Hay Hlel, ce quartier à un jet de pierre du centre de Tunis, représente au regard des clichés, un repère de délinquants quasi-interdit d’accès. Sauf que la cité en question, dont l’histoire remonte aux années 1930, a pâti d’une politique délibérée qui l’a au fil des années marginalisée. Et l’image négative colle à la peau de ses habitants stigmatisés. Plongée dans l’histoire d’un quartier abandonné à son sort.
تاريخ حي هلال: كيف صنع الهامش في تونس العاصمة
لا نعرف عن حي هلال عموماً سوى أنه حي شعبي في وسط العاصمة يمثل بؤرة للجريمة وجب تجنب الدخول إليها متناسين أن العنف والانحراف هي نتيجة لسيرورة طويلة و مركبة من العوامل السياسية، الاجتماعية والتاريخية. يعود تاريخ حي هلال، هذا الحي الهامشي، إلى ثلاثينيات القرن العشرين. و منذ ذلك التاريخ وهو يعيش تهميشاً ممنهجاً أوصله إلى الصورة التي هو عليها اليوم، صورة الحي الخطير و الذي يعاني أبناؤه الوصم أينما ذهبوا.
Meurtre de Yassine : Pourquoi je suis contre la peine de mort
En marge de la doxa, certains Tunisiens désapprouvent la peine de mort, rejoignant ainsi la poignée de militants des droits de l’homme qui luttent pour son abolition. Pour eux, la peine capitale une sentence ambivalente, populiste et inhumaine.
صفقة شراء أسلحة مزعومة تكشف جهاز مواز مرتبط بحركة النهضة
قضينا مدة الأسبوعين من الاستقصاء و التحري تمكنا على اثرها من استبعاد فرضية الخلية المسلحة المزعومة التي يقودها رجل الأعمال فتحي دمق لننطلق في البحث وراء تنظيم مواز لأجهزة الدولة على علاقة بحركة النهضة
Une affaire de trafic d’armes présumée révéle un appareil parallèle lié à Ennahdha
Les conclusions de deux semaines d’investigations nous ont permis d’écarter l’hypothèse d’une cellule armée dirigée par Fathi Dammak pour ouvrir la piste d’une organisation parallèle aux appareils de l’Etat, en lien avec le parti Ennahdha.
Tunisie : M. le Premier Minsitre indignez Vous !
Par Abou Ayoub Hier et avant d’aller me coucher, j’ai écouté la séquence vidéo enregistrée de notre Premier Ministre Mr […]
Assassinat d’un prêtre polonais à la Manouba, Tunisie : à qui profite le crime ?
Par Florence Kessler – Vendredi 18 février 2011, le prêtre polonais Marius Ribynski, salésien et économe de l’école privée Salésienne de la Manouba en Tunisie, est découvert égorgé