Organic has yet to become commonplace in the day-to-day of Tunisian consumers. Even though the surface area of organically-grown crops has increased by 1,000 over the past 25 years, local consumption of organic goods remains minimal. Some point a finger at consumers themselves, while others blame the government. What exactly has prevented organic from taking off in Tunisia?
Les graines paysannes en Tunisie, un enjeu de souveraineté nationale
Face à une réglementation qui favorise les semences hybrides et les pressions des lobbies semenciers industriels, défendre la liberté d’accès et de reproduction de semences, pour préserver la biodiversité et l’autonomie alimentaire des populations, est devenu une nécessité pour de nombreux agriculteurs. Dans un contexte marqué par la sécheresse et la crise alimentaire internationale, il s’agit désormais d’un enjeu de souveraineté alimentaire nationale.
Produits bio en Tunisie : pourquoi la consommation ne décolle pas ?
Le bio n’a pas intégré les pratiques quotidiennes en Tunisie. Sa consommation reste minoritaire, en dépit de la multiplication par 1000 de la superficie de ses surfaces cultivables, durant ces 25 dernières années. Certains culpabilisent le consommateur, d’autres pointent l’Etat ? Mais qu’est-ce qui ne marche pas ?
Les « welja », une agriculture littorale de conservation vouée à la disparition
Ces superficies cultivées dans des zones aujourd’hui touristiques sont réduites. La faible production est surtout destinée à la consommation familiale. Le surplus est parfois vendu sur les marchés locaux. Aucun produit chimique n’est utilisé dans ces cultures réellement biologiques. Mais cette activité au bord de la mer est vouée à la disparition. Gare à l’appétit des opérateurs touristiques.
Menaces sur les semences paysannes en Tunisie
A contre-courant de l’industrie semencière, l’Association Tunisienne de Permaculture, créée en 2013, tente de réhabiliter les semences paysannes. Reportage au Kef où se tenait la 4ème Fête des semences paysannes.
Agriculture : Et si on réduisait les intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs ?
Face à l’emprise de la grande distribution et à l’industrialisation excessive de l’agriculture, des initiatives essaiment un peu partout en Tunisie pour encourager les consommateurs à acheter des produits du terroir.
There Is No TINA mais beaucoup des ACC (1/3)
Si manger la viande une fois par mois est largement suffisant pour la santé, qu’est ce qui nous pousse à désirer en consommer toujours plus ? C’est le mimétisme d’un consommateur qui n’a pas pu remettre en cause ce mode de consommation, et qui n’a pas d’abord su dire Non à ce qui est considéré comme nécessaire et imposé d’un en haut ou venue d’un ailleurs : il imagine qu’il n’ y a pas d’alternatif (TINA) pour penser autrement, il s’agit d’un consommateur qui se résigne.
Vers un nouveau modèle agricole à Hajeb El Ayoun
Tout lâcher et se consacrer à la terre, c’est le choix d’une famille franco-tunisienne qui s’est installée dans une petite ville rurale pour expérimenter la permaculture. Reportage, chez eux, à Hajeb El Ayoun.
Passer du conventionnel au bio : le défi des agriculteurs de Chenini
Face à une agriculture intensive et excessivement polluée, l’Association de Sauvegarde de l’Oasis de Chenini (ASOC) a accompagné plusieurs agriculteurs dans le passage d’une agriculture conventionnelle à une agriculture respectueuse de l’environnement. Reportage.