Dès 2011, la parole s’est libérée dans le monde arabe, et le soutien à la cause palestinienne en a été le principal bénéficiaire. En Tunisie, il s’est transformé en un enjeu électoral majeur. L’ordre nouveau mis en place par Kais Saied représente-t-il réellement une amélioration par rapport à la période antérieure pour la cause palestinienne ?
