
De quel droit nommerait-il ses deux beaux fils aux ministères ?
Il a très bon goût le gâteau tunisien ! 4500 dinars de salaire mensuel, sans oublier les autres avantages, il faut avouer que c’est assez tentant. Après tout le peuple tunisien est là pour payer; comme il l’a toujours fait, quand il a payé les emprunts contractés par la France en son nom, sous le colonialisme, et comme il a encore fait sous les deux dictatures. Et si par malheur ce n’est pas suffisant, pourquoi ne pas soustraire 4 jours de salaire aux travailleurs tunisiens pour payer ces 4 millions et demi ? Serait-ce cela votre vision de l’intégrité et de la pureté de l’islam ?

Le système RCD recyclé?
Par Dr Ahmed Chebbi- Apres l’embrasement du pays le 14 Janvier 2011, ces centaines de milliers de «bénéficiaires» se sont retrouvés du jour au lendemain livrés à leur sort. Grâce à leur légendaire instinct de survie et d’adaptation, plusieurs d’entre eux se sont d’abord tournés vers des valeurs «sûres» du rcdisme, comme ferait un bon trader à l’aube d’un crash boursier, en choisissant de voter pour Hechmi Hamdi ou divers partis dits « destouriens ».
Qui s’occupe de la sécurité du Président de la République ?
Hébergé en France et piraté depuis le 17/12/2011, le site du chef de l’Etat Moncef Marzouki est resté Offline jusqu’à […]
Réformes du Ministère de l’Intérieur selon le SG du syndicat de la police
Lors de la conférence internationale sur “les assises nationales de la justice transitionnelle en Tunisie”, une série de recommandations […]

The forgotten Tunisians in Guantánamo Bay – Les Tunisiens oubliés à Guantànamo Bay
Five Tunisian citizens remain in Guantanamo, despite never having been charged with any crime. These men have watched the Tunisian revolution from afar, witnessing their fellow Tunisians’ path towards freedom, while they are deprived of freedom themselves.
Cinq citoyens tunisiens restent à Guantanamo, malgré le fait qu’ils n’ont jamais été inculpés d’aucun crime. Ces hommes ont regardé la révolution tunisienne de loin, ont été témoins du chemin de la liberté que leurs compatriotes Tunisiens ont pris alors qu’eux-mêmes restent privés de leur liberté.
Appel urgent de Samir Feriani
Je ne sais pas comment… Et peu importe… Mais vous n’atteindrez pas votre objectif… Quelque chose vous vaincra… La vie […]

المهرجان الوطنِي لمَسرح التّجريب بمدنين : عِندما تُمطر السّماء ثقافةً عِوض المَطر

جمهور الرياضة بين سوء التأطير وقسوة الجهاز الأمني
شغبٌ جماهريّ وتدخّل أمنيّ عنيف طال البريئ قبل المُذنب، خلّفا أضرارا جسديّة وماديّة لن ينتُج عنها سوى مزيد من التشنّج والتوتّر بين علاقة المواطن بعون الأمن، ومشهدا سيئا لسلوك المواطن داخل الملعب وخارجه.
فتح تحقيق في قضية رشـيـد الشـمّـاخـي، قتل تحت التعذيب في أكتوبر1991

من احتكار سوق الدّين في تونس إلى تحريرها

أحبك يا شعب: رسالة إلى الشباب التونسي في ذكرى اندلاع ثورته

Lettre à Barack Obama, Président des États-Unis
Par Mondher Smida- D’après l’économiste russe, Alexander Nahum Sack, la dette d’un pays n’est pas légitime quand un régime despotique emprunte: a) “pour renforcer ses pouvoirs, pour combattre le soulèvement de son peuple, etc.” b) “à l’encontre du bien du peuple ou des meilleurs intérêts de l’Etat,” et c) “avec la participation de créanciers informés de la situation.”

البِترول و شركَات المُناولة في تطاوين : قِنديل بَاب منَارة ما يِضوي كَان على البرّاني

Droit de réponse de Yusra Ghannouchi à l’article : “Voter pour Ennahdha était-ce une arnaque?”
Par Yusra Ghannouchi – Les accusations de « libéralisme quasi-sauvage » envers le programme économique et social d’Ennahdha n’ont guère de sens en vue de ses promesses (exprimées dans son programme électoral) d’établir un système économique équitable qui doit « réaliser la justice sociale […]
البوليس السياسي يتجسّس على منصف المرزوقي؟

Hamadi Jebali : Calife à la place du calife ?
A moins d’un an après la chute de Ben Ali, les premiers véritables signes de contre-révolution commencent à paraître au grand jour. Le pessimisme est de mise, car il n’est pas nécessaire d’être expert en politique pour comprendre ce qui se trame dans les coulisses de la révolution Tunisienne. […]
Béchir Sennoun ne doit pas être exécuté
Béchir est né en décembre 86 à Ghorghar (Tataouine). Seul garçon d’une fratrie qui compte six filles, il a effectué ses études primaires entre 92 et 99 et a réussi au concours de sixième. Puis il a poursuivi ses études préparatoires jusqu’en 2002. Il a obtenu son certificat de fin d’études préparatoires et a été orienté sur le lycée secondaire de Tataouine où il a étudié jusqu’en 2006, l’année où il a décroché le baccalauréat ; D’abord orienté sur Gafsa, il a été réorienté vers l’institut supérieur d’Etudes Technologiques de Gabes (ISETG).