La division au sein de la commission chargée d’enquêter sur les heurts survenus le 4 décembre 2012 devant le siège de l’UGTT conduirait à la publication non pas d’un rapport commun mais deux versions : La première serait celle du gouvernement et la deuxième de l’UGTT.
Deux ans après la révolution du 14 janvier, accompagnée pas-à-pas, le pays sillonné « zanga zanga», le paysage tunisien, tant social que politique me fait mal. J’en ai les tripes nouées. Des années de militantisme contre la dictature de Ben Ali pour une semaine d’euphorie, guère plus !
« Enfin, il y a du multipartisme » s’est exclamé aujourd’hui, 14 janvier 2013, un jeune tunisien venu célébrer le deuxième anniversaire de la Révolution tunisienne. A l’avenue Habib Bourguiba, artère principale de la capitale de la Tunisie, plusieurs partis politiques ont envahi la rue. Cliquez sur la flèche pour visualiser les images.
Les conclusions de deux semaines d’investigations nous ont permis d’écarter l’hypothèse d’une cellule armée dirigée par Fathi Dammak pour ouvrir la piste d’une organisation parallèle aux appareils de l’Etat, en lien avec le parti Ennahdha.
Derrière une lutte acharnée de deux titans du paysage politique post-révolution, ce sont aussi des idéologies qui s’affrontent de façon plus classique, plus authentique, dans un pays où le débat d’idées a été étouffé pendant des décennies.
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