En Tunisie, depuis la révolution, les pulsions réprimées et la parole censurée sous la dictature, s’expriment désormais au grand jour, dans une explosion formidable. Parmi ces sentiments réprimés, il en existe un qui subsiste dans cet inconscient collectif : l’antisémitisme qui apparaît au grand jour comme une composante de la société.
Télévision et radio de service public : des pistes pour une réforme
Les rumeurs ont couru : la télévision nationale ne restera pas publique. Info ou intox ? Certains disent qu’elle ne sert à rien, de toute façon, que les journalistes ne font pas leur travail. Mais plutôt que de penser à s’en débarrasser pourquoi ne pas travailler à améliorer la situation ? Dans son étude sur le développement des médias en Tunisie, l’UNESCO propose quelques pistes.
Timeline: Threats to Freedom of Expression in Post-revolution Tunisia
Outdated press and penal codes continue threatening artists, bloggers, whistleblowers, critics and media figures, while the judicial system suffers from a restrictive and repressive legislation and has yet to be reformed. So, how long is this trend expected to have an impact on Tunisia’s Freedom of expression?
Affaire Cactus Prod : D’anciens PDG de la télévision publique rejoignent Sami Fehri en détention
Lors de l’audience, boycotté par les avocats de Sami Fehri en signe de protestation contre ce qu’ils voient comme des vices de procédures, le même juge a ordonné un mandat de dépôt contre cinq anciens hauts responsables de l’audiovisuel public
“Star Academy” pour les médias?
Un hors série de journal « La Presse », paru le 3 décembre dernier, nous propose de retracer l’histoire du dessin en Tunisie sous le titre « Vive la Révolution ». Chouette ambition et sacré challenge pour le quotidien.
Deux ans de révolution : De l’euphorie à la désillusion
Le deuxième anniversaire du déclenchement de la « Révolution du Jasmin », comme on l’a surnommée à l’époque, et plus largement du « Printemps arabe » fait la une de nombreux médias étrangers. Tour d’horizon.
البحيري يكذّب ما راج حوله من اخبار في بعض وسائل الاعلام
التقينا السيد نور الدين البحيري وزير العدل و حاولنا التعرف على ردوده حول ما نشر عنه في بعض وسائل الاعلام على غرار مجلة “عين” التي تحدثت عن مطالبة مجلس الشورى في حركة النهضة لوزير العدل بالاستقالة من منصبه على اثر انعقاد اجتماعها الاخير.
Média : La HAICA attendra encore
Le 10 décembre la composition du collège de la HAICA devait être annoncée par la présidence de la République. Ce jour là la Présidence est resté muette sur la question. Problème de liste explique-t-on. Toutes les propositions n’ont pas été reçues. Mais le vrai problème est ailleurs…
“جامعة منوبة تكرم مجموعة من الصحافيين في الدورة الأولى لجائزة “أكاديميا لحرية الاعلام
تم صباح يوم السبت 8 ديسمبر توزيع جوائز حرّية الإعلام الممنوحة من مجلّة أكاديميا الصادرة شهريا عن جامعة منوبة وذلك بحضور عديد الشخصيات من حقوقيين واعلاميين مثل الفاهم بو كدوس، نزيهة رجيبة أم زياد ، نجيبة الحمروني و كمال العبيدي..
Violences à l’égard des journalistes : le rapport du CTLP
Le SNJT et RSF s’occupaient déjà de recenser les actes de violence et les agressions à l’égard des journalistes. Le Centre de Tunis pour la Liberté de la Presse (CTLP) s’y met aussi, espérant ainsi que le fait de multiplier les voix permettra de faire baisser ce type d’acte.
Paysage médiatique dans les pays arabes post-Printemps arabes
Vingt-deux mois après les soulèvements des Printemps arabes, samedi 24 novembre dernier, s’est tenu à Marseille un débat qui avait pour titre « Un printemps médiatique arabe est-il possible ? » organisé par l’Institut Panos Paris, en présence de cinq spécialistes chevronnés des médias et de la région.
Médias : les décrets-lois 115 et 116 seront-ils appliqués un jour ?
Si la Tunisie était dotée d’une instance de régulation des médias l’affaire de l’interview de Slim Chiboub aurait pu se passer autrement, c’est en tout cas ce qu’explique le SNJT. Encore une fois le vide juridique du fait de la non mise en œuvre des décrets-lois 115 et 116 pose problème. Reste que ce vide ne devrait pas perdurer.
L’ interview de Slim Chiboub sur Ettounssia TV vue par les juristes
Selon l’avocate Ines Harrath, le chargé du contentieux de l’Etat peut opposer l’Etat à des organismes publics ou privés, ce qui veut dire que M.Layouni a opposé l’Etat en entier à la chaine Attounissia
Média : Mohamed Rammeh citoyen-journaliste
A Kairouan Mohamed Rammeh, jeune étudiant, a crée une web radio il y a trois ans déjà. Ce jeune DJ ne pensait pas un jour devenir citoyen-journaliste. A sa manière il oeuvre à créer une information plus juste en Tunisie.
Un an dans les médias : Une année difficile
Après une année difficile les journalistes ont l’air d’avoir enfin réussi à s’unifier. Le combat se tourne de plus en plus vers la liberté de la presse. Une liberté qui ne pourra être assurée que lorsque les médias seront indépendants et ce principe a l’air d’avoir été intégré par tous les professionnels du secteur
Dar Assabah : La démission de Lotfi Touati
A peine plus de deux mois aprés sa nomination au poste de DG de Dar Assabah, Lotfi Touati s’en va. Le sit-in et les grèves de la faim des journalsites leurs auront permis d’avoir gain de cause. A travers l’affaire de Dar Assabah c’est tous les médias tunisiens qui reprennent espoir : car une première bataille en faveur de la liberté de la presse vient d’être remportée.
Tunisie : RSF demande au gouvernement des éclaircissements sur les décrets-lois 115 et 116
La situation des médias est donc toujours en suspend. Reporters Sans Frontières vient de publier un communiqué qui salue l’annonce de l’application des décrets-lois, tout en demandant des éclaircissements.
Le quotidien La Presse : Querelles internes par communiqués interposés
L’édito de La Presse d’aujourd’hui, vendredi 19 octobre, est-il à prendre au deuxième degré ? L’auteur y parle de « l’effort commun » des journalistes lors de la grève générale du 17 octobre et du fait que la grève a été massivement suivie. Pourtant sa publication a brisée la grève en publiant un numéro quasi complet…