Si je ne me trompe pas, sur la scène politique, on aurait donc la configuration suivante (même si BCE persiste à assigner «Autres» à Ennahdha): (1) Nidaa, (2) Ennahdha, et (3) Autres. Au niveau des « Autres », on a pas mal de partis qui sont, plus ou moins, attachés aux 2 premiers.
Un nouveau modèle politique de gouvernance ? Un gouvernement Jomâa-like pour 5 ans ? 10 ans ? Toujours ?
Après deux assassinats politiques sauvages, des attaques ignobles contre nos soldats et une contre-révolution militaire en Égypte, je constate une certaine accélération de l’Histoire ; en effet, loin de moi l’idée, ou même le rêve, de voir aussi rapidement notre classe politique suivre le chemin du «consensus», terme qui dénote clairement l’esprit de ce modèle tunisien de gouvernance.
Pour une alliance démocratique
Comme beaucoup de mes concitoyens, j’appelle donc à la formation d’une grande « Alliance démocratique », qui viendrait concrétiser une troisième voie, une alliance qui regrouperait tous les partis (Alliance démocratique de Hamdi, Tak, CPR, etc.) qui sont en dehors de l’alliance Nidaa-Jabha, et en dehors du parti Ennahdha.
À la croisée des chemins
Le pays a été soudain rattrapé par l’actualité régionale, guidée par une nouvelle orientation géopolitique; ainsi, si l’oncle Ben décide que cet élan révolutionnaire qu’a constitué le printemps arabe doit s’éteindre, et bien ainsi soit-il !
Renaissance de Carthage, d’Ifriqiya, de Kairouan, et de Tounès – Acte II: Immolation du modèle politique – 17-14 décembre-janvier 2011-2012
Tout d’abord, en cette période de commémoration du début du soulèvement populaire en Tunisie, j’aimerais m’incliner de nouveau devant tous […]
Tunisie : Vive la révolution!
Comme plusieurs compatriotes vivant à l’étranger, je vis depuis une semaine une certaine frustration du fait que je ne suis […]