Deux opérateurs de téléphonie mobile se donnent en spectacle pour le plus grand bonheur d’un public non averti. Le clash entre Ooredoo et Tunisie Télécom enflamme la toile depuis quelques semaines. Certains applaudissent « le génie, la créativité » et l’effort esthétique déployés tandis que les moins impressionnés renvoient tout cela à « un coup marketing » dans un secteur innovant et prospère. La guerre des spots entre l’opérateur qatari et son concurrent national alimente un débat passionné chez les internautes. Que recèle-t-il en réalité ?
Tunisie Télécom/Go Malta : la presse maltaise dénonce le conflit d’intérêts
Times of Malta, affirme que le régulateur de l’île, Malta Communications Authority, n’a pas encore donné le feu vert à la transaction et que la question est encore à l’étude et que Malta Financial Services Authority ne s’est pas encore prononcé.
Tunisie Télécom/Go Malta : un scandale en 5 questions/réponses
Pourquoi la direction de TT pratique-t-elle la désinformation sur le bilan financier de l’opérateur national de télécommunications ? Les filiales de TT sont-elles en meilleure santé que la maison mère ? Qui va payer le prêt de rachat de Go Malta, le contribuable ou la compagnie comme le prétend Nizar Bouguila, PDG de TT? Go Malta une affaire en or ou en tôle rouillée ? Emirates International Telecommunications (EIT), un partenaire fiable, au-dessus de tout soupçon de conflit d’intérêts ? Après avoir révélé l’affaire, Nawaat revient pour mettre le plan de com. de TT à l’épreuve des faits.
Rachat de Go Malta : Tunisie Telecom dans le piège émirati
Plus d’un mois après son annonce officielle, l’OPA engagée par Tunisie Telecom sur Go Malta n’en finit pas de susciter les critiques. Après en avoir révélé les grandes lignes, Nawaat revient sur le point le plus litigieux de cette affaire : la santé financière de l’opérateur maltais.
Tunisie Télécom : 300 millions d’euros prêts à partir en fumée
Tunisie Télécom s’apprête à racheter l’opérateur maltais Go, détenu par le groupe Emirates International Telecommunications LLC (EIT). D’un montant de 300 millions d’euros, cette transaction hasardeuse, encouragée par le gouvernement, pourrait bien faire couler l’opérateur national déjà en difficulté.