Alors qu’une solution a été trouvé entre le syndicat des enseignants et le gouvernement, les lycéens qui se sont organisés ces dernières semaines pour défendre leurs intérêts assurent qu’ils y sont pour quelque chose.
Ces jeunes qui changeront l’enseignement
Dans le système éducatif tunisien, chacun –et surtout le professeur- est victime d’une formation qui le lance en eaux troubles avec une connaissance encyclopédique mais sûrement pas pédagogique. Ceci dit, il y a ceux qui subissent, et ceux qui agissent.
Une histoire de tablier
Après la grève des professeurs et le dialogue national en cours pour la réforme du système éducatif, je crois qu’il est temps d’aborder un sujet qui fâche. Le Tablier, obligatoire pour les filles seulement, un détail en apparence devenu symbole de l’inégalité homme-femme en Tunisie.
L’élève tunisien, ce mordu des cafés
Prenez un élève, n’importe lequel. Assenez lui, en moyenne, 8 heures de cours intensifs et surchargés par jour, à raison de 5 jours par semaine. Sachant que l’individu moyen cale au bout de 45 minutes de cours et passe le reste à observer les mouches ou à braver l’autorité de son professeur, calculez le temps et la santé mentale perdus en l’espace d’une semaine.
سيّب التلميذ سامي فرحات
04 ديسمبر 2013 كان تاريخ إيقاف التلميذ سامي فرحات بتهم مختلفة بعد الإضراب العام الذي شهدته مدينة قفصة والذي حُرق خلاله مقرّ الولاية ومقرّ حركة النهضة في الجهة. اليوم وبعد مضيّ 6 أشهر على إيقافه رفقه ثلاثة من شبّان المدينة، ما يزال سامي رهن الإيقاف في انتظار الحسم في قضيّته في حين يتوجّه زملاءه وأصدقاءه لاجتياز امتحان الباكالوريا الذي منع هذا الأخير من اجتيازه ليعوّض رقم تسجيله في الامتحان برقم قضيّته التي تجاوزت أبعادها وملابساتها مجرّد التحقيق في اعتداء على مقرّ حزبيّ.