Il y a un an disparaissait Walid Hosni, né en 1987, étudiant inscrit en troisième année à l’Ecole supérieure des sciences et techniques de santé (ESSTS). Sorti du domicile familial de la cité Nasr de Naassen (gouvernorat de Ben Arous) à 6 heures et demi du matin, sans avoir emporté avec lui argent, papiers ou vêtements, il n’a jamais été revu.
Le 30 août dernier plusieurs associations, le Comité des Familles de Disparus en Algérie et la FEMED en partenariat avec l’International Coalition Against Enforced Disappearances, la FIDH, l’ACAT, la LDH, le Forum Vérité et Justice (Maroc) et Amnesty International-France, ont organisé une manifestation à Paris à l’occasion de la journée internationale des disparus.