La mesure phare de l’accompagnement actif des demandeurs d’emploi en 2011 a été l’instauration du programme AMAL. Compris à tort comme une prime de chômage, donc une prime à la paresse …

La mesure phare de l’accompagnement actif des demandeurs d’emploi en 2011 a été l’instauration du programme AMAL. Compris à tort comme une prime de chômage, donc une prime à la paresse …
Pour M. Ben Zakour le secteur informel concernerait 35 à 42% de la population active, peut-être 50% des quelques 800 000 chômeurs et représenterait 50% du PIB tunisien.
Karim Mejri apporte sa contribution au débat national autour de l’emploi dans une série de 9 articles publiés par Nawaat.org. Dans ce cinquième article, il donne un éclairage sur certains réservoirs d’emplois qui ne sont pas encore bien exploités.
Face à un secteur public à faible capacité de création d’emploi, et face à un secteur privé en perte de vitesse, une autre solution pour combattre le chômage consiste dans la promotion de l’entreprenariat. Mais l’Etat ne fait-il pas déjà beaucoup de choses…
Le rôle déterminant du secteur privé. Dans ce troisième article, Karim Mejri, ex-conseiller auprès du ministre de l’emploi Saïd Aïdi, analyse le rôle incontournable que le secteur privé devrait jouer dans la bataille contre le chômage..
L’Etat est le plus gros employeur du pays. Au lendemain de l’indépendance, être embauché par l’Etat constituait la conclusion logique du parcours d’un étudiant de l’enseignement supérieur. Certains étaient même embauchés avant l’obtention de leur diplôme.
Il y aurait environ 1600 cas de naissances hors mariage chaque année en Tunisie. Dans les années 60 il y en avait déjà quelques centaines répertoriées. Le phénomène des mères célibataires n’a donc rien de nouveau en Tunisie. Il semble par contre aller en s’accroissant.
Karim Mejri, ex-conseiller auprès du ministre de l’emploi Saïd Aïdi, apporte sa contribution au débat national autour de l’emploi dans une série de 9 articles publiés par Nawaat.org. Dans ce premier article, il revient sur la définition du chômage et sur les dernières statistiques en Tunisie
Un groupe d’habitants de Sidi Bouzid viennent d’entamer une marche à pied vers Tunis. Sans hésitation, on a voulu les rencontrer car cela rappelle les débuts de la Révolution tunisienne et sa Casbah 1 où des milliers de Tunisiens sont venus des entrailles de la Tunisie
En Tunisie le chômage explose, l’envie d’aller voir ailleurs avec. Le taux d’inactivité tournerait autour des 38% chez les 20-29 ans. Une jeunesse qui s’ennuie en sirotant des fonds de café froid et en regardant passer les foules lors de journées interminables.
Gafsa. Too far south to catch our interest, too central to attract tourists. The capital of the mining sector is painful to behold. The skies are leaden and the ambiance is sad. A small gathering of job-seekers looking for work in the city center bears witness to ongoing tensions and demands that are far from being met. Among the forsaken are Amor and his family. He and his brothers tell of their past, their present, and their dreams for the future. Hearing the stories echos throughout this family is eye-opening, revealing the human experience’s different faces, fleshing out each identity, and magnifying differences.
Gafsa. Trop au sud pour qu’on s’y intéresse, trop au centre pour drainer du touriste. La capitale du bassin minier fait peine. Le ciel est lourd, l’ambiance triste. Un petit attroupement de chômeurs qui cherchent du travail au centre ville, montre que la situation n’est pas apaisée et que les revendications sont toujours les mêmes.
À l’occasion de l’anniversaire officiel de votre révolution, ce merveilleux Coup du jeune peuple de la Tunisie éternelle, jeunesse de […]
La super navette est lancée à la vitesse lumière dans le cyberespace et elle est en orbite techno-stationnaire autour […]
Je ne suis ni un adepte inconditionnel ni encore moins un consommateur impénitent et invétéré des drogues appelées douces, mais […]
Hier, samedi 17 septembre, le drapeau tunisien a flotté sur les foules polonaise. A peine les premières secondes de The Mouvement entamées et le Crew de Bizerte et voilà le public polonais de l’Obiekt Club pris comme dans un ouragan dans le flow puissant de Malex et Gal3i.
“Le sang a coulé à Sidi Bouzid mais que les fleurs ont éclos à Carthage…“, 8 mois après la chute du tyran, à Sidi Bouzid, c’est ce sentiment qui domine le quotidien. Ici, il n’y a pas de “jasmin”, mais il y a une foule de gens : jeunes, vieux, hommes et femmes qui attendent et espèrent devant la municipalité qu’aujourd’hui,peut-être, il y aura du travail pour eux.