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Politics aside, civil society pushes for an end to violence against women 

In anticipation of International Women’s Day on March 8, Tunisian civil society organizations are campaigning for the expedient adoption of legislation concerning the elimination of violence against women. The Tunisian Association of Women Democrats (ATFD), the Tunisian League for the Defense of Human Rights (LTDH), and other non-governmental associations who are the first recourse for women victims of violence, are pushing for the adoption of a pending draft law, even while one of their primary critiques regarding the text is its failure to recognize the essential role played by non-governmental actors.

Débat féministe : que faire de Alaa Chebbi ?

Le débat sur l’émission Andi Ma Nqolek [Quelque chose à te dire] après le passage d’une mineure violée par trois hommes de sa famille élargie est encore d’actualité. Entre les satisfaits de la sanction de la HAICA et ceux qui veulent porter plainte, les avis des féministes divergent. Un débat qui oppose, comme c’est souvent le cas, les différentes méthodes de militantisme féministe  mais aussi le rapport de la société civile aux médias.

Les droits des femmes, un combat politique

Le 13 août, fête nationale des femmes, revient, cette année, avec un nouveau souffle de résistance féministe. Pressentie pour légion d’honneur, Sana Ben Achour, ancienne présidente de l’ATFD, a refusé les honneurs de la présidence de la République. Par ailleurs, le projet de loi intégrale de lutte contre la violence contre la femme et la fille à l’étude depuis 2013 vient d’être adopté par le conseil des ministres.

Samira Merai sous influence anti-féministe

Jeudi 12 mai, Samira Merai, ministre de la Femme, de la famille et de l’enfance , a annoncé avoir, enfin, déposé le projet de loi intégrale contre la violence faite aux femmes au conseil des ministres. En réalité, cela fait un mois que le projet de loi est bloqué au conseil des ministres. D’après nos sources, plusieurs ministres le contestent et la ministre concernée cherche des soutiens dans le mauvais camp.

المنظّمات الحقوقيّة و دعم التحرّكات الإجتماعيّة

عقدت مجموعة من المنظمات الحقوقية الوطنية والدولية ندوة صحفية، يوم الثلاثاء 26 أفريل 2016، أعلنت خلالها عن تكوين تنسيقية لدعم الحراك الإجتماعي، أمام تصاعد نسق التحركات الإجتماعية المطالبة بالحق في التشغيل و إلغاء أشكال العمل الهشة، وإزاء القمع البوليسي والتشويه الإعلامي.

العاملات الفلاحيات: سواعد تشقى مقابل أجور زهيدة

رغم المشاركة الكفاحية التي تخوضها المرأة الريفية –التي تفوق في بعض الأحيان ما يبذله الرجال- فإنها مازالت تعيش على هامش المجتمع، الذي ما فتئ يكرس نظرة دونية لعاملات الريف تتجلى أساسا في التمييز المسلط عليهن وحرمانهن من أدنى حقوقهن الإنسانية. وهو ما ساهم في تأبيد الهشاشة الاقتصادية والاجتماعية لهذه الفئة.

Harcèlement sexuel : Un jour… un combat

Au café-théâtre le mondial, lundi 9 novembre 2015 à 18h, plus d’une cinquantaine de personnes se sont rencontrées pour parler « harcèlement sexuel ». C’est dans le cadre de la campagne « un jour… un combat » de la Coalition pour les droits sexuels et corporels dans les sociétés à majorité musulmanes (CSBR) que l’Association Tunisienne des Femmes Démocrates en partenariat avec l’Association Tunisienne de Lutte contre les Maladies Sexuellement Transmissible, We Exist (Mawjoudin), Chouf, Groupe Tawhida Bechikh, Rojainu, Waii et Withour Restrictions que ce rassemblement s’est tenu.

Interdire le voile dans les écoles : le sensationnel de BCE élude la réelle problématique

Lors de son discours à l’occasion de la fête nationale de la femme tunisienne, le 13 août, au palais présidentiel, Béji Caid Essebssi, a déclaré que le voile sera interdit dans les écoles primaires. « La loi doit être appliquée et respectée par tous » a-t-il martelé en s’adressant au chef du gouvernement, Habib Essid, avant de rappeler qu’il s’agit d’« un comportement contraire aux règles du code du statut personnel et aux droits de l’enfant». Le président de la République n’a pas donné de précision sur cette décision, ses modes d’application et l’âge des filles qui seront concernées par cette interdiction. Dans son discours, il donne l’exemple d’une enfant de 4 ans portant un voile dans un jardin d’enfant coranique.

Tunisie : comment échapper légalement à la sanction du viol

Amnesty International mène actuellement une campagne pour « arrêter d’excuser les violences sexuelles », visant directement l’article 227 bis du code pénal tunisien et son équivalent en Algérie, l’article 326 du code pénal algérien2. Au Maroc la législation a changé suite à la triste tragédie connue par Amina El Filali en 2012. Amina, 16 ans, s’était suicidée après avoir été mariée à l’homme qui l’avait violé.

Lettre Ouverte à l’Association Tunisienne des Femmes Démocrates

après avoir pris connaissance par différents extraits de la presse numérique tunisienne de la levée de réserves que la Tunisie avait émises à l’encontre de certains articles de la CEDAW-CEDEF (Convention pour l’Élimination des toutes les Discriminations Envers les Femmes), je dois bien tempérer ma joie et satisfaction -que je voulais partager avec vous- par un véritable bain dans le bassin glacial de l’hypocrisie protocolaire que vient d’être justement dénoncée par votre communiqué reproduit sur le site Nawaat