مع اقتراب موعد استفتاء 25جويلية، تُطرح تساؤلات حول الإمكانيّات المادّية للهيئة لتنظيم هذا الموعد الانتخابي، وحول كيفيّة تأمين السّير العادي للانتخابات بحضور مختلف الفاعلين المدنيّين والملاحظين والإعلاميّين، خاصّة في هذا الظّرف الاستثنائي الّذي أحكم فيه الرئيس قبضته على مختلف السّلط والهياكل.
L’ISIE, un marqueur de la post-révolution
L’ISIE a marqué les dix dernières années de la Tunisie pour avoir piloté pas moins de six élections majeures (une constituante, deux scrutins présidentiels et législatifs, et une élection municipale) qui ont transformé le paysage politique et institutionnel tunisien. Sans parler des opérations que cette institution a été appelée à organiser comme, par exemple, l’élection des membres du Haut Conseil de la magistrature. Elle demeure un sujet d’actualité dès lors qu’on évoque de façon récurrente l’hypothèse d’élections anticipées tant l’instabilité gouvernementale imprègne le climat général du pays.
Les élections Tunisiennes à l’étranger – L’ISIE : un rendez-vous historique manqué
A une heure de la fermeture des bureaux de vote à l’étranger, le constat d’échec de l’organisation des élections est sans appel. Quoiqu’on puisse dire, l’Isie a manqué le rendez-vous historique, et quel que soit le résultat final du dépouillement, le scrutin législatif est loin d’être transparent, démocratique et représentatif pour l’ensemble des Tunisiens résidents à l’étranger.
L’ISIE au consulat tunisien de Bruxelles : le spectacle de l’incompétence
Ce que vous allez lire défie l’imagination face aux incompétents qui organisent les élections en Belgique. Récit d’un citoyen lambda : Vous vous êtes levés, sans doute, comme moi, tout fier de prendre votre petit déjeuner et de vous rendre au consulat. Peine perdue ! Arrivé à 10h20 du matin, je constate une longue file qui part du trottoir jusqu’à l’entrée du bâtiment… J’ai mis les pieds dans le hall à 11h50.
L’IRIE France 1 : Partialité et incompétence ! La transparence des élections compromise
Notre inquiétude est d’autant plus grande quand on constate que de nombreux citoyen(ne)s ayant voté en 2011 se retrouvent sans raison éjectés des listes électorales et risquent de ne pas pouvoir voter. A cela s’ajoute la manière incompréhensible et plus que contestable dont a été envisagée la répartition des électeurs(trices) entre les divers bureaux de vote, ce qui risque de poser de nombreux problèmes d’accueil et d’organisation lors du scrutin d’octobre et surtout pour conséquence de dissuader de nombreux électeurs(trices) en France d’accomplir leur devoir de citoyen(e)s. Serait-ce là le but recherché ?