« Le peuple veut », un slogan qu’ont scandé les manifestants de Tunis au Caire, de Damas à Manama, de Tripoli à Sanaa… Réputé pour être un havre de libertés dans la jungle des dictatures arabes, le Liban semble être à l’abri de cette vague de soulèvements et le peuple libanais semble « ne pas vouloir ». Pourtant les prémices d’un soulèvement se profilent à l’horizon. A la tête de cette initiative, baptisée « La Révolution du 10 octobre », un ancien du Hezbollah.
La destitution par suffrage universel de Morsi sonne le glas de l’islam politique
C’est bel et bien la fin de l’islam politique. A l’instar des soulèvements de 2011, les dictatures islamistes qui se sont substituées aux dictatures militaires vont tomber comme un jeu de carte. C’est l’Egypte, « mère du monde », qui a lancé le coup d’envoi.
الفرق بين المشرق والمغرب في قراءة الأزمة السورية
الامور في تونس تختلف عما هو عليه واقع الأمر في لبنان وما يبدو بديهيا في لبنان يستحيل عبثيا في تونس خاصة حسب المعارضين للنظام السوري في سوريا ولبنان. فالتونسيون الذين قاوموا لسنوات عديدة النظام الديكتاتوري لبن علي استحالوا اليوم مدافعين شرسين عن النظام البعثي.
Aucune représentation officielle de la Tunisie au Salon du Livre de Paris
Le Salon du Livre de Paris n’est plus à présenter. Devenu une institution depuis sa création en 1981, le salon […]
Le fossé entre Machrek et Maghreb au prisme de la crise syrienne
La crise syrienne bat son plein, les morts se comptent désormais par dizaines de milliers. Le nombre de réfugiés a atteint le premier million avec l’arrivée de Bushra au Liban, déclarée symboliquement par l’UNHCR comme la millionième réfugiée syrienne.