Les quelques mesures évènementielles et le tapage communicationnel de « Super Jo » n’ont pas empêché l’Union européenne d’inclure la Tunisie sur la liste noire des paradis fiscaux début décembre avant d’en être retirée le 23 janvier pour se retrouver le 7 février sur la liste noire des pays exposés au blanchiment d’argent et au financement du terrorisme.