Violence against women has reached an alarming high. On average, one woman is killed by her husband every month. Law 58 of 2017 was adopted to prevent such violence. And yet five years later, the political will and resources necessary for its application are still MIA.
Women’s rights in Tunisia: CEDAW decimated
As the CEDAW Committee prepares to examine the situation for women’s rights in Tunisia, feminists fear the Convention’s demise. In 2011, Tunisia withdrew its reserves regarding the CEDAW. A political decision that was not followed by legislative reform.
Droits des femmes en Tunisie : CEDAW réduite à néant
A l’approche de l’examen par le Comité CEDAW de l’état des lieux des droits des femmes tunisiennes, les féministes craignent l’enterrement définitif de cette convention. La Tunisie a levé depuis 2011 ses réserves sur la CEDAW. Mais cette décision politique n’a pas été suivie par des réformes législatives.
Caid Essebsi’s call to reform the inheritance law : landmark initiative or political tactic?
There has been a flare-up of public debate in Tunisia following President Beji Caid Essebsi’s controversial decision to form a committee that will reassess and reform the inheritance law. With some exceptions to the rule, this Qur’an-based law stipulates that women receive half the inherited allotment that men do. Essebsi, the leader of the catchall secular party Nidaa Tunis, noted that a reformation of inheritance laws is necessary for gender equality in Tunisia, a country that has become a role model in the Middle East for its democratic transition.
الدين و علاقته بأحكام المواريث في ظل رفع التحفظات عن إتفاقية “سيداو” و دسترة حرية الضمير
مصطلح التمييز ضد المرأة في اتفاقية “سيداو” يعني أي تفرقة أو استبعاد أو تقييد يتم على أساس الجـنس و يكون من آثاره أو أغراضه النيل من الإعتراف للمرأة، على أساس تساوي الرجل و المرأة، بحقوق الإنســـان و الحريات الأساسية في الميادين السياسية و الإقتصادية و الإجتماعية و الثقافية و المدنية أو في أي ميدان آخر، أو إبطال الإعتراف للمرأة بهذه الحقوق أو تمتعها بها و ممارستها لها بغض النظر عن حالتها الزوجية .
Haro sur la parité : les limites de la justice constitutionnelle en Tunisie
Il s’avère que la parité n’est pas qu’un principe, mais aussi et surtout une stratégie. En ignorant l’obligation de moyens qui incombe à l’Etat pour garantir la parité égalitaire, la décision de l’Instance provisoire de contrôle de constitutionnalité des projets de loi apparaît donc comme contestable. D’autant que ce jugement fera, sans doute, jurisprudence pour l’interprétation future de la Constitution.
Lettre Ouverte à l’Association Tunisienne des Femmes Démocrates
après avoir pris connaissance par différents extraits de la presse numérique tunisienne de la levée de réserves que la Tunisie avait émises à l’encontre de certains articles de la CEDAW-CEDEF (Convention pour l’Élimination des toutes les Discriminations Envers les Femmes), je dois bien tempérer ma joie et satisfaction -que je voulais partager avec vous- par un véritable bain dans le bassin glacial de l’hypocrisie protocolaire que vient d’être justement dénoncée par votre communiqué reproduit sur le site Nawaat
La Tunisie lève officiellement ses réserves sur la Cedaw, mais maintient la Déclaration générale
Une bonne nouvelle vient de secouer la morosité générale. Dans un communiqué publié par son secrétariat général, les Nations Unies déclarent avoir pris acte de la levée des réserves, par la Tunisie, sur la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discriminations à l’égard des femmes (CEDAW), suite à une notification officielle, reçue le 17 avril dernier. Ainsi, « en conformité avec les exigences de cette convention, le gouvernement tunisien s’engage, à ne prendre aucune décision organisationnelle ou législative, qui pourrait entrer en conflit avec l’article premier de la Constitution tunisienne ». La levée de ces réserves entre en vigueur à partir de la date de sa notifiaction.
Interview avec Hafida Chekir : La levée des réserves sur la CEDAW n’a pas été notifiée aux Nations Unies
La CEDAW a été ratifié par la Tunisie en 1985 mais des réserves ainsi qu’une déclaration générale y ont été ajouté. Le 16 août 2011 un conseil des ministres adoptait un décret-loi qui levait les réserves. Sauf que cette levée n’a toujours pas été notifié au secrétariat général des NU, comme l’explique Hafida Chekir dans une interview accordée à Nawaat.
Journée de la Femme : La charge du parti Ennahdha contre la CEDAW
Le 8 mars, il y a quatre jours à peine était célébrée la journée internationale de la femme. Le lendemain le ministre des Affaires Religieuses, présent dans un débat, a estimé que la CEDAW est un texte « inadapté aux principes de souveraineté de l’Etat, à son identité, à sa constitution et à ses textes législatifs. »