Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
L’Eco-Revue: IDE et FMI: mirages de la richesse
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
FMI, quand nos responsables s’enlisent…
Suite à la fuite de documents confidentiels qui concerne une demande d’intention à destination du FMI concernant un prêt de « précaution » de 2,7 Milliards de Dinars. Plusieurs médias, dont Nawaat, ont analysé et critiqué ce choix économique .L’ancien ministre des finances de la Troïka, Mr H. Dimassi, s’est exprimé, C. Ayari, gouverneur de la Banque Centrale, a répondu en organisant une conférence de presse, ce Lundi 1er Avril. Il s’est dit scandalisé par cet alarmisme exagéré
Analyse de La Lettre d’intention de la Tunisie envers le FMI : Dernière étape avant la colonisation
Comme nous l’avons analysé dans notre article « Prêts en échange de réformes libérales », Le gouvernement tunisien, qui s’est décidé à se financer auprès du FMI, après la dégradation de notre note souveraine par la plupart des agences de notations internationales et l’épuisement de toutes les garanties de nos partenaires, est officiellement en pourparlers avec l’institution de Washington dans le cadre du prêt de précaution d’un montant de 2,7 Milliards de Dinars ( 3.92% du PIB).
Deux documents confidentiels révèlent la sous-traitance de la politique économique de la Tunisie par la BM et le FMI
La Tunisie va bientôt signer un accord avec le FMI sur un prêt de 2,7 milliards de dinars tunisien remboursable sur 5 ans avec une période de grâce de 3 ans et 3 mois et adossé à un programme de réformes structurelles de deux ans. Nous avons déjà publié un article décrivant l’ensemble des réformes annoncées, mais deux documents classés, ultra-confidentiels nous permettent de mieux comprendre les détails de l’accord que la Tunisie s’apprête à signer.
La dette extérieure de la Tunisie 1970 – 2010. Par II : Du Mensonge à l’appauvrissement de la Tunisie
La seconde partie, éminemment plus technique aborde désormais les mécanismes d’appauvrissement par la dette extérieure sous et après le régime dictatorial de Ben Ali. Il est également question de révéler, outre les responsabilités du despote, de pointer du doigt les créanciers qui se sont outrageusement enrichi sur le compte des tunisien.
Un Etat mendiant et un peuple qui s’appauvrit : Explication très simplifiée du prêt FMI
Dans cette spirale infernale de la dette, où nous contractons une dette pour en payer une autre avec des taux d’intérêt de plus en plus élevés – compte tenu de la dégradation de la note par les agence de notations comme Moody’s, Standard and Poor’s and Fitch rating – il est important de se poser les questions suivantes : Jusqu’où allons-nous avec l’endettement et où va l’argent ? Les cessions que le gouvernement est en train de faire ne sont-elles pas suffisantes ?
La dette extérieure de la Tunisie 1970 – 2011. Part I : Du Mensonge à la vérité
Le gouvernement de Beji Caid Essebsi, suivi de celui dominé par Ennahdha ont tous les deux poursuivi inexorablement les crimes de la dictature en matière d’endettement. Ils ont tous les deux ignoré la volonté du peuple tunisien et les objectifs de sa révolution qui lui a été confisquée dans une stratégie de choc sociaal et de contre révolution. Ben Ali en a rêvé, Beji Caid Essebsi et les salafistes d’Ennahda l’ont fait.
L’Eco Revue: Anarchie, inflation et mal bouffe
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
La dette extérieure : un frein au développement de la Tunisie
La politique néolibérale imposée à la Tunisie depuis l’instauration en 1987 de la dictature de Ben Ali, a accéléré l’endettement du pays au point de le rendre quasi-dépendant des créanciers par le truchement des intérêts.