A la veille du 14 janvier 2013, date du deuxième anniversaire de la Révolution tunisienne, le Président de la République Moncef Marzouki a donné une interview où plusieurs sujets ont été abordés. Voici les citations les plus importantes.
A la veille du 14 janvier 2013, date du deuxième anniversaire de la Révolution tunisienne, le Président de la République Moncef Marzouki a donné une interview où plusieurs sujets ont été abordés. Voici les citations les plus importantes.
Peut-on célébrer l’anniversaire de la révolution ? « Oui, mais pas avec tout le monde », répondrait Desproges ! La veille du deuxième 14 janvier d’après révolution, si le climat politique se détend, officiellement, avec un semblant d’initiative de dialogue national à Carthage, il se crispe, voire se para-militarise en coulisses, comme le révélait Nawaat cette semaine, ce qui nous vaut au passage un deuxième Nawaatgate en deux mois.
Le ministre de la Justice, Noureddine Bhiri, était auditionné mardi 8 janvier par les élus de l’Assemblée nationale constituante (ANC) réunis en session plénière. Lors d’une séance plutôt mouvementée, le ministre n’a pas été épargné par les critiques de l’opposition sur la gestion de son ministère.
قضينا مدة الأسبوعين من الاستقصاء و التحري تمكنا على اثرها من استبعاد فرضية الخلية المسلحة المزعومة التي يقودها رجل الأعمال فتحي دمق لننطلق في البحث وراء تنظيم مواز لأجهزة الدولة على علاقة بحركة النهضة
Les conclusions de deux semaines d’investigations nous ont permis d’écarter l’hypothèse d’une cellule armée dirigée par Fathi Dammak pour ouvrir la piste d’une organisation parallèle aux appareils de l’Etat, en lien avec le parti Ennahdha.
Comme lors des célébrations du 14 janvier 2012, où seul un député français avait fait le déplacement, aucun responsable politique de premier plan n’assistera au deuxième anniversaire de la fuite de l’ex-dictateur Ben Ali à Tunis le 14 janvier prochain…
Après une première annonce en décembre 2012, le ministre des Droits de l’Homme et de la Justice transitionnelle a confirmé qu’il ne souhaite plus être porte-parole officiel du gouvernement. Dans ses déclarations faites ce lundi à Mosaique FM et Shems FM, Samir Dilou a annoncé qu’il ne sera plus porte-parole officiel du gouvernement.
Première semaine agitée pour l’Assemblée nationale constituante alors qu’elle reprend ses travaux après le week-end prolongé du Jour de l’An. Lors de la séance du jeudi 3 janvier, les élus se sont penchés sur les propositions d’amendement du règlement intérieur (RI) de l’ANC. Plus de 300 ont été déposées, mais c’est autour de l’amendement de l’article 104 que se sont cristallisés les débats.
Du 12 au 20 Novembre 2012, Le FMI a effectué une mission afin d’analyser la situation économique et financière de la Tunisie. Nous avons pu obtenir le rapport préliminaire de cette mission, qui essaie de résumer la situation économique et financière du pays…
Le pouvoir le sait : la période du 17 décembre au 14 janvier est synonyme d’entrée dans une zone de turbulences. Même s’il est l’émanation d’une Assemblée élue, l’actuel gouvernement n’échappe pas à la poussée de fièvre révolutionnaire coïncidant avec une période chargée en symboles…
Le samedi 29 décembre dernier, à une heure du matin, 79 députés ont voté pour une proposition d’article au sujet des indemnités des députés. Qu’en est-il vraiment de cet article ?
تعليق النائب عبد الكريم بوعبدلّي حول منح النواب أثار جدلا واسعا إذ نشرت اليوم جريدة المغرب مقالا تحت عنوان “نواب المجلس التأسيسي يمنحون أنفسهم زيادة ب %50 في منحهم”. اتصلنا بالسيدة هالة الحامي, مساعدة الرئيس المكلّفة بالتصرّف العام و الرقابة على تنفيذ الميزانيّة, التي أكدت لنا أن هذا الخبر لا أساس له من الصحّة و وصفته بالمغالطة.
Un ministre en particulier est dans le collimateur de la jeune femme : Rafik Abdessalem, chef de la diplomatie tunisienne. Le 26 décembre, Olfa Riahi publie sur son blog un brulot accusant entre les lignes le ministre de dépenser dans un hôtel de luxe les deniers de son ministère et d’y inviter par la même occasion une femme pour des motifs peu clairs.
La séance du lundi 24, consacrée selon le programme à l’examen de la Loi de finances 2013 entamé la semaine précédente, s’ouvre sur les incidents survenus le samedi précédent à Djerba. Mustapha Ben Jaafer, qui préside la séance, dénonce plus généralement les actes de violence à Sidi Bouzid et à Djerba….
Quelques lecteurs m’ont reproché un article plutôt descriptif, dimanche dernier, autour des évènements de Djerba. Ils n’ont pas tort. Mon texte s’inscrivait sciemment dans une instantanéité, il répondait à une demande pressante : celle d’avoir le compte-rendu, à chaud, de témoins oculaires d’un évènement qui, aujourd’hui encore, reste complexe à appréhender.
Voilà des mois qu’on en parle sans le voir venir. Le remaniement ministériel tant attendu est évoqué avec insistance depuis l’été. En juillet déjà, plusieurs articles se faisaient l’écho de la nomination imminente d’un nouveau gouvernement. Les rumeurs et les paris allaient bon train quant aux ministres qui seraient démis de leurs fonctions et aux nouvelles nominations.
Le 23 décembre, l’Association des Magistrats Tunisiens (AMT) a décidé de créer une cellule de crise pour traiter les affaires en cours et en rapport essentiellement avec la mise en place de l’Instance provisoire de l’ordre judiciaire et de la rédaction du chapitre du pouvoir judiciaire dans le projet de la Constitution.
Nous avons publié hier une vidéo qui semble filmée à l’aide d’une caméra cachée, d’une transaction d’armes à feu entre l’homme d’affaires Fathi Dammak et un présumé trafiquant d’armes. La qualité de l’image est mauvaise mais le son est clair. D’après les propos échangés lors de la transaction, le trafiquant présumé serait membre d’un gang financé par Fathi Dammak en train de planifier des « opérations ».