À l’heure actuelle le second tour de l’élection présidentielle doit être saisi comme une occasion de montrer le courage politique et la détermination à coller aux préférences et aspirations des couches progressistes qui vont voter pour Moncef Marzouki comme elles l’ont fait au premier tour de ces élections. Il n’y a pas de place pour l’hésitation ou la neutralité. Dans le duel électoral du 21 décembre 2014 deux camps se font face l’un formé de la majorité qui a chassé le dictateur, l’autre regroupe les possédants et les biens nantis qui étaient heureux de vivre sous une dictature comme celle de Ben Ali.
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