L’expression « socialisme libéral » donne à voir, de prime abord, une sorte de concession réciproque. Tout se passe comme si la distinction faisait état d’une médiété qui serait validée aussi bien par la droite que par un « libéralisme de gauche » relativement tempéré.
Les questions économiques selon Hizb al Tahrir (Partie I)
Takieddine Annabhani, le fondateur du « Hizb al Tahrir » considère que la crise des musulmans contemporains, réside dans la passion qu’ils éprouvent pour les idées « capitalistes » et dans leurs tentatives de les concilier avec l’Islam, voire de les suivre telles quelles. De là, il voit qu’il revient « au missionnaire de l’Islam, d’examiner les fondements des prescriptions et des solutions capitalistes, de montrer leur faux caractère et de les abattre.
Le virage à droite des Frères musulmans
Confortant les courants conservateurs, le libéralisme ambiant a mis en sourdine toute la problématique de la justice sociale. Désormais, c’est la réussite individuelle qui est le moyen d’atteindre l’objectif final : l’instauration d’un pouvoir islamique.
La main invisible et le contrat social
Le libéralisme se forge à l’époque des Lumières et puise ses racines aux mêmes sources ; traitant d’une science nouvelle, […]
La tête ou le petit orteil ?
Il est vrai et pour être honnête, dans notre pays, les théories révolutionnaires sont servies à toutes les assiettes et […]
Privilège peu flatteur
Dans la langue liste des domaines où la Tunisie tient les premières places mondiales, on peut aisément rajouter le privilège […]