Organic has yet to become commonplace in the day-to-day of Tunisian consumers. Even though the surface area of organically-grown crops has increased by 1,000 over the past 25 years, local consumption of organic goods remains minimal. Some point a finger at consumers themselves, while others blame the government. What exactly has prevented organic from taking off in Tunisia?
Homrane Community: Another Possibility in the Mountains of Ain Drahem
Who has not heard a friend or family member express the desire to drop everything, move to the mountains and grow everything one needs in one’s own garden? A community in Homrane, tucked away in the forest of Ain Drahem, has turned this dream into a reality. And the work that this small group has accomplished in three years is tremendous.
Homrane community : un autre possible dans les montagnes de Ain Drahem
Qui n’a jamais entendu, dans son entourage, ce désir de tout plaquer et d’aller cultiver son potager à la montagne ? Une communauté nichée à Homrane, du côté d’Ain Drahem, a fait de ce désir une réalité. Et le travail accompli en 3 ans est titanesque.
Produits bio en Tunisie : pourquoi la consommation ne décolle pas ?
Le bio n’a pas intégré les pratiques quotidiennes en Tunisie. Sa consommation reste minoritaire, en dépit de la multiplication par 1000 de la superficie de ses surfaces cultivables, durant ces 25 dernières années. Certains culpabilisent le consommateur, d’autres pointent l’Etat ? Mais qu’est-ce qui ne marche pas ?
Menaces sur les semences paysannes en Tunisie
A contre-courant de l’industrie semencière, l’Association Tunisienne de Permaculture, créée en 2013, tente de réhabiliter les semences paysannes. Reportage au Kef où se tenait la 4ème Fête des semences paysannes.
Réhabiliter les semences paysannes : un acte de résistance
Nous constatons que les variétés végétales inscrites au catalogue officiel, en 2014, sont pour la grande majorité hybrides et proviennent de géants de l’agroalimentaire, tels que Monsanto (27% du marché mondial), Synganta (9%), le groupe Limagrain (5%), ou encore l’entreprise japonaise Sakata (1,5%) . Selon l’Association pour le Développement Durable (Médenine), l’usage de ces semences ne cesse d’augmenter : Il était de 35% en 1975, de 58% en 1994 et de 75% en 2004.