Kais Saied, totalitarisme et « grand remplacement »

Je n’aurais jamais cru qu’en mon pays, un jour, on raflerait des familles entières sur la seule base de leur couleur de peau ! Je n’aurais jamais pensé qu’un jour en mon pays on interdirait les transports en commun aux personnes originaires d’Afrique sub-saharienne ! Je n’aurais jamais cru que mon pays traiterait des frères africains comme ceux-ci le furent sous l‘apartheid en Afrique du sud !

A la fausse érudition de Maya Ksouri, existe-t-il un remède ?

Définition préalable : Pour désigner la microscopique portion de la population tunisienne dont Maya Ksouri est à mon humble avis la parfaite caricature, il m’a fallu inventer un nouveau terme : « la micro-classe » de Tunisie. Je les nommerais aussi parfois dans mon texte les « self-hating Muslim » par effet miroir au terme « self-hating Jew » qui désigne chez nos cousins hébraïques ceux parmi les leurs qui osent critiquer la politique israélienne ou la chape de plomb que leur communauté abat sur ses individus.

La conjuration des imbéciles

Je pense que plus dure et plus sale est la cabale menée contre Mme Ben Sedrine, plus sûrs nous devons être de la justesse de son combat et de la nécessité de cette IVD et de son caractère public. Parce qu’à y penser juste un peu plus, à qui profiterait le déraillement de cette IVD à part à ceux dont les mains sont souillées du sang de ceux qu’ils ont torturé, voir tué, des arracheurs d’ongles, des casseurs de côtes de bras et de jambes, des arracheurs de dents, des violeurs, des électrocuteurs, de leurs donneurs d’ordres, et de cette petite partie de la population qui y trouvait son compte ?!

Lettre ouverte à Dame Karboul et au Sieur Jomaa

Il m’importe de vous rappeler qu’en votre qualité de ministre « technocrate » que les circonstances ou autres sombres réseaux ont parachuté à ce poste, votre devoir est de gérer les affaires courantes d’un ministère moribond pour une, et une seule, saison touristique. Par conséquent, il n’est en aucun cas question que des ministres d’un gouvernement d’intérim et encore en période d’essai qui plus est, veuillent toucher à des principes de politique étrangère qui sont parmi les derniers vestiges de la dignité perdue de ce peuple.

Confessions d’un déçu

Comme beaucoup de ceux qui m’entouraient, après la révolution et surtout pendant la campagne électorale, je me suis engagé corps et âme dans l’activité politique. J’ai participé à la campagne électorale du CPR la joie au cœur, et en y mettant de ma personne, de mon temps et de mon argent. Depuis mes années d’université, le Dr Marzouki était pour moi un exemple, une voix courageusement audible brisant un silence national emprunt de peur, de lâcheté et souvent de complaisance.

Inscrivez-vous

à notre newsletter

pour ne rien rater de nawaat.org