, grabataire, lobotomisé, momifié je serais citoyen Pétain de ta race, digne et fier de l’être et vous n’y pourrez rien, ne t’en fais pas elle fût tellement rêvée, sublimé, pleurée que je trouverais tout seul comme un grand et sans l’aide de personne la FENTE….de l’urne. Et je serais enterré dans la tourbe de mes ancêtres et les passants humbles libres et innocents ne cracheront pas sur ma tombe je pourrais même te certifier que qq. Uns et surtout qq. Unes viendront me parler du pays et du monde, même dans la mort parce que innocent de tout crime je serais envahissant et preneur de têtes et de sentiments. Sachez le si vous ne le savez pas déjà, vos indicateurs et vos hommes de main de l’ombre ont bien essayé et plus souvent qu’à leur tour et du mien, de me mater et de m’apprendre à agoniser droit, comme à tous les tunisiens d’ailleurs qui refusent vos sales étreintes pédophiles et de me faire regretter le lait maternel, et si mon sang a coulé comme les larmes de mes enfants et celui et ceux des millions de Tunisiens qui n’ont commis d’autres crimes que de vouloir être eux-mêmes, heureux et libres, tunisiens, pas mutants comme vous et les vôtres, si mon sang a coulé comme les larmes de tous ces innocents le vôtre et celui de vos chiens innocents coagule la pourriture qui s’ingénie à salir le sol béni de ces douces terres et contrées où nous vivons libres et heureux dans nos traumatismes intérieurs loin de vous surtout loin de vous, même si nos noms sont au fond de vos urnes et ceux de nos morts aussi, elle seront tellement bourrés ces urnes qu’il sera inutile de les plomber « ont votés !!!!! »
Les assesseurs des bureaux de vote en Tunisie devraient être enterré avec vous le jour béni de votre mort comme les embaumeurs, les prêtres et les hommes de peu de foi avec le pharaon. Nous vivons en exil un drôle de bonheur, un truc chapardé, piraté on vit ce bonheur par procuration handicapés de notre honneur et de notre pays, de notre terre sacrée, la matrice monstre inculte !stressés par l’horreur que subit notre peuple et nos frères et sœurs déchus d’un titre qui ne signifie rien pour eux puisqu’à vous tout seul vous êtes le peuple, la république, l’état, les institutions , la banque, le géniteur, la virilité, la foi, le tribunal, la mosquée , l’espace…l’espace et le temps. Oui nous sommes heureux entre vos mailles et on vous emmerde.
Je reconnais humblement votre sagacité, votre impitoyable froideur, votre rigueur dans l’application des lois du talion, votre sens des affaires et vos salutaires prises de risque avec tous les biens d’autrui, votre sens pratique dans l’ignominie érigée en art pour trucider, larmoyer, marchander, détourner, survivre et même jouir de l’intime conviction de vos vassaux. Je reconnais que vous êtes le plus grand liberticide qui n’a jamais existé dans notre histoire et que cela n’a pas dû être facile pour vous tous les jours à surveiller ceux que tu affames et ceux à qui tu donnes à becqueter tendis que la plèbe se dore la pilule sur nos plages dorées et tire son coup sans se restreindre dans le plaisir et le devoir accompli, eux n’ont pas du sang sur les mains et n’ont aucun problème de conscience il n’y a que les bêtes sauvages comme votre déshonneur qui « bouffent avec les yeux ».je ne vous aime pas, je ne crois pas qu’il puisse y avoir un seul être humain simple, bon et censé pour vous aimer ou même pour vous écouter et encore moins vous croire vous avez dépassé les remugles humaines du mensonge, vous êtes le mensonge et sa seule vérité. Tout ce que je sais et me lie à vous ce sont les pages nécrologiques et sur les stèles, les pierres tombales et les épitaphes des tombes et de faire part de la majorité des familles tunisiennes. je vous que vous le sachiez une bonne fois pour toutes que je vous hais, je n’ai pas de l’indifférence pour vous, je vous HAIS !de la HAINE pure et blasphématoire. Vous avez bien lu de la haine et que Dieu me pardonne, lui ne me permet pas d’haïr mes semblables, mais vous je suis sûr et certain vous n’êtes pas mon semblable vous êtes sorti des forges de l’enfer et de la cuisse de SATAN ! oui je suis volontaire et au peuple tunisien soumis par vous crimes de devenir un criminel et de vous loger une balle dans la tête et moi je ne suis pas comme vous et votre système je n’aurais jamais la bassesse d’aller demander le prix de cette balle à vos proches qui je suis sûr iront cracher sur votre dépouille pour se faire une virginité et espérer jouir impunément de leurs larcins de vos vols au long cours de toutes les bourses de la planète où vous avez planqué l’argent du peuple. Je ne vous torturais pas, jamais mes croyances et mon éducation ne me le permettront, la torture est une culture et une éducation de malfaiteurs, justement appliquée par des malfaiteurs, des imposteurs des tricheurs et des falsificateurs, tout comme vos ahurissantes et méprisantes élections qui sont une véritable torture pour tous les tunisiens, c’est l’étalage de leur impuissance, de leur état d’esclave, de soumis, de colonisés, de violés et de dominés par l’ignorance et l’ordure. je vais te dire espèce de RIEN, quand ma petite fille de sept ans qui te hait aussi, je lui ai appris à tirer des fléchettes au cyanure sur ton portrait d’eunuque, chaque fois qu’elle voit ta face de rat elle dit « aoudoubil’allah mina echaytaan arrajim » t’imagine le fini à l’urine le mal que tu nous fais…, chaque fois qu’elle est triste pour n’importe quoi, inconsciemment je te maudit, tout ce qui est négatif et malsain dans cette vie te désigne, le cancer et le sida en Tunisie on devrait les appeler « zinétron » comme la haine, la torture, le viol la faim et la misère , réduire ainsi notre lexique des infamies et des catastrophes naturelles à ta sale tronche maudite, oui je te hais et pour ma petite fille je suis mal à l’aise dans ses vérités et les mensonges que je lui débite contraint et forcé, parce qu’elle m’aime , elle m’adore et souffre de nos pas traîner avec moi, entre moi et sa mère dans notre pauvre pays pris en otage par des assassins. Comment pouvez-vous dans l’agonie des Hommes innocents et pacifiques que sont les Tunisiens, dans le cri intérieur et aphone à force des veuves, dans la malédiction des mères, dans le désespoir des orphelins, dans la blessure béante de toute une nation regarder la lumière des jours et prononcer le nom de vos parents, comment peux-tu même honorer ta femme ? Dans le monde civilisé zinétron l’assassin c’est dans l’isoloir et l’urne que chaque citoyen concrétise ses rêves et ses désirs, que tout un chacun exprime sa joie, sa tristesse, son amour à se sentir compter et exister, à se sentir humain et fier de l’être et toi et tes sicaires vous avez fait de ces hauts lieues de progrès, ces symboles de liberté et de vie une chapelle ardente.
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