Après deux assassinats politiques sauvages, des attaques ignobles contre nos soldats et une contre-révolution militaire en Égypte, je constate une certaine accélération de l’Histoire ; en effet, loin de moi l’idée, ou même le rêve, de voir aussi rapidement notre classe politique suivre le chemin du «consensus», terme qui dénote clairement l’esprit de ce modèle tunisien de gouvernance.
Comme beaucoup de mes concitoyens, j’appelle donc à la formation d’une grande « Alliance démocratique », qui viendrait concrétiser une troisième voie, une alliance qui regrouperait tous les partis (Alliance démocratique de Hamdi, Tak, CPR, etc.) qui sont en dehors de l’alliance Nidaa-Jabha, et en dehors du parti Ennahdha.
Tout d’abord, en cette période de commémoration du début du soulèvement populaire en Tunisie, j’aimerais m’incliner de nouveau devant tous… Lire la suite
Personne ne peut nier que depuis le 14 janvier – certes le parrain a quitté le pays, mais la mafia… Lire la suite
Depuis quelques semaines, j’observe avec inquiétude les divisions profondes (genre qui impliquent la haine d’autrui) qui s’installent progressivement dans notre société civile et dans le débat politique et intellectuel. Je voulais donc réagir pour exprimer mon point de vue sur le sujet et essayer de suggérer humblement quelques solutions. Cet article aurait pu être intitulé «politique du compromis».
Comme plusieurs compatriotes vivant à l’étranger, je vis depuis une semaine une certaine frustration du fait que je ne suis… Lire la suite