« Je suis patient de nature et depuis tout jeune, j’ai appris à ne pas me plaindre. Peu importe les difficultés que je traverse, je les endure et remercie le Seigneur pour ces épreuves; mais maintenant je dois parler…Je ne suis plus capable de voir les larmes enfouies au fond du regard de ma mère, ni observer la détresse accablante de mon père. Je dois parler pour eux…»
Quand les blessés deviennent un tabou !
le 13 octobre, durant un débat à la radio, se déroulant à Montréal entre les candidats à la constituante, j’ai […]
RÉVEILLONS-NOUS!!!!
À quoi bon en vouloir au gouvernement quand nous savons très bien qu’il s’en fout complètement des droits des martyrs […]
Des dizaines de Mohamed Hanchi
Les « martyrs vivants », « les blessés de la révolution », sont parmi les noms qu’on a attribués à […]