Gafsa. Trop au sud pour qu’on s’y intéresse, trop au centre pour drainer du touriste. La capitale du bassin minier fait peine. Le ciel est lourd, l’ambiance triste. Un petit attroupement de chômeurs qui cherchent du travail au centre ville, montre que la situation n’est pas apaisée et que les revendications sont toujours les mêmes.
Tunisie : Culture et décentralisation culturelle.
Par Amira Chebli – On ne peut pas parler de révolution en Tunisie sans parler de culture et de décentralisation culturelle, parce que la marginalisation qui s’est faite pendant deux dictatures successives n’était pas que économique et sociale mais elle était aussi et surtout culturelle. […]
Appel à la jeunesse, toutes tendances confondues : La force est en vous ; unissez-vous et faites-en bon usage !
À l’occasion de l’anniversaire officiel de votre révolution, ce merveilleux Coup du jeune peuple de la Tunisie éternelle, jeunesse de […]
Le 1er HackerSpace Tunisien sur Orbite!
La super navette est lancée à la vitesse lumière dans le cyberespace et elle est en orbite techno-stationnaire autour […]
Dépénalisation du cannabis
La Tunisie, à travers son histoire récente surtout celle lors de la construction d’un Etat moderne et tourné vers l’avenir durant la période post-coloniale a toujours pris des initiatives et une législation avant-gardiste pour instaurer un modèle de société en phase avec son environnement naturel et bâtir un pays très innovateur qui ne rame pas contre le courant du progrès […]
Drogues douces : Legalize it et basta!
Je ne suis ni un adepte inconditionnel ni encore moins un consommateur impénitent et invétéré des drogues appelées douces, mais […]
Armada Bizerta : le Rap sans frontières chez Creative Commons-Pologne
Hier, samedi 17 septembre, le drapeau tunisien a flotté sur les foules polonaise. A peine les premières secondes de The Mouvement entamées et le Crew de Bizerte et voilà le public polonais de l’Obiekt Club pris comme dans un ouragan dans le flow puissant de Malex et Gal3i.
Parce que le sang a coulé à Sidi Bouzid mais que les fleurs ont éclos à Carthage…
“Le sang a coulé à Sidi Bouzid mais que les fleurs ont éclos à Carthage…“, 8 mois après la chute du tyran, à Sidi Bouzid, c’est ce sentiment qui domine le quotidien. Ici, il n’y a pas de “jasmin”, mais il y a une foule de gens : jeunes, vieux, hommes et femmes qui attendent et espèrent devant la municipalité qu’aujourd’hui,peut-être, il y aura du travail pour eux.
Tunisie : une maladie nommée chômage
On s’attendait une croissance nulle cette année, finalement elle serait de -3% selon les dires du Premier ministre Béji Caied […]
Une stratégie de rupture pour rendre la Tunisie attractive pour les IDE
L’histoire des civilisations nous montre que les changements les plus importants sont ceux qui sont générés suite à une rupture franche. Les progrès continus ou ce que l’on nomme généralement « l’approche Kaizen » est possible mais ses effets s’inscrivent dans une progression lente souvent incompatible avec l’urgence du moment.[…]
Entretien avec Cyril Grislain Karray l’auteur de : “La prochaine guerre en Tunisie, la victoire en 5 batailles”
La prochaine guerre en Tunisie, la victoire en 5 batailles, est le titre choc d’« un livre qui secoue fort mais pour la bonne cause », affirme Cyril Grislain Karray, auteur de l’ouvrage, publié chez cérès éditions.
Autour des mentalités maghrébines : Post-islamisme et esthétique de la présence
Basées sur un rapport étroit au vécu, les croyances populaires maghrébines ne sont guère inscrites dans les préceptes de la […]
Tunisie : Le 14 Janvier tel que je l’ai vécu
Par Nizar Gribâa – J’ai cherché à maintes reprises des témoignages écrits sur ce qui s’est passé le 14 Janvier et même avant, mais il n’en existe que très peu. J’ai donc pensé qu’il serait utile de partager avec vous ce que j’ai vécu, car c’est notre mémoire collective que l’on se doit de transmettre aux générations futures, pour qu’elles n’oublient pas que des gens sont morts pour que nous puissions vivre en liberté.
Il ne faut pas que la révolution vire à la malédiction
L’espoir suscité par ce qu’on a convenu d’appeler la révolution serait-il en train de virer au cauchemar ?! En observant […]
Tunisie : La désespérance d’un chômage de fond
Par Nadia Omrane – Plusieurs dizaines de jeunes diplômés d’éducation physique ont fait à pied, en une semaine, le chemin qui mène de Kasserine à Tunis […]
Qui aurait pu imaginer…
Par Farouk Fekih Romdhane – De 0 à mon âge actuel, j’ai vécu, comme tous les Arabes, en stand-by, attendant qu’un dictateur meure, car la mort d’un dictateur est toujours une bonne nouvelle pour l’humanité. Mais rien ne se passait. On attendait des décennies sans que rien se passe. Puis, ces dernières années, on n’attendait plus.
Tunisie : Lettre à la majorité silencieuse
J’ai voulu m’adresser aujourd’hui à cette majorité silencieuse que je ne connais pas personnellement parce qu’elle parle au nom d’une […]
La Gérontocratie arabe : le pouvoir au 3ème Age
Par Walid Kaak. D’abord un petit rappel : la vieillesse est l’âge ultime de l’être humain, qui succède à l’âge […]