Santé publique 59

La e-Cigarette entre les enjeux de santé publique et les enjeux financiers.

La cigarette électronique, un marché en plein boom. Un marché nouveau à forte croissance, incarnant un véritable concurrent au marché traditionnel du tabac. Devant la baisse de la consommation de la cigarette conventionnelle à cause de la cigarette électronique, l’industrie du tabac est menacée, vu qu’elle s’est développée en tant qu’alternative à la cigarette classique, dont elles ont la même apparence.

Santé publique : entre marchés juteux et privatisation !

En cette période de transition et de crise économique que vie la Tunisie, la libéralisation nous est présentée comme étant l’ultime recours, l’unique moyen pour vaincre la crise ! Réformer voudrait-il dire privatiser ? Que reste-t-il de l’État, de sa souveraineté ? De quelle démocratie parle ton dans un pays ou le pouvoir revient à une économie de marché ultra libéralisée ?

Hôpital Farhat Hached de Sousse : Panne d’électricité ou panne du système ?

L’hôpital Farhat Hached a été privé d’électricité pendant la garde du 28 mai 2014. La cause de la panne serait toujours inconnue bien que ce n’est pas la première fois que cela arrive. Cette coupure aurait touché seulement le service d’obstétrique, le bloc opératoire plus précisément.
 Contrairement aux informations relayées sur les réseaux sociaux, la coupure s’est produite l’après midi, aux alentours de 15h.

Le syndicat des Pharmaciens divorce de la CNAM !

Dans une Lettre d’information publiée le samedi 31 mai, le Bureau National du SPOT vient de décider la non reconduction de la convention Sectorielle et la suspension du tiers payant dans les 02 filières : privée et celle du remboursement (Carnets Jaune et carnet Vert) à partir du 08/06/2014. Cette décision constitue un grave problème de santé publique qui risque d’ affecter 33% des assurés sociaux de ces 02 filières de la CNAM, soit plus de 2.5 millions de Tunisiens.

Dentiste tunisie

Santé publique et futurs enjeux des prochaines élections du Conseil de l’ordre des médecins dentistes.

[…] Les dentistes avec lesquels nous avons échangé ont osé nous dire tout haut, ce que certains craignaient déjà depuis quelque temps. « La dégradation matérielle est telle -nous ont-ils avoués- que certains de nos confrères n’arrivent même plus à payer leurs charges fixes ». « Un médecin dentiste qui n’arrive plus à régler ses charges fixes, comment va-t-il se comporter -s’interroge pertinemment un autre de nos interlocuteurs- lorsqu’il va s’agir de gérer ses outils à usage unique, tels que les gants, les canules salivaires, les gobelets, voire les seringues d’anesthésie ? » ….