Media 509

Les marronniers ne fleuriront pas.

En effet, je le dis à l’attention des analphabètes qui ont découvert ce qu’était un journal après un certain 14 janvier 2011, un marronnier est un article d’information de faible importance meublant une période creuse, consacré à un événement récurrent et prévisible à l’instar de la floraison annuelle de l’arbre éponyme.

Traque à l’argent sale déposé en Suisse

Suite à l’article publié par “La Presse de Tunisie” en page 4 de sa livraison du 13 mars 2011, relatif à “la traque à l’argent sale déposé en Suisse”, j’aimerais formuler ces quelques observations. Tout d’abord, j’aurais souhaité que l’auteur de l’article, Hichem Benzarti, fournisse un minimum de renseignements sur l’A.T.T.F., car mes recherches sur internet sont restées infructueuses… Qui sont les membres de cette association et comment les contacter (nº de téléphone, adresse email…) voilà qui aurait été très utile comme information. Pour revenir à l’article, permettez-moi d’apporter quelques éclaircissements utiles que le journaliste ainsi que le Dr. Sami Remadi semblent ignorer. Du fait d’une confusion qui a fréquemment lieu […]

القنوات التلفزيّة التونسيّة وصورة الثورة المنقوصة

بعد زمن من القطيعة الطويلة الأمد مع المشاهد التونسيّ، ها إنّ القنوات التلفزيّة التونسيّة العموميّة والخاصّة تجني من وراء التونسيّ الثائر معجما مختلفا وحقلا إعلاميّا أكثر ثراء. التلفزة التونسيّة الوطنيّة مثلا وهي كما نعلم التسمية التي آلت إليها في نهاية المطاف “جهاز تونس7” وذلك على ما يبدو كان بعد جهد جهيد. […]

La rue dit à Alya Hamza : Dégage !

Par Des lecteurs indignés – Réponse à l’article de Alya Hamza, injurieux pour la révolution, paru dans « La Presse de Tunisie » lundi 21 février 2011, en page 7, sous le titre « maintenant, ça suffit ! » : On croyait la mercenaire de la plume bien connue, Alya Hamza, à jamais disparue de la scène médiatique avec ses maîtres sanguinaires Leila et Zine El Abidine Ben Ali. Et voilà qu’elle a le cynisme de reparaître dans la Presse du 21 février …

Tunisie : Le silence des médias

Par Gisèle Comtois – N’êtes-vous pas découragés du silence des médias concernant la situation réelle et quotidienne des tunisiens, particulièrement celle des régions? Je suis revenue à Montréal le 18 janvier dernier après un séjour de 6 mois dans la région du Kef. Depuis, les nouvelles quotidiennes que j’en reçois ne sont pas réjouissantes et montrent, dans un crescendo continuel, la montée des violences faites à ses habitants.