Une mission d’étude de l’Union Européenne (UE) vient de terminer son rapport de diagnostic sur la Société Civile Tunisienne (SCT). Retour sur les principaux éléments de ce rapport et quelques propositions d’actions pour l’avenir.
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Une mission d’étude de l’Union Européenne (UE) vient de terminer son rapport de diagnostic sur la Société Civile Tunisienne (SCT). Retour sur les principaux éléments de ce rapport et quelques propositions d’actions pour l’avenir.
Ces derniers mois, il semble que tout le monde déprime en Tunisie… Pourtant, la société civile est bien dynamique. Grâce à cette interview avec Salma Tlili, présidente de l’Association Nsitni, on a voulu démontrer que tout n’est pas noir, tout n’est pas perdu et qu’il y a encore de l’espoir pour une Tunisie juste et démocrate.
Les attributions du Ministère de la Formation Professionnelle et de l’Emploi ont été fixées par un décret[1] stipulant que sa mission générale est « d’assurer l’élaboration de la politique du gouvernement…
Les associations de chômeurs revendiquent la défense des intérêts des chômeurs, ou ceux « qu’on a empêchés de travailler » (معطل عن العمل). Ce néologisme, rendu célèbre avec la floraison de ce type d’associations après la révolution,
La Tunisie, l’Algérie et la Libye sont mis d’accord sur un point : la non reconnaissance des populations amazighes. C’est en tout cas ainsi qu’a été vécu le refus de changement de la dénomination de « Maghreb Arabe » par Rafik Abdessalem, Ministre des Affaires Etrangères tunisien, lors du congrès ministériel des pays du Maghreb Arabe. Réaction d’une Amazigh Tunisienne, membre de l’Association Tunisienne de Culture Amazigh.