We cannot deny that unprecedented winds of freedom have blown over the Tunisian media in the post revolutionary era, where it is no longer a taboo to criticize politicians. After the October, 23 election, and the arrival of a legitimate, and democratically elected government, now we can ask ourselves if this freedom of criticism will continue.
Emna El Hammi
Rédactrice chez Nawaat et blogueuse pour le journal Libération. Ma Tunisie sans Ben Ali . Docteur en Biotechnologies de formation.Par Aaron Y. Zelin. Traduit de l’anglais vers le français par Emna El Hammi – Depuis les élections libres et justes le mois dernier en Tunisie, l’attention s’est surtout portée sur la victoire du mouvement Ennahda, la formation d’une Assemblée constituante qui aura en charge d’écrire une nouvelle constitution et la reconstruction de l’économie en ruine. Pourtant, ces questions importantes menacent de masquer un autre défi important à la démocratie naissante du pays: le salafisme.
Jusqu’aux derniers moments précédant le scrutin, beaucoup de Tunisiens étaient toujours indécis quant à leur choix de vote. Cela ne… Lire la suite
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