Au moment où la Watania vient d’annoncer une grille de programmation dont le principal objectif est accroître la compétitivité du service public, Son journal télévisé se montre, six ans après la révolution, inapte à couper le cordon avec le pouvoir exécutif, voire même incapable de jouer un autre rôle que celui d’un révérencieux perroquet.
