En Tunisie, certaines espèces végétales ne sont connues que dans quelques zones, et les effectifs de leurs populations sont réduits. Ces deux paramètres à eux seuls (faible étendue géographique et effectifs réduits) devraient inciter les conservateurs à se pencher sur leur cas. Dans le présent papier, nous focalisons notre intérêt sur deux espèces d’arbres, le micocoulier et le houx, qui présentent les caractéristiques énumérées précédemment.
