Vanté comme plateforme permettant la libre expression à tout le monde et la mise en réseau des activistes, Facebook a même donné son nom au soulèvement de 2011, baptisé « Révolution Facebook » par certains médias et chercheurs étrangers. Près de 8 ans après, Facebook s’avère un terrain glissant au point de constituer un risque de fragiliser l’instauration de l’embryonnaire démocratie tunisienne.
