Permettez-moi , monsieur le ministre , de porter à votre connaissance que le Gouvernorat de Sidi Bouzid est un marécage polyvalent de l’irrégularité administrative manifeste où rien n’échappe mais tout se transforme .
Tout se sait mais rien ne se dit par peur et par lâcheté des Bouzidistes.
C’est le principal foyer du territoire Tunisien d’hébergement et de transit de produits prohibés des associations de malfaiteurs gérées par la complicité et la complaisance policière lucrative corruptive qui couronne le banditisme des acculturés sous la protection légalisée du superviseur du secteur policier.
Celui-ci n’a cessé, depuis sa nomination administrative suspecte, de traîner la région, sinon tout le pays, vers des fléaux sociaux irréductibles moyennant des rançons corruptives clandestines pour sa collaboration secrète.
L’itinéraire des ses origines montrent qu’il est issu d’une famille connue à Hammam Lif par la vente clandestine des boissons alcooliques à domicile.

L’innocence présumée de vos subordonnés centraux, face à ce type d’affectation et de désignation, est loin d’être évoquée face à la propagation des aspects d’aisance financière massive qui ont affecté de nombreux directeurs et chefs de départements au ministère de l’intérieur qui étaient des boursiers de l’état au cours de leurs périodes de scolarité. Brusquement, ils se sont transformés en Sir et Lady par un coup de magie policière.
Dépourvu de toute sorte d’héritage ou de coup de chance financière, ces vermines sont devenues des fortunées par la blague mensongère de leurs salaires administratifs.
Votre complaisance professionnelle n’est autre qu’une forme discrète d’approbation et de complicité administratives qui aggrave l’envenimation de la vie sociopolitique au profit des bourgeons infectes de la société Tunisienne.

Si votre compétence n’a réussi à faire de votre personnage qu’un figurant de la scène médiatique, votre passivité professionnelle de serviteur du Palais de Carthage s’est transformé en négligence préméditée face aux rivalités nécrotiques du secteur sécuritaire à la centrale de la gangrène nationale.
A cet effet, vos subordonnés ont toujours manifesté leurs ultimes ambitions à l’acquisition d’une immunité à l’impunité face à leurs dérives lucratives de trafic d’influence et l’élargissement du spectre de leurs connaissances outils d’interventionnisme dans les domaines sensibles et vitaux de la hiérarchie des familles dirigeantes.
Leur recours à la confection de ceintures mafieuses de protection administrative leur a permis l’implantation de fusibles régionaux sous le voile de la légalité des désignations administratives supérieures.
Celles-ci sont entreprises dans le cadre d’une représentativité régionale légalisée des clans de rivalités qui fonctionnent selon une répartition mafieuse du territoire Tunisien.
Ce organi-gramme est , cependant , établi sous les consignes de la préservation des intérêts autoritaires et financiers privés des barons de la mafia politico-financière et policière .

Les prolongements du pouvoir sécuritaire central à l’échelle régional ont trouvé dans les fictions des orientations politiques suprêmes des lacunes carencielles de prérogatives qui ne pouvaient être contournées par le discours , le dialogue et la conviction .
La transformation des objectifs, des conduites compressives politiques erronées de l’autorité au pouvoir , a trouvé refuge à la déstabilisation des repères de l’état par le favoritisme et le profitarisme qui sont à l’origine d’une métamorphose péjorative du secteur policier .

Cette mutation sécuritaire hybride a lésé les mécanisme de fonctionnement et de contrôle d’un appareil de la souveraineté de l’état où les dérives des irrégularités administratives se vendent et s’achètent au profit des spéculateurs des manipulateurs bien hébergés dans le confort du foyer de la gangrène nationale par le soutien et l’appui de la rentabilité administrative orientée de leurs valets et représentants régionaux chargés d’assurer le service ” intègre ” du calme sécuritaire apparent par la motorisation automatique de l’irrégularité à tous les niveaux et par tous les moyens .
Il n’a jamais été question de mettre en cause la compétence et l’effectif des répartitions administratives policières sur tout le territoire face à la dépression de la volonté des serviteurs du Palais de Carthage et du déterminisme patriotique à préserver notre société des fléaux nécrotiques.

L’esclavagisme administratif des simples agents de police issus de milieux familiaux démunis a bien exploité les humeurs des théories sécuritaires aberrantes des barons hiérarchiques.
Cependant, la rivalité chronique existante entre la garde nationale et la police a toujours trouvé ses origines dans la compétition d’intérêts personnels des superviseurs régionaux sous la protection administrative et judiciaire des parasites de la pyramide sécuritaire de la hiérarchie centrale.

L’abus d’usage de l’argent public au sein du foyer de la gangrène nationale est le principal moteur de la gestion palliative des fissurations sécuritaires remaniées par les fictions et le théâtre administratif policier de la cosmétique du tout-va-bien pour instaurer un calme apparent fragile sous la pression terrorisante du favoritisme et du profitarisme du secteur policier en Tunisie.

En l’occurrence, les compétitions incessantes des rivalités des barons du ministère de l’intérieur ont toujours conflué vers l’enracinement de la médiocrité et de la méchanceté comportementale de leurs serviteurs sectoriels.
Ces Chérifs régionaux n’ont cessé de synthétiser des souches de mauvaises graines, de moisissures et de parasites qui ont infesté le tissu social par des fléaux de déviation et de freinage de la prospérité et du développement du peuple Tunisien. Ce processus a tant usé de la germination, dans les milieux de fermentations marécageuses fétides, de vecteurs carcinomateux afin de promouvoir des abris de silence complice d’une mafiocratie politique , de plus en plus , préoccupée par les complots de la succession suprême .

Hors mises les divergences politiques qui catalysent l’autorité répressive des libertés et de la citoyenneté, cette attitude sécuritaire centrale a confectionné des fausses normes à la promotion administrative au ministère de l’intérieur.
La désignation et l’affectation des superviseurs sécuritaires locaux et régionaux obéissent, selon les théories des intérêts barons, à des critères de commande d’un decrescendo évolutif.
Ce processus est strictement basé sur la médiocrité comportementale et les tendances criminelles des chargés de missions sécuritaires à l’intérieur du pays afin de gérer une mafiocratie administrative dépendante d’une voyoucratie policière.
Stimuler la prostitution par le chômage, la misère et l’exode rurale afin de simuler l’émancipation hystérique de la jeunesse sous l’oeil complice d’un arsenal policier, n’est qu’un pas vers la modernité.

Pousser la oisiveté des chômeurs à un drainage succulent au commerce des produits prohibés, au marché parallèle de l’état parallèle, sous la protection des barons de la police n’est qu’un domaine sélectif de la milice du parti-état géré par les bras longs du ministère de l’intérieur.
Promouvoir l’escroquerie impunie est devenue une formule d’enrichissement illégal rapide qui a mis, en toute indifférence officielle, à genoux nombreuses institutions économiques par la complicité des secteurs policier et judiciaire.
Acheter l’innocence d’un délit ou d’un crime commis est devenu un honneur social de valorisation des pouvoirs de l’arrogance mafieuse qui s’ajoutent au palmarès des violations et dérives.
Un jeu de carte au café est devenu plus lucratif qu’un boulot régulier.

Inciter la jeunesse, désespérée des horizons d’un avenir fantoche, à l’émigration clandestine vers l’Europe est un commerce de banditisme policier qui trouve ses comptes dans la protection des réseaux de toiles d’araignée.
Vendre clandestinement, dans les milieux ruraux et les cités démunies, les boissons alcooliques à domicile et la drogue dans les cafés et les hôtels ne soumet nullement ses détenteurs aux répressions fiscales, policières et judiciaires.
Jouir d’une capacité de coordination à l’interventionnisme administratif en étant un pion des barons de la sécurité favorise le gain facile à la promotion de l’inflation par les manoeuvres corruptives.

Participer au jeu de commerce et de distribution des faux billets de devises étrangères et d’argent local confère aux commanditaires du secteur sécuritaire le blanchiment de leurs ressources suspectes par des transferts de fonds et l’acquisition d’un confort financier, de long terme, à plusieurs générations de leurs progénitures ultérieures …
… Si les prisons Tunisiennes sont surpeuplées de coupables de crimes de violence, de vols, d’alcool, de drogues, de prostitution , de chèques sans provision , d’abandon de familles … les spéculateurs administratifs de l’ombre sécuritaire demeurent cachés, en toute lâcheté de profiteurs, derrière les obstacles des portes et les barrières de leurs téléphones à leurs bureaux au ministère de l’intérieur pour extirper leurs intérêts personnels de la répartition de la Tunisie en zones d’exploitations privées par le biais de la ” bienveillance ” de la nécrose des chefs secteurs, de la docilité combinatoire des chefs de postes et des commissaires de police locale.

Notre pays est grièvement malade. Il est envahi, dans les milieux ruraux, par la clandestinité du commerce irrégulier des boissons alcooliques, de la drogue, de quantités immenses de marchandises prohibées, de la circulation de grandes masses de faux billets d’argent en devises destinées à l’exportation et à l’achat de produits de contrebandes … dont les responsables sécuritaires gèrent la protection et les déplacements de transactions par des fusibles administratifs et privés.
Il n’y a que les barons des rivalités des clans policiers, les acculturés et les bandits qui peuvent faire fortunes en Tunisie.
La patrie est le dernier de leurs soucis. Ceux-là font la loi dans la pyramide de l’état par leurs influences mobilisatrices des gastrodépendants dont les charges vitales quotidiennes et la misère ont provoqué l’usure de leurs personnages.

La fraude policière des PV judiciaires et la capture de bouc-émissaires ont toujours fait la cosmétique virtuelle de la vigilance fictionnelle policière pour remplir les prisons de victimes et de tous ceux qui ont pu découvrir les rouages des associations de malfaiteurs policiers gérées à distance par les barons de la criminalité et des dérives financières au foyer de la gangrène nationale.
La désorientation préméditée des rapports et des thèses mensongères policières a toujours navigué dans un contexte qui n’a jamais hésité à fixer la terreur suprême sur la malédiction hallucinatoire de la prolifération de l’intégrisme et du terrorisme Islamistes en Tunisie.

Ce détour officiel a fait du Gouvernorat de Sidi Bouzid le principal foyer générateur et le milieu transit privilégier de toutes formes d’irrégularités criminelles gérées par des commanditaires sécuritaires à partir du foyer de la gangrène nationale à Tunis.
Le recours à la pratique de l’arbitraire administratif m’a exigé l’instauration d’une filature policière chronique, depuis des années, avec une surveillance intense de mon domicile, de mes déplacements et de mes communications téléphoniques dans une situation d’exile au Sud non déclarée officiellement afin de me faire rebrousser au chemin de la lutte pour l’instauration des valeurs et des principes universels en Tunisie.
Mais , en outres , je ne priverai jamais de porter mes allégations franches et directes au plus haut niveau pour dénoncer les violations et les dérives des bras longs mais cassés qui ont pris le train en marche à l’aube du coup d’état du 7 Novembre 1987 .
Je profite , donc , de mon état de chômage imposé depuis des années de vous rappeler , monsieur le ministre de l’intérieur , que la charge financière publique réservée à la surveillance du Dr Sahbi Amri et sa famille ne le fait profiter des sacrifices des contribuables de ses compatriotes .
Par contre, la façon d’agir de vos subordonnés à mon égard leur a fait perdre l’estime à la région de Sidi Bouzid surtout que le patron du secteur de la police n’est qu’une vermine mafieuse qui ne cesse de se remplir les poches au détriment des malheurs et des souffrances des autres ..

De ce fait, je rend ma présence utile dans ce bled afin de rentabiliser la charge financière publique de l’abus d’usage de l’argent des Tunisiens par une multitude de brigades de mercenaires terrorisés par les déplacements et les communications téléphoniques d’un piéton dont la voiture personnelle, le cabinet médical et les biens agricoles familiaux lui ont été retirés par la loi de l’arbitraire du banditisme d’état.

Monsieur le ministre de l’intérieur, il vous suffirait de regarder autour de vous au foyer de la gangrène nationale pour dégager la pure et simple vérité que vous refusez de voir et d’entendre car, elle vous fait peur.
Mais, en l’occurrence, je pense que vous n’avez le courage de vous voir en miroir.
Cette situation abstraite a tant lésé les potentialités humaines et matérielles de notre pays au point où le congré SMSI 2005 a déculotté les prétentions officielles frauduleuses dont les répercussions ne cessent de mettre le régime Tunisien en isolement international en attendant l’engagement des réformes sur des bases crédibles et concrètes.

En conséquent, je vous accuse personnellement de la supervision et de la protection des associations de bandes de malfaiteurs des barons du secteur de la sécurité et je vous porte l’allégation de haute trahison tout en vous défiant d’en faire car j’ai l’ultime conviction que vous êtes incapables de brancher le petit doigt pour assainir la situation.
Vous êtes déjà pris par la gorge.
Au fait, comme dit le proverbe arabe :
Vous n’êtes qu’un verseur d’eau sur les mains.
Mais dommage, vous avez toujours refusé cette vérité.
Eh bien, tant pis.
Votre successeur vous claquera la porte de ce bureau bientôt.


Il me reste encore beaucoup à dire.


A suivre…

Dr.SAHBI AMRI

Médecin Privé de sa Médecine.

Cité El-Wouroud . Sidi Bouzid 9100

Tel. 00.216.98.22.27.51.

Pointure 43.