Shams, an association that campaigns for the decriminalization of homosexuality in Tunisia, announced on its Facebook page that the marriage of a French man and Tunisian man in France had been recognized by the Tunisian government. The marriage was recorded on the Tunisian spouse’s birth certificate. Upon the announcement, several English-language media outlets relayed the information, tentatively qualifying Tunisia as “the first Arab country to recognize gay marriage”.
Mariage homosexuel français reconnu en Tunisie : Qu’en est-il vraiment ?
L’association Shams pour la dépénalisation de l’homosexualité a annoncé sur sa page Facebook qu’un mariage entre un Français et un Tunisien contracté en France a été reconnu par l’Etat tunisien en le faisant inscrire dans l’extrait de naissance du ressortissant concerné.
Journée internationale contre l’homophobie : La honte a-t-elle changé de camp ?
Selon le Collectif pour les libertés individuelles, près de 120 personnes sont jugées, chaque année, pour homosexualité. Un chiffre qui s’additionne aux centaines d’alertes quotidiennes sur des agressions sexuelles, physiques et morales, dans la rue, les établissements publics y compris les poste de police et à travers les réseaux sociaux et les médias.
Hkeya #5 : Trop différents ?
« Shams ». Littéralement « soleil ». Tel est le nom improbable d’une association fondée dans la douleur. Certains, dont ses membres diront que celle-ci entend défendre et protéger les droits des homosexuels en Tunisie, d’autres avanceront que « Shams » dit avoir été crée pour la défense des minorités, et ce pour obtenir son visa. Alors, minorités de qui, de quoi ? Au niveau racial, spirituel, génital, sexuel, organique, physique, ce terme est bien trop large et bien trop généraliste.
Quand l’association Shams fait face à la double-peine : une campagne haineuse et une interdiction
La polémique et la campagne de haine contre l’association Shams a au moins le mérite de nous éclairer sur l’état de la société tunisienne et surtout de la grande majorité de la classe politico-médiatique dès lors qu’il s’agit de mettre en pratique les valeurs et les principes pourtant admis par la constitution. En particulier quand il s’agit de questions sociétales et de mœurs. Et pourquoi ne pas le dire de la frilosité des intellectuels et penseurs qui ne se sont pas bousculés pour réagir sur le plan des idées.
Tunisie – Minorités : et si on respectait enfin les droits individuels de la communauté LGBT?
Je n’arrive pas à comprendre toute cette haine et ce rejet de la communauté LGBT en Tunisie. Certes, en tant qu’hétérosexuel, je ne partage pas les mêmes affinités ni les mêmes orientations sexuelles des membres de cette communauté, mais je ne peux pas accepter les propos injurieux et dégradants vis-à-vis de cette minorité.